内輪 - uchiwa
A la tête du parti Uchiwa, Junko n’a pas froid aux yeux et le fait savoir à chacun de ses rivaux politiques. Comptant sur son honnêteté totale, elle se présente entière et ne laisse aucune surprise sur ses intentions, exigeante sur la qualité de ses rivaux auquel cas l'ignorance serait la meilleure des réponses.

Toujours prête à l’attaque, Uchiwa est fier de voir sa représentante protéger les fondements de la maison qu’est le Japon. Parti nationaliste, défenseur des droits des Japonais, prêt à tout pour servir leurs intérêts et n’hésitant pas à répliquer à quiconque se montrant plus dévoué que lui. La fierté de porter les couleurs japonaises va de pair avec l’envie de les préserver. Sur le front depuis une dizaine d’années, il aspire à enfin obtenir le pouvoir et étendre ce cercle familial.
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kikuchi junko
系統 - keitou
Tant critiqué qu’admiré par ses proches comme ses adversaires, Sakai Mamoru n’en demeure pas moins solidement ancré à la tête de son parti, Keitou. Habitué aux jeux de pouvoir, il manipule mots et situations avec une stupéfiante aisance au grand dam de ses rivaux politiques. Son objectif est celui de son parti : protéger la famille.

Considérant les derniers évènements comme le signe d’une faiblesse du système, le parti Keitou aspire à recentrer ce dernier sur son acceptation par la population, pour une meilleure protection du cercle familial. Empreint des valeurs traditionnelles japonaises, il considère comme une injure à la dignité du pays ces défaillances et rébellions, même du plus insignifiant individu, et met tout en œuvre pour qu’à l’avenir ne surviennent plus de telles hontes.
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sakai mamoru
nippon hoso kyokai

Interviews exclusives à retrouver

Pourquoi ne serait-il pas possible de reconnaître les couples qui se forment naturellement, au Japon, qu'ils reçoivent une Lettre Rose pour... officialiser (je ne trouve pas d'autre terme adéquat) leur relation ?

La politique de l'immigration étrangère plus stricte ne va-t-elle pas à l'encontre de l'objectif de l'Incontestable visant à maîtriser la chute démographique ?

Les candidats au poste de Premier Ministre répondent à vos questions. Retrouvez leurs interviews sur notre site web:
Kikuchi Junko et son programme
Sakai Mamoru et son programme
Interviews - Kikuchi
Interviews - Sakai

Note de staff: Phase de vote finale

une campagne qui prend l’eau

Scandale dans les bureaux du parti Keitou ! Mamoru-san, le candidat considéré comme favori du dernier tour aux élections primo-ministériel, a récemment fait l’objet d’une remise en cause importante par certains opposants. Après une longue enquête, le média en ligne NAMA, spécialisé dans les reportages politiquement sensible, a en effet publié les récits affligeants de rescapés de Shukumei, catastrophe dont – rappelons-le – le pays porte encore les stigmates aujourd’hui. Ces témoignages accusent, plus ou moins directement, le maire de la capitale d’avoir délibérément refusé de se porter au secours d’un couple de voisins coincé sous les débris, étant pourtant en mesure de leur fournir assistance sans se mettre en péril ; des propos injurieux à leur égard auraient justifié cette attitude plus qu’une réelle crainte des conséquences. Mamoru-san réfute fermement chacune de ces accusations, soutenu par le porte-parole du parti Keitou, lequel considère la publication comme une dérisoire attaque de leur adversaire. La difficulté d’obtenir des éléments tangibles sur des évènements déroulés durant cette tragédie rend toutefois illusoire tout espoir de faire la lumière sur ces faits.

Conseiller et aider, une vocation pour Kikuchi-san

La jeunesse de Kikuchi Junko fut marquée par une pauvreté environnante lui apprenant très vite l’importance de la solidarité. Voisins, amis, inconnus de passage, la fille des poissonniers s’est avéré un élément incontournable pour la vie de son quartier. Si les ruelles de la petite ville de bord de mer qui l’a vu grandir sont aujourd’hui refaites et sécurisées, c’est en partie grâce à elle. Ici, les habitants ne tarissent pas d’éloges ni ne cachent leur fierté pour celle qui est « l’une des leurs ». Salubrité, sécurité, transports, éducation… son engagement, dès son plus jeune âge, n’a jamais faibli. La combativité et la détermination de la jeunesse ont pu trouver l'appui du pouvoir politique obtenu petit à petit et entretenu jusqu'à aujourd'hui. Après son village, sera-t-elle la sauveuse du pays ?

Sakai : grand coeur pour les enfants…uniquement.

C’est avec un immense respect que l’information a été révélée ou plutôt rappelée par son parti. En effet, le candidat préféré d’une partie de la population n’est nul autre qu’un des donateurs principaux de l’orphelinat de Tokyo. Au sein de l’établissement, le personnel ne tarie pas d’éloges, ses visites régulières sont toujours source d’événement bien qu’il assure vouloir rester discret pour ne pas perturber leur travail. Il a notamment permis d’entretenir la bibliothèque et le jardin, éléments clés du savoir et du bien-être selon Sakai lui-même. Une source proche du candidat a soufflé le nom de son association "Survivants" créée pour soutenir les familles touchées par Shukumei. Si beaucoup se réjouissent de son action, il n’est pas sans rappeler que le grand coeur du candidat ne semble battre correctement que pour les enfants. En effet, difficile d’oublier les maintes mains courantes et plaintes qui le visent après ses propos virulents et sexistes à l’encontre de ses rivaux voire ses collègues de sexe féminin. Les langues peinent à se délier, mais des oreilles attentives se sont données pour mission de mettre la lumière sur un comportement révolu et “dangereux”. A la question, le parti Keitou n’a pas souhaité apporter de commentaire, jugeant que les affaires d’ordre privé ont été classées depuis.

Face à face imprévu

C'est un étrange rendez vous que se sont donnés à Kyoto, bien malgré eux, les deux candidats restants aux élections primoministérielles. A l'heure où l'Institut National du Sondage et des Statistiques (INSS) clôture sa première enquête sur le sujet, la tension s'est faite d'autant plus palpable lors de cette rencontre imprévue, obligeant un renforcement du dispositif policier. Provocation de l'un ou l'autre ? Si chacun s'accuse d'avoir tenté de saboter le meeting de l'autre, la faute n'en revient pourtant qu'à une erreur de calendrier ; la mairie de Kyoto reconnaît une confusion dans son emploi du temps, la visite de Mamoru-san ayant été réservée avec une semaine d'avance. Si aucun blessé n'est à déplorer lors des quelques échauffourées ayant suivi, gageons que ces élections réserveront encore bien des surprises !

que le meilleur gagne !

Les Japonais sont à l’affût pour le second tour des élections. Il est maintenant attendu des deux candidats restants, de se montrer convaincants et de proposer des idées et solutions concrètes pour un avenir meilleur, brillant ! Le sondage précédent les plaçait au coude à coude, toutefois une partie des électeurs reste sceptique et demande des preuves avant de se prononcer sur celui qui gagnera leur précieux vote. A la question “Comment allez-vous procéder pour la suite ?”, Sakai-san répond “Notre stratégie est toute décidée, nous entendons les besoins du peuple, nous sommes là pour les remplir.”, Kikuchi-san, elle, rétorque “Ce que nous avons besoin ce n’est pas des promesses dans le vent, mais des actes qui instaurent une sécurité pour la nation. Cibler les nécessités de la société, agir.” Espérons que cette fois, nos candidats ne désertent pas.

Kikuchi-san, toujours le bon mot

Avez-vous remarqué le soin apporté par la leadeur d’Uchiwa dans le choix de ses mots ? Aussi excessive dans son implication qu’incisive dans sa franchise, Kikuchi-san prend garde à n’user d’aucun « anglicisme », ces emprunts à la langue anglaise dont raffole la jeunesse. « L’agonie de notre belle langue et, à travers elle, de notre identité » a-t-elle déjà précisé. Mais derrière cette intransigeance, la jeune femme cache parfaitement une maitrise parfaite de l’anglais. Pire, elle cacherait volontairement ce talent en feignant de ne pas la comprendre ! Alors, miss Junko, seriez-vous l’élève sage qui ne s’assume pas ?

Hyujo-san rejetée par son parti

Les scandales n’en finissent plus sur Hyujo-san. Celle qui deux jours plus tôt se faisait appeler « Setsuna-onee-san » reçoit aujourd’hui les critiques de son propre parti. En cause cette fois : la découverte d’un passage en centre de redressement. Ce que la candidate, larmes aux yeux, aurait reconnu publiquement dans une conférence donnée à la hâte à la suite de cette nouvelle découverte. Se prétendant victime, il n’aura toutefois guère fallu longtemps pour s’apercevoir une nouvelle fois de la supercherie. Mariée à dix-sept ans, la jeune femme aurait refusé l’emménagement avec son conjoint, les menant tous deux à un emprisonnement de cinq jours. Après un mariage houleux malgré des apparences soigneusement préservées, celle qui se prétend farouche défenderesse du système aurait néanmoins essuyé un divorce rapide dont elle aurait pris soin de dissimuler l’existence à son propre parti. Sakiiki ayant annoncé le retrait de la candidature de sa meneuse, celle-ci s'est recluse dans sa ville natale sans davantage de commentaires. Attendant, certainement, le résultat des élections auxquelles elle ne participera plus.

Hyujo-san : les ombres derrière la lumière

Son titre n’aura tenu que quelques heures. A peine dévoilé son séjour à l’étranger que les critiques se sont élevées, outrées de cette appellation nouvelle. Petit florilège : « Quelle mytho cette fille. C’est la pire. », « Je me souviens qu’elle était dans ma classe, elle s’acharnait sur une autre avec son groupe de hyènes », « Elle joue les saintes ? Mon fils l’a connu pendant son séjour, elle se prenait pour une princesse gâtée. » (ndlr : les commentaires ont été corrigés par nos équipes). Derrière ces critiques, une accusation qui revient toujours : harcèlement. Alors à l’aube de sa carrière politique, Hyujo-san ne serait partie qu’afin de flatter son image, incitant son équipe à publier régulièrement vidéos et photographies de son travail sur les réseaux sociaux. Son objectif ? Se rendre sympathique auprès du jeune électorat. Derrière l’image dorée d’un bénévolat innocent se cacherait en réalité critiques permanentes et insultes à répétition sitôt les caméras baissées. Une plainte pour violences volontaire aurait même été déposée auprès des autorités péruviennes par une jeune bénévole, ayant eu l’audace de s’opposer à la tyrannie de la jeune femme, avant d’être retirée quelques jours plus tard sans qu’une suite n’ait été donnée.

C’est assez ! Sakai-san en conflit avec les écologistes

Tout est parti de peu : une visite du candidat dans un village de pêcheurs, une poignée d’opposants comme de partisans au parti et… de la viande de baleine. En pleine campagne électorale, Sakai Mamoru, prônant le retour aux valeurs traditionnelles du pays, a toutefois craqué pour une dégustation aussi surprise qu’interdite dans le marché visité. Une bouchée enthousiaste, une déclaration provocatrice et en quelques minutes le candidat s’est trouvé pris à partie par des écologistes présents, rappelant l’interdiction de consommation de cette espèce - classée “en danger critique d’extinction” le grand mammifère marin fait l’objet d’une protection néanmoins souvent mise à mal par la pêche illégale.
Bien qu’aucune violence n’a été constatée, les échanges véhéments ont obligé le politicien à écourter sa visite ; pas de dommages à déplorer, si ce n’est un surnom peu flatteur trouvé par les internautes, influencés par la communauté francophone : “Ma-morue”.

Mamoru Sakai : le beau-père dont on ne voudrait pas

Sakai-san a réussi à toucher ses électeurs suite à l’anecdote de sa rencontre avec sa première femme avec qui il a eu trois enfants. Bien qu’il reste silencieux sur sa vie de famille, la catastrophe qui résonne encore bien des années après Shukumei, a handicapé sa plus jeune fille. Les détails ne sont pas connus du public, mais on raconte que depuis ce jour voire depuis toujours, Sakai s’est évertué de prendre soin de ses progénitures, quitte à en faire trop. Pas de voyages à l’étranger sans sa présence, pas de séjours dans le pays même excédent un week-end, des camarades de classe nous ont confié anonymement qu’il est très compliqué d’approcher les enfants Sakai et de tisser des liens avec eux. Ils vivent dans leur propre monde régi par leur père, a déclaré une voisine. Les paparazzis n’ont guère eu l’occasion de prendre beaucoup de clichés, les quelques miraculés ont dû être supprimés sous ordre de son équipe. La plus touchée reste la cadette de dix-sept ans qui, depuis son terrible accident, ferait école à la maison, multipliant les précepteurs et ne pouvant alors sortir que sous escorte parentale. Les deux aînés délaissés pourraient se rassurer de ne pas avoir une telle laisse nouée à leur cou, s’ils ne manquaient pas autant d’affection.
Le dit protecteur de la Nation n’a jamais aussi mal porté son nom !

Dans l’ombre du pouvoir : l’enfant oubliée

C’est une jeune fille parmi les autres, uniforme impeccable et tresses irréprochables, qui s’assoit au troisième rang de sa classe. De longs cheveux noirs, des yeux craintifs, un désir évident de se fondre dans la masse. Parmi ses camarades, peu connaissent sa véritable identité, abritée derrière le nom paternel aux consonnances anglaises : elle est pourtant bien la fille de Kikuchi Junko, la seconde candidate au poste de premier ministre. Dans sa course au pouvoir, l’écrivaine en a délaissé celle qui naquit d’un premier mariage détesté, laissant aux grands-parents ou diverses nourrices la charge de son éducation ; les contacts avec son père, rares, seraient entravés par le refus maternel d’entretenir quelconque lien avec son ex-époux. C’est donc dans l’ombre et la solitude que semble grandir la jeune fille. Plusieurs proches affirment, anonymes, qu’elle est même plus proche de sa nouvelle belle-mère que de celle qui l’a fait naître. Dévouée à la Nation, on ne peut que s’inquiéter que Kikuchi-san le soit si peu à sa famille.

Les origines mystérieuses de Mamoru-san

Les rumeurs vont bon train sur l’homme politique, actuellement en tête des sondages sur l’élection primo-ministérielle. La récente interview de l’actuel maire de Tokyo a ranimé l’intérêt de la population sur l’identité mystérieuse de son père, dont il ne parle jamais. La raison en simple : lui-même n’en saurait rien. De quoi réveiller la colère et le sentiment de trahison d’une partie de son électorat, l’estimant d’autant plus indigne de représenter le pays après sa déclaration sur le divorce. « Pas de bâtard au pouvoir » a récemment réclamé un groupe pro-incontestable, réclamant le retour d’un « vrai candidat » qui « relèvera le pays ». Rien toutefois qui ne soit suffisant pour ébranler la confiance en soi du candidat, qui a reçu de nombreux messages de compassion et soutien. Dans un rare moment d’émotions, il aurait par ailleurs déclaré : « J’ai un père, il s’appelle Keichi Sekai. Je n’ai pas besoin d’un autre. » De quoi attendrir les cœurs les plus endurcis.

Mamoru-san connaît la panne

En pleine tournée dans le pays, Mamoru-san a récemment opté pour la… voiture électrique. Désireux de redorer son blason écorché auprès des écologistes, après de nombreuses critiques des associations de défense de l’environnement faisant suite aux déclarations du candidat sur son amour de la viande de baleine, ce dernier avait troqué sa berline pour un véhicule plus respectueux de l’environnement. Hasard ou divine punition ? Toujours est-il que c’est en pleine campagne du Chūbu, entre forêt et champs de fleurs, que l’actuel maire de Tokyo a eu la désagréable surprise de voir son moteur s’arrêter. S’il a décidé de rejoindre la gare la plus proche afin de poursuivre le voyage en train, précisons néanmoins que son équipe le suit… en voiture ! Toujours serviable, son adversaire lui a proposé des rollers à essence, afin selon ses dires « d’allier ridicule et hypocrisie, qui lui semblent tous deux si chers ».

Le rideau se baisse pour Fumiko

C'est au tour de Fumiko-san de céder la place à ses deux opposants, pour un second tour au tête à tête inattendu. Droite et fière, celle qui a été hospitalisée cette nuit suite à un malaise a assumé n'avoir plus la force de poursuivre. “L’espoir n’est beau que lorsque la logique suit et devient réalité.”, a-t-elle justifié son retrait. Déjà, des rumeurs couraient ; après le scandale Hyujo-san, chacun craint de voir ses secrets de deterrés. D'aucuns l'accusent d'avoir assisté la milice, lors de la chasse à l'homme, rompant ainsi avec la ligne neutre de sa politique. "Inadmissible, si c'est vrai", commente anonymement l'un des membres de son parti. D'autres ont présenté des clichés troublants : une jeune femme, enceinte, dont les traits semblent étrangement similaires à ceux de "Koko-chan". Mère porteuse ? C'est ce qu'affirment les détenteurs des clichés, suscitant dégoût et mépris auprès de la classe politique. Trop pour la candidate, certainement, qui annonce toutefois qu'il ne s'agit que d'une parenthèse imprévue, le temps de reprendre des forces pour les prochaines élections : on t'attend sur scène, Koko-chan.

"Setsuna-onee-san", la candidate au grand cœur

C'est une simple remarque qui a attiré l'attention de nos journalistes "ah, comme au Pérou". Pérou ? Notre journal s'est fait un plaisir d'enquêter. Ce qu'il a découvert ? Ancienne championne nationale de gymnastique, Hyujo Sestuna n'est pas seulement la figure rayonnante de son parti et la plus jeune des candidats ; sous sa douce retenue, elle est également une politicienne au grand cœur. Ses études achevées, celle-ci s'est en effet engagée auprès d'une association d'aide aux enfants en situation de grande pauvreté au Pérou. L'occasion pour elle, nous a-elle confié, de découvrir davantage le monde. De quoi renforcer l'enthousiasme de la jeunesse japonaise qui s'identifie d'autant plus à cette candidate aussi humble que moderne : plus qu'une mère, elle apparaît comme une sœur sage et protectrice, visage d'une nouvelle politique.

La folle jeunesse de Sôen Fumiko dévoilée !

C’est une révélation inattendue qui a été faite hier soir sur la candidate Fumiko. Connue pour son calme et son intégrité, quelle ne fut pas notre surprise en découvrant une vidéo soigneusement dissimulée dans les ténèbres de l’internet : 14ans, couettes aux chouchous multicolores et mini-jupe à carreaux, “Koko-chan” apparaît à l’aise parmi SH-87. Groupe d’idoles à la notoriété discutable, il n’aura duré que trois ans : le temps d’offrir de charmantes images de celle que certains appellent aujourd’hui “La Grande Dame” en raison de sa taille. “La grande Koko-chan”, un nouveau surnom en devenir ?

Kikuchi-san se préparerait pour une grande interview avec le Mainichi Shinbun.

Sakai-san continue sa tournée électorale à bord d’une voiture…électrique !

"Le Japon n’avait guère besoin de faux combattant, la victoire est maintenant assurée, nous en sommes certains." - Kikuchi
"Bon repos à Sôen-san, j'attends de voir ce que Kikuchi-san a à apporter d'aussi incroyable au peuple japonais." - Sakai

Des secrets à préserver ? Le candidat Sakai se rendra dans la nuit du 13 avril à Kyoto ; la raison reste pour l’heure inconnue.

Visite surprenante : Sôen, tout sourire, s’est rendue dans l’après-midi dans diverses écoles maternelles de l’est de la capitale.

Scandale Hyujô : “Une candidate sans espoir.” - F.SÔEN “Une jeunesse en réelle perdition.” - J. KIKUCHI “Une honte pour la politique japonaise.” M. SAKAI

Elections 2114 : la candidate Hyujô grimpe dans les sondages suite à son apparition au mémorial de Shukumei.

La candidate Kikuchi a été vue à la sortie d’un restaurant huppé avec deux journalistes.”

breaking news

Pause familiale : Sakai-san a célébré au restaurant et en famille, le treizième anniversaire de sa petite dernière Akimasa. -- Kikuchi-san a, de son côté, pris du repos en compagnie de son épouse dans les contrées chinoises.