
Hotaru Kimyo
Everything is a matter of choices.
![]() | Généralités Nom ;; Kimyo Prénoms ;; Hotaru Âge ;; 25 ans. Genre ;; Masculin Origines ;; 100% Japonais. Activité ;; Officiellement Barman / Officieusement, Kyodai pour son père. Sexualité ;; Bi. Avatar ;;Chuuya Nakihara, Bungou Stray Dog Règlement ;; On va dire que oui ![]() Chemin ;; QC de Ren, Austin et Jack Commentaire ;; Quatre compte... Trois roux. Cherchez l’erreur. |
What happened in your life ?
“Il y a des remèdes pour la maladie, il n’y en a point pour la destinée.”
Né il y a 25 ans de cela ma vie est plutôt banale en soit à l’exception de certaines choses qui s’y déroulent. En effet, ne à Toshima, au Sud du Japon. Le premier malheur de ma vie a été de ne pouvoir grandir avec une mère, celle-ci ayant mystérieusement été tuée sans qu’on en sache les raisons officielles, du moins, tel était le rapport de la police. Mais la réalité est bien plus sombre que ça et ça, c’est mon paternel qui me l’avouera que de nombreuses années plus tard. En effet, cette dernière a été tuée en guise d’avertissement suite à plusieurs remontrances de certaines “ familles “ connues. Seulement pris en charge par mon père, je n’ai pas vraiment eu de soucis à grandir, malgré l’autorité dont il faisait preuve. En effet, chef d’une entreprise touchant le domaine du jeu d’argent - un casino à Tokyo - l’homme ne plaisantait pas avec ce qui touche de près ou de loin à l’argent. Nous vivions dans un milieu aisé et c’est pour cela qu’à mes huit ans il me fit déménager pour la capitale plutôt que me laisser dans cet environnement “ faible “ disait-il.
C’est ainsi que je quittais la petite île que représentait Toshima pour débarquer dans le milieu hostile de la ville. Adieu tranquillité au mont Ontake à titre d’exemple, et bonjour les coins bruyants tel Shinjuku ou Akihabara... Autant être honnête, à cette époque, jusqu’à mes douze ans je m’enfermais dans une routine ennuyante. Je faisais mes études sous le joug de mon père toujours aussi strict et je revenais chez mes grands-parents durant les vacances sur ma petite île servant presque de coin de paradis. Chaque année, je n’avais qu’une hâte, être aux vacances prochaines pour retrouver le calme de ces lieux qui avaient marqués ma petite enfance, plutôt que plonger dans ce monde bruyant, cruel et typiquement humain. Encore à cet instant, j’étais un enfant normal, bien qu’intérieurement, je souffrais de ce manque d’affection, mon père ne pouvant pas jouer ce rôle de mère qui vient vous chercher à l’école, qui vous fait votre bento chaque matin ou qui vous fait la bise avant de dormir. En effet... Lui, il était plus que strict me rappelant souvent que la seule chose qui importe dans cette société, c’est le fait de réussir et non essayer. Comme il le dirait lui-même : “ Essayer, c’est admettre la possibilité d’échouer. “
Je me suis toujours demandé s’il était devenu ainsi à cause de la perte de sa femme, mais jamais je ne lui ais posé cette question. Malgré le fait qu’il soit mon père, je lui vouais un certain respect et pour cause, à défaut d’être froid, il était quelqu’un qui réussissait ses projets dans la vie, il avait de l’argent et vivait bien. Un exemple pour la société qui a horreur de l’échec n’est-ce pas ?
Petit à petit donc, je suis devenu curieux, jusqu’à ce qu’à mes douze ans, mon père ne décide de tomber le voile avec moi. Me jugeant “ prêt “ mentalement, il me dévoila le secret de sa réussite. De base, je le pensais être un honnête homme, un bon chef d’entreprise, mais non, il ne s’agissait que d’une “ couverture “. La réalité était le fait que monsieur était à la tête d’une “ famille “, un fameux “ Oyabun “ comme on dit dans le jargon. La spécialité de cette organisation était le trafique d’argent, un peu de drogue - bien que ce soit minime - et la corruption. Cette révélation me choqua quelque peu, mais je fus vite mis au parfum... En tant que fils légitime de cet homme, j’avais le privilège d’être prochainement un “ Kobun “ ( ou enfant ) dans son organisation contre mon gré.
Au début, j’étais clairement contre cela, mais via son esprit clairement plus fort que le mien, je fus vite écrasé par sa personne. Formaté, détruit et forcé, je poursuivis mes études sans pouvoir réellement vivre de ce que je désirais être : écrivain. Ainsi, les années passèrent et malgré les imprévus de la vie ( telle des arrestations de membres de l’organisation, la mise en garde à vue de mon père lors d’une enquête qui a failli le faire tomber ) je fus contrains de suivre son pas malgré moi, débutant au bas de l’échelle. Ajoutons à cela un souci qu’est l’incontestable m’empêchant de vivre une histoire d’amour sincère, c’est un sentiment de solitude qui m’envahit avec le temps. Je vivais pour mon père et non vraiment pour moi-même. Triste vie n’est-ce pas ?
Ma seule réelle réussite a été le fait de rassembler mes diverses connaissances acquises depuis ma jeunesse et via mes études pour alors monter ma propre entreprise. Petite au départ, bien entendu, mon père a mis son nez dans mes affaires pour “ booster “ mes affaires et y mettre son grain de sel. Ainsi, voyant que je ne pourrais jamais échapper à son influence, je me décidais à “ abandonner “ mon futur pour faire plaisir à mon paternel. Allant même jusqu’à jouer “ l’agent de recouvrement “ pour lui, je commençais donc une double vie. Le jour barman, et les soirs où j’avais des affaires spéciales, je joue le rôle d’une personne qui viens vous réclamer de l’argent en faisant pression en tant que Kyodai dans l’organisation de mon père, tout en ayant sur les épaules le poids d'être sans doute le prochain " chef " ( après avoir fait ses preuves ).
Mais au final, même si je n’arbore plus ce sourire que l’on m’a forcé d’effacer de mes lèvres, qui sait si je ne désire pas sortir de ce pseudo cercle infernal. Qui sait si je ne désire pas être sauvé ? Ce n’est qu’en creusant qu’on pourra découvrir la vérité n’est-ce pas ?
Quoi qu’il en soit, je n’étais pas totalement au courant des relations de mon père avec les autres familles et le souci de cette dernière était qu’elle désirait s’épanouir. En effet, jusqu'à maintenant, mon père désirait régner en maître sur son business d'une main de fer, mais le succès mène toujours à la gourmandise n'est-ce pas ?
Oubliant un principe de base qui est de faire profil bas et ne pas se faire trop gourmand si l'on désire prospérer et être indépendant, n’ayant pas l’idée de rejoindre une des “ famille “ par fierté, mon père mettait en danger son avenir et celle de son organisation, mais en soit, est-ce une mauvaise chose pour moi ? Qui sait...
Are you a little bit Crazy ?
" La cause du succès ou de l'échec relève beaucoup plus d'une attitude mentale que d'une capacité mentale. "
Qui suis-je ? Plein de choses...
Sur mon lieu de travail où je travaille avec seulement trois personnes, je me montre intransigeant envers mes employés. La réussite est le résultat de nombreuses préparations, l’échec le résultat d’un surplus de flemmardise et de laxisme. Ces deux termes ne me qualifient jamais, que ce soit quand je suis en pleine forme pu crevé après une dure journée. Jamais on ne me verra me reposer par envie, mais bel et bien uniquement par nécessité. Un bosseur ? C’est certain, cependant, on ne sait jamais trop le pourquoi du comment d’une telle vivacité au travail, de manière générale. Je sais me montrer doux, mais en général, cette facette se montre qu'aux personnes qui arrivent à gagner ma confiance et croyez-moi, cela est difficile.
Malgré ce côté presque “ dur “, il m’arrive parfois d’être plus doux, tout dépend de mon “ humeur “. Parfois, j’ai mon humeur de merde et parfois, je suis rayonnant de joie. Drôle n’est-ce pas ? Pour des spectateurs oui, mais les employés, c’est une autre histoire. Cependant, s’il n’y a aucun turnover dans mon établissement, c’est bien, car je sais compenser ce petit désagrément (primes, avantages en nature etcetc ), une fois de plus, j’arrive à prouver que la nature humaine est bien naïve. Moi ? Calculateur ? Un peu avouons-le... Prévoir, anticiper, réfléchir, c’est mon dada.
Mais est-ce tout ? Suis-je juste un de ces patrons parmi tant d’autre dans la ville qui se montre dur,e mais qui sait récompenser ses fidèles sujets ? Un simple monsieur tout le monde dans la lumière ? Oui... Et non. Dans l’ombre, la vérité éclate et pour cause...
Barman et patron de son petit établissement le jour, la nuit quand je dois “ travailler “, je ne suis plus vraiment cette personne. Habillé de mon costume, mes gants aux mains et des personnes m’accompagnant, je ne suis pas le genre de personne que l’on n’aime croiser en soirée. Quand la sonnette retentit et que je suis à la porte, c’est rarement pour prendre des nouvelles et pour cause, mon job m’oblige à réclamer certaines sommes d'argent que mon père désire. Croyez moi, ce genre de boulot ingrat au départ était déplaisant, pourtant, même si encore aujourd’hui je ne l’aime pas plus que ça, ce serait mentir que dire que ce n’est pas plaisant d’avoir du “ pouvoir “. Regarder la tête des gens qui se déforme quand ils entendent un certain nom, les voir blanchir et finalement se faire tout penauds. Ce sentiment de supériorité est une chose qui avouons-le est plaisante.
Bref... Agent de recouvrement ( Kyodai dans mon cas ) ce n’est pas de tout repos, Barman non plus. Mais est-ce réellement moi en fin de compte ?
Où est donc ce jeune homme qui à l’école, au lycée et au début de l’université souriait ? Se montrait certes parfois “ chieur “ avec certains, mais qui avait des amis ? Qui se faisait respecter par ce qu’il est et non ce qu’il fait croire qu’il est ? Ce personnage rêveur qui avait envie de réussir certes, mais surtout profiter de la vie comme elle est malgré ses soucis comme l’incontestable ? Est-il mort ? Le temps l'a-t-il changé intérieurement ? Ou est-ce qu’au final, certains “ devoirs “ font que je mets de côté cette personne ? Serais-je à la recherche d’un moyen de m’échapper cette boucle infernale que la “ famille “ ?
Ce n’est pas une machine qui répondra à cette question ou réglera le “ souci “, cependant, peut-être qu’un imprévu sous forme de lettre rose pourrait changer cela. Qui sait ?
I look like ...
“L’innocence a parfois l’apparence du crime.”
“ Quel beau jeune homme que voilà “ se dit-on en me voyant. Il ne faut être honnête, je ne suis pas moche sans être un mannequin pour autant. Cependant, je ne laisse voir aucune “ faille “ de loin. Seules les personnes qui approchent de très près peuvent voir les imperfections et erreurs qui pourraient se trouver sur mon corps.
La chose que l’on voit en premier est ma taille, mesurant environ 1m72, pas plus, pas moins. Je suis clairement dans les normes du pays. Pour un poids tout à fait normal puisqu’il est d’environ 65 kg.
Qu’en est-il du reste ? C’est simple. Sans mes habits de toujours, on remarque immédiatement ma chevelure teintée en orange de longueur moyenne. En effet, oubliez le cliché de l’homme qui a forcément des cheveux courts... Là, je pourrais aisément jouer une fille si j’avais de la poitrine. Ce détail ne m’énerve pas pour autant ayant une parade pour éviter ce genre de blague devenue plus que facile avec le temps, mais nous en parlerons plus tard. Ma chevelure plutôt longue descend jusqu’à la moitié de ma nuque et est d’une couleur orangée suite à une teinture entretenue très souvent. Pour ce qui est du visage, mes yeux sont d’un bleu océan, mais là encore, grâce à des lentilles de contact ne voulant pas être comme tout le monde. Au revoir donc la couleur chocolat naturelle de mes yeux. Le reste du visage n’est guère important à moins de s’attarder sur mon nez plus que normal, mes lippes fines et mon menton outrageusement classique. Une bouille enfantine ? Les avis divergent, mais je suis d’accord sur un point : mon âge dépend clairement de mes diverses mimiques, pouvant paraître jeune quand je souris alors que quand je suis sérieux, on pourrait croire que je fais plus vieux. Amusant, n’est-ce pas ?
Passons au reste du corps. Qu’en est-il ? Musclé ? Imposant ? Digne d’un sportif de renom ? Oui et non... La vérité est que mon côté svelte ressort plus que tout face à vous et cela n’est pas une illusion. Je suis quelque peu chétif, musclé au minimum pour mon âge et pourtant, tandis que certains pourraient en profiter, j’ai appris à me défendre notamment grâce à des sports tel que le judo (utilisant la force de l’autre pour vaincre) et le full-contact ( car je n’arrivais pas à me décider en terme de spécialité entre mes poings et mes pieds ). Malgré tout, n’allez pas croire que ces moyens de défense font de moi un être invincible bien au contraire, mais au moins, je ne suis pas impuissant face à certains agresseurs dans la vie de tous les jours.
Ainsi, ma carrure un peu sous-musclée se voit via mes bras et jambes fines. Mon torse ne possède pas ces fameuses “ tablettes “, juste un ventre plat sans graisse excessive. Alors que des gens fournissent des efforts colossaux pour avoir des muscles d’acier, moi, on peut dire que je me contente de maintenir un état “ potable “ pour mon corps.
Qu’en est-il de mon style vestimentaire ? Celui-ci est assez passe-partout compte tenu de mes diverses activités. Que ce soit en tant que barman ou “ agent de recouvrement “, j’arbore souvent un habit se voulant classe. Chaussures cirées, ensemble italien et chapeau, cela est pour moi la recette gagnante comme je dirais. Mais sinon, il m’arrive de faire plus “ civil lambda “ en mettant des tee-shirts et jean, bref comme toutes les personnes de mon âge qui sont plus décontractées.