Oswald NICOLSON
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![]() | Généralités Nom ;; Nicolson Prénoms ;; Oswald Âge ;; 18 ans, né le 15/12/2092 Genre ;; Masculin Origines ;; Japonaise Activité ;; Étudiant en droit | Baby sitter dans son temps libre Sexualité ;; Il est pas compliqué Avatar ;; Gaius| Fire Emblem Awakening Règlement ;; Chemin ;; Je suis un joli tournesol ![]() Commentaire ;; J’ai craqué, huez-moi ![]() |
Histoire
Oswald est né le 15 décembre 2092 de Raghnall et Hatsuko Nicolson. Bien qu’il ne s’en souvienne pas, les deux premières années de sa vie n'étaient… Pas ce qu’on pouvait espérer de mieux. Ses parents ne faisaient que se disputer et à la fin de chaque dispute, sa mère finissait toujours en larmes.
Ses parents divorcèrent deux ans plus tard, sur ordre de l’Incontestable. Hatsuko, au courant bien avant son ex-mari, partit fissa de leur logement, son enfant sous le bras. Elle retourna chez ses parents, à Osaka, se mettant vite en quête d’un logement et d’un travail afin d’élever convenablement son fils.
Hatsuko Toda s’est vite trouvée un travail dans une parfumerie et un petit appartement assez convenable pour elle et son enfant. Mère célibataire, elle fit son possible pour faire de son enfant un garçon parfait, loin de l’image de son père. Elle avait une technique très simple pour ça, dès qu’Oswald faisait quelque chose qu’elle estimait bien, elle le félicitait chaudement, par un petit cadeau ou autre. Et comme le petit garçon adorait sa mère, il souhaitait de tout cœur lui faire plaisir.
Bien qu’Oswald n’ai jamais ressenti le manque de son père, il vivait certes simplement avec sa mère mais ils étaient heureux, vint quand même l’époque où il s’interrogea sur Raghnall. C’était peu après son entrée en deuxième année de primaire. Sa mère avait été le chercher à l’école et ils étaient rentrés tandis qu’Oswald racontait sa journée à Hatsuko. Puis, une fois dans leur logement, le petit garçon avait demandé, pour la première et unique fois, qui était son père dont il ne connaissait même pas le prénom.
La définition donnée par Hatsuko donna la nausée à son fils. « Foncièrement mauvais », « Rustre », « Brutal », « Peu recommandable », « Vraiment pas fréquentable », « À éviter à tout prix ». Jamais, ô grand jamais, Oswald n’aurait cru sa mère capable de brosser un portrait si noir de quelqu’un. Au final, elle lui demanda de ne plus se questionner à propos de cet homme, qu’Oswald « valait mieux que ça ». Aussi, le petit ne s’intéressa plus à son père, puisque visiblement, ça déplaisait à sa chère mère.
Notre petit rouquin grandit dans une ambiance pleine d’amour. Sa mère avait fait du bon travail. « Qu’est-ce qu’il est poli, ton fils, Hatsuko ! », « Qu’est-ce qu’il est beau, il doit être populaire à l’école ! » Tout le monde vantait Oswald et il était fier, content de lui. Tout le monde le félicitait, tout le monde l’aimait. Il était tout simplement le meilleur. Sa mère était fière de lui, il était fier de lui-même.
Oswald a entendu parlé du Big Bang Kiss, un affaire beaucoup relayée par les médias. Il n'a jamais suivi l'affaire et ne s'y est jamais intéresse. Ayant été bercé par l'Incontestable, pratiquement, il n'a jamais été contre le système. De toute façon, les rebelles, c'est pas très bien vu, alors bon. Après, il est pas spécialement pour non plus. Il est... Neutre. Après tout, l'Incontestable a permis de belles choses. Comme lui par exemple.
Et ça dura longtemps.
Jusqu’à la mi-août 2108, jour du remariage d’Hatsuko. Oswald allait sur ses seize ans quand une lettre rose fut livrée chez lui pour sa mère. Il savait bien ce que c’était. Il avait compris très vite. Il en hurla de frustration refusant que sa mère soit remariée. Hatsuko, qui n’avait eût d’yeux que pour son fils à ne s’occuper que de lui, devrait maintenant s’occuper de quelqu’un d’autre. C’était intolérable.
Mais, ce n’était pas le pire.
Il s’appelait Eita Mikado et était dans leur nouveau logement la veille. Il avait 52 ans, était directeur d’un petit commerce, il était d’un caractère plutôt doux et sage, mais il ne fallait pas trop s’amuser à l’énerver. Il avait un fils, Hiroyuki, qui avait le même âge qu’Oswald. Bien que plus posé et moins fier que son, désormais, frère par alliance, le fils Mikado avait la mauvaise habitude de prendre le jeune Nicolson de haut. Ce qu’il n’accepta pas.
Les frères par alliance passaient leur temps à s’engueuler, à se tirer dans les pattes voire parfois à en venir aux mains. Et souvent sous le regard désespéré de leurs parents qui ne savaient pas quoi faire pour les calmer et les aider à bien s’entendre. Il a fallu qu’Oswald sabote les freins du vélo d’Hiroyuki et que ce dernier finisse à l’hôpital avec une entorse à la cheville et un poignet cassé pour qu’ils se décident de réagir.
« Oswald, je sais que c’est dur pour toi, mais ça ne peut plus continuer. Tu as envoyé Hiroyuki à l’hôpital, il n’a pas grand-chose mais ça aurait pu être bien pire ! »
« Borf, ça n’aurait pas été une grosse perte… »
« OSWALD NICOLSON ! Je ne t’ai pas élevé de cette manière ! … On va faire en sorte que l’entente soit meilleure entre toi et Hiroyuki. Pour commencer, vous viendrez tous les deux prendre votre repas avec nous, nous ferons dorénavant des activités tous les quatre et , comme tu es le plus intelligent, tu aideras Hiroyuki avec ses devoirs. Et je te préviens, je t’aurais à l’œil, tu as intérêt à y mettre de la bonne volonté, Nicolson. »
Vexé comme un pou de s’être fait remonter les bretelles, Oswald bouda un long, très long moment sa maman. Deux semaines. Ce n’est peut-être pas grand-chose pour vous, mais pour quelqu’un qui a une forte relation avec sa mère, c’est quand même beaucoup. Le jeune s’était aperçu que son attitude vexait sa chère maman et il essaya de faire des efforts, plus pour elle que par réelle envie.
L’ambiance devint un peu meilleure à la maison, mais Oswald et Hiroyuki n’arrivaient pas à s’apprécier ni à communiquer. Enfin, du moins, devant leurs parents, ils faisaient semblant. Dans leur dos, ils continuaient à s’insulter et se chamailler.
Les 11 et 12 Octobre 2109 furent frappés par une terrible catastrophe climatique : Shukumei. Bien que physiquement, lui et sa famille n'avaient rien de grave, quelques blessures qui avaient vite guéries, leur maison, elle, n'avait pas eût cette chance. Complètement ravagée, il n'en restait plus grand chose. Ils purent récupérer quelques affaires et furent relogés dans un appartement plus petit. Ça n'avait été que temporaire, le temps que les dégâts soit réparés. Heureusement pour le coeur d'Oswald, cette histoire de mariage bizarre relayée par les média n'avait pas touchée sa mère.
Puis vint l’heure pour Oswald de quitter la maison. Il avait décidé de faire des études de droit, pour devenir avocat. Il avait choisi pour cela la meilleure université du pays, celle de Todai. Et il travailla d’arrache-pied pour parvenir à y être admis. Il travailla tellement qu’il finit par décrocher une bourse lui permettant d’étudier à Tokyo.
Il finit donc par déménager dans un studio étudiant et il se trouva même un petit travail de baby-sitter, histoire de ne pas être trop dépendant financièrement parlant. Il put même s’acheter une petite chatte de race Laperm nommée Narcisse.
Depuis, Oswald fait sa vie avec son chat, ses études et son job.
Ses parents divorcèrent deux ans plus tard, sur ordre de l’Incontestable. Hatsuko, au courant bien avant son ex-mari, partit fissa de leur logement, son enfant sous le bras. Elle retourna chez ses parents, à Osaka, se mettant vite en quête d’un logement et d’un travail afin d’élever convenablement son fils.
Hatsuko Toda s’est vite trouvée un travail dans une parfumerie et un petit appartement assez convenable pour elle et son enfant. Mère célibataire, elle fit son possible pour faire de son enfant un garçon parfait, loin de l’image de son père. Elle avait une technique très simple pour ça, dès qu’Oswald faisait quelque chose qu’elle estimait bien, elle le félicitait chaudement, par un petit cadeau ou autre. Et comme le petit garçon adorait sa mère, il souhaitait de tout cœur lui faire plaisir.
Bien qu’Oswald n’ai jamais ressenti le manque de son père, il vivait certes simplement avec sa mère mais ils étaient heureux, vint quand même l’époque où il s’interrogea sur Raghnall. C’était peu après son entrée en deuxième année de primaire. Sa mère avait été le chercher à l’école et ils étaient rentrés tandis qu’Oswald racontait sa journée à Hatsuko. Puis, une fois dans leur logement, le petit garçon avait demandé, pour la première et unique fois, qui était son père dont il ne connaissait même pas le prénom.
La définition donnée par Hatsuko donna la nausée à son fils. « Foncièrement mauvais », « Rustre », « Brutal », « Peu recommandable », « Vraiment pas fréquentable », « À éviter à tout prix ». Jamais, ô grand jamais, Oswald n’aurait cru sa mère capable de brosser un portrait si noir de quelqu’un. Au final, elle lui demanda de ne plus se questionner à propos de cet homme, qu’Oswald « valait mieux que ça ». Aussi, le petit ne s’intéressa plus à son père, puisque visiblement, ça déplaisait à sa chère mère.
Notre petit rouquin grandit dans une ambiance pleine d’amour. Sa mère avait fait du bon travail. « Qu’est-ce qu’il est poli, ton fils, Hatsuko ! », « Qu’est-ce qu’il est beau, il doit être populaire à l’école ! » Tout le monde vantait Oswald et il était fier, content de lui. Tout le monde le félicitait, tout le monde l’aimait. Il était tout simplement le meilleur. Sa mère était fière de lui, il était fier de lui-même.
Oswald a entendu parlé du Big Bang Kiss, un affaire beaucoup relayée par les médias. Il n'a jamais suivi l'affaire et ne s'y est jamais intéresse. Ayant été bercé par l'Incontestable, pratiquement, il n'a jamais été contre le système. De toute façon, les rebelles, c'est pas très bien vu, alors bon. Après, il est pas spécialement pour non plus. Il est... Neutre. Après tout, l'Incontestable a permis de belles choses. Comme lui par exemple.
Et ça dura longtemps.
Jusqu’à la mi-août 2108, jour du remariage d’Hatsuko. Oswald allait sur ses seize ans quand une lettre rose fut livrée chez lui pour sa mère. Il savait bien ce que c’était. Il avait compris très vite. Il en hurla de frustration refusant que sa mère soit remariée. Hatsuko, qui n’avait eût d’yeux que pour son fils à ne s’occuper que de lui, devrait maintenant s’occuper de quelqu’un d’autre. C’était intolérable.
Mais, ce n’était pas le pire.
Il s’appelait Eita Mikado et était dans leur nouveau logement la veille. Il avait 52 ans, était directeur d’un petit commerce, il était d’un caractère plutôt doux et sage, mais il ne fallait pas trop s’amuser à l’énerver. Il avait un fils, Hiroyuki, qui avait le même âge qu’Oswald. Bien que plus posé et moins fier que son, désormais, frère par alliance, le fils Mikado avait la mauvaise habitude de prendre le jeune Nicolson de haut. Ce qu’il n’accepta pas.
Les frères par alliance passaient leur temps à s’engueuler, à se tirer dans les pattes voire parfois à en venir aux mains. Et souvent sous le regard désespéré de leurs parents qui ne savaient pas quoi faire pour les calmer et les aider à bien s’entendre. Il a fallu qu’Oswald sabote les freins du vélo d’Hiroyuki et que ce dernier finisse à l’hôpital avec une entorse à la cheville et un poignet cassé pour qu’ils se décident de réagir.
« Oswald, je sais que c’est dur pour toi, mais ça ne peut plus continuer. Tu as envoyé Hiroyuki à l’hôpital, il n’a pas grand-chose mais ça aurait pu être bien pire ! »
« Borf, ça n’aurait pas été une grosse perte… »
« OSWALD NICOLSON ! Je ne t’ai pas élevé de cette manière ! … On va faire en sorte que l’entente soit meilleure entre toi et Hiroyuki. Pour commencer, vous viendrez tous les deux prendre votre repas avec nous, nous ferons dorénavant des activités tous les quatre et , comme tu es le plus intelligent, tu aideras Hiroyuki avec ses devoirs. Et je te préviens, je t’aurais à l’œil, tu as intérêt à y mettre de la bonne volonté, Nicolson. »
Vexé comme un pou de s’être fait remonter les bretelles, Oswald bouda un long, très long moment sa maman. Deux semaines. Ce n’est peut-être pas grand-chose pour vous, mais pour quelqu’un qui a une forte relation avec sa mère, c’est quand même beaucoup. Le jeune s’était aperçu que son attitude vexait sa chère maman et il essaya de faire des efforts, plus pour elle que par réelle envie.
L’ambiance devint un peu meilleure à la maison, mais Oswald et Hiroyuki n’arrivaient pas à s’apprécier ni à communiquer. Enfin, du moins, devant leurs parents, ils faisaient semblant. Dans leur dos, ils continuaient à s’insulter et se chamailler.
Les 11 et 12 Octobre 2109 furent frappés par une terrible catastrophe climatique : Shukumei. Bien que physiquement, lui et sa famille n'avaient rien de grave, quelques blessures qui avaient vite guéries, leur maison, elle, n'avait pas eût cette chance. Complètement ravagée, il n'en restait plus grand chose. Ils purent récupérer quelques affaires et furent relogés dans un appartement plus petit. Ça n'avait été que temporaire, le temps que les dégâts soit réparés. Heureusement pour le coeur d'Oswald, cette histoire de mariage bizarre relayée par les média n'avait pas touchée sa mère.
Puis vint l’heure pour Oswald de quitter la maison. Il avait décidé de faire des études de droit, pour devenir avocat. Il avait choisi pour cela la meilleure université du pays, celle de Todai. Et il travailla d’arrache-pied pour parvenir à y être admis. Il travailla tellement qu’il finit par décrocher une bourse lui permettant d’étudier à Tokyo.
Il finit donc par déménager dans un studio étudiant et il se trouva même un petit travail de baby-sitter, histoire de ne pas être trop dépendant financièrement parlant. Il put même s’acheter une petite chatte de race Laperm nommée Narcisse.
Depuis, Oswald fait sa vie avec son chat, ses études et son job.
Caractère
Oswald est une personne qui aime les compliments. Et il fera tout pour en obtenir. Pour cela, il prendra toujours soin de lui, faisant toujours attention à son apparence et fera tout son possible pour rester présentable. Mais au-delà de son apparence, il y aussi son savoir-être qui joue, souriant, de bonne humeur, serviable, etc… C’est dur de lui reprocher quoique ce soit, et honnêtement, en a-t-on vraiment envie face à un tel garçon ? Lui-même sait bien que non. Et il en profite, le bougre.
Ce jeune aime apprendre et étudier. Il veut tout savoir sur tout, être incollable, parce qu’après tout, il sait tout mieux que vous. Enfin, c’est sa réputation qui est un peu en jeu (de son point de vue, pas de celui des autres). N’importe qui venant chez lui pourra aisément admirer sa jolie bibliothèque pleine d’ouvrages divers et variés, surtout variés. C’est qu’il apprécie de lire dans ses rares temps libres. Parce qu’Oswald est toujours plongé dans le travail. Et il y met beaucoup de cœur. Sa fierté : la bourse étudiante qu’il a réussi à obtenir à force de travail acharné.
Notre petit poulpe est une personne très fausse, avec beaucoup de sourires faux. Il l’a bien compris, qu’en ayant un comportement exemplaire, il ne pouvait qu’avoir que bonne réputation et popularité. De plus, il adore donner des conseils, très souvent des bons, même quand on ne lui demande rien. Ça lui donne une réputation de personne exemplaire. Et honnêtement, il adore ça.
Oswald s’intéresse, contrairement à ce qu’on pourrait penser, aux commérages et aux rumeurs. Bien sûr, il adore en lancer, bien qu’elles soient fausses dans beaucoup de cas, comme n’importe quelle personne un tant soit peu malicieuse. Mais, il préférera surtout écouter les ragots. Les commérages lui permettent de savoir ce que les gens pensent de lui. Il garde le meilleur et ignore le mauvais. Bien sûr, tout ça dans l’unique but de nourrir son égo.
Il est très pompeux, ceux qu’il trouve idiots ou détestables, il prend un malin plaisir à les regarder de haut, tout simplement. Il les méprise, leur parle avec condescendance et sarcasme et les trouve indigne de lui.
Oswald aime attirer l’attention, être le centre du monde et ne laisser personne dans l’indifférence. Cependant, ce qu’il refuse de voir, c’est l’hypocrisie des autres. Il le sait très bien, que tous peuvent dire du bien devant lui et lui casser du sucre dans le dos mais il refuse tout simplement de l’accepter. Tout le monde l’aime, après tout.
Dernier point non négligeable. Il tient énormément à sa mère, après tout, sans elle, il ne serait pas là. Il n’est pas très recommandé d’insulter Hatsuko, surtout pas son fils. Il rentre alors dans une fureur noire qui le rend réellement mauvais.
Pour résumer, Oswald est un garçon poli, aimable, serviable, terriblement bien élevé mais qui garde, malgré toute la bonne éducation qu’à pu lui prodiguer sa mère, de sévères défauts.
Mais n’oubliez jamais qu’il reste un Nicolson…
Ce jeune aime apprendre et étudier. Il veut tout savoir sur tout, être incollable, parce qu’après tout, il sait tout mieux que vous. Enfin, c’est sa réputation qui est un peu en jeu (de son point de vue, pas de celui des autres). N’importe qui venant chez lui pourra aisément admirer sa jolie bibliothèque pleine d’ouvrages divers et variés, surtout variés. C’est qu’il apprécie de lire dans ses rares temps libres. Parce qu’Oswald est toujours plongé dans le travail. Et il y met beaucoup de cœur. Sa fierté : la bourse étudiante qu’il a réussi à obtenir à force de travail acharné.
Notre petit poulpe est une personne très fausse, avec beaucoup de sourires faux. Il l’a bien compris, qu’en ayant un comportement exemplaire, il ne pouvait qu’avoir que bonne réputation et popularité. De plus, il adore donner des conseils, très souvent des bons, même quand on ne lui demande rien. Ça lui donne une réputation de personne exemplaire. Et honnêtement, il adore ça.
Oswald s’intéresse, contrairement à ce qu’on pourrait penser, aux commérages et aux rumeurs. Bien sûr, il adore en lancer, bien qu’elles soient fausses dans beaucoup de cas, comme n’importe quelle personne un tant soit peu malicieuse. Mais, il préférera surtout écouter les ragots. Les commérages lui permettent de savoir ce que les gens pensent de lui. Il garde le meilleur et ignore le mauvais. Bien sûr, tout ça dans l’unique but de nourrir son égo.
Il est très pompeux, ceux qu’il trouve idiots ou détestables, il prend un malin plaisir à les regarder de haut, tout simplement. Il les méprise, leur parle avec condescendance et sarcasme et les trouve indigne de lui.
Oswald aime attirer l’attention, être le centre du monde et ne laisser personne dans l’indifférence. Cependant, ce qu’il refuse de voir, c’est l’hypocrisie des autres. Il le sait très bien, que tous peuvent dire du bien devant lui et lui casser du sucre dans le dos mais il refuse tout simplement de l’accepter. Tout le monde l’aime, après tout.
Dernier point non négligeable. Il tient énormément à sa mère, après tout, sans elle, il ne serait pas là. Il n’est pas très recommandé d’insulter Hatsuko, surtout pas son fils. Il rentre alors dans une fureur noire qui le rend réellement mauvais.
Pour résumer, Oswald est un garçon poli, aimable, serviable, terriblement bien élevé mais qui garde, malgré toute la bonne éducation qu’à pu lui prodiguer sa mère, de sévères défauts.
Mais n’oubliez jamais qu’il reste un Nicolson…
Physique
Oswald est beau et il le sait aussi bien que vous.
Bien qu’il soit de taille moyenne et absolument pas gaulé comme un dieu grec, il compense avec un physique très avantageux. Il n’est pas trop gros, il n’est pas très maigre, il est pile dans la moyenne. Pas très carré d’épaule, pas musclé pour deux sous, Oswald est le parfait cliché du petit intello, poli et serviable. À ceci près qu’il ne porte pas de lunettes, ayant une vision excellente.
Le visage d’Oswald est ovale, avec des joues un peu creuses, une mâchoire harmonieuse. Ses cheveux d’un roux flamboyant, toujours impeccablement bien peignés, encadrent à la perfection son adorable frimousse. Il possède deux yeux verts, bien que ce ne soit pas leur couleur d’origine. Il est né avec les yeux bruns, comme tout bon japonais qui se respecte. Mais par soucis esthétique, il décide de porter des lentilles pour donner à ses yeux une jolie couleur verte. Anecdote : Ses yeux sont souvent cernés, suite à quelques nuits blanches et un travail acharné, mais il les cache habillement sous une couche de fond de teint. Rien de spécial à dire sur son nez, si ce n’est qu’il est légèrement en trompette, ni sur ses lèvres, qui sont très fines. Autre petit détail important, il possède beaucoup de taches de rousseur, dont il a honte, et qu’il dissimule, là encore, sous une couche de feint. Double avantage, ça lui donne un teint clair, sans être blafard. Naturellement, il possède une peau assez pâle. Peut-être trop pâle ?
Pas tatoué, pas percé, son corps a été conçu comme tout le monde. Deux bras, deux jambes, aucunement disproportionné. Il est quand même plutôt bien gâté par la nature, ce gamin.
Parlons de son style vestimentaire. Il aime avoir l’air classieux, à n’importe quel moment de la journée. Il se met donc souvent en chemise et cravate assortie, pour ne pas dire que sa penderie n’est remplie que de ça. Il mettra souvent un jean avec ça. S’il a trop froid, il mettra un veston par-dessus sa chemise, ou une veste, mais généralement, il aime bien juste retrousser ses manches jusqu’aux coudes. Il trouve que ça lui donne un petit genre. Ses vêtements sont toujours impeccables, pas froissés, pas un seul poil de chat, toujours beaux et odorants.
D’ailleurs, il adore les vêtements de luxe, c’est son péché mignon, et bien qu’il ne soit financièrement pas dans le besoin, s’il a pris un job étudiant, c’est pour pouvoir continuer à s’acheter ses vêtements de luxe. C’est qu’il aime bien montrer qu’il possède de l’argent.
Si vous vous posiez la question, il a un rituel qui lui prend facilement une bonne demi-heure chaque matin dans sa salle de bain, pour paraître beau et présentable. L’apparence, c’est important pour faire bonne impression.