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L'Incontesté

Épreuve 1 ;;
T'as l'air malade, non ?
T'as l'air malade, non ?
Le monde est en proie à un cataclysme sans précédent. Une vague de zombies déferle dans les rues et attaque tout sur son passage. Vous ! Oui vous là-bas ! Vous faites bien partie de ceux qui restent ? Des petits chanceux encore debout et prêts à tout pour survivre non ? Alors bougez-vous les fesses et venez nous aider à tous les buter !
✗ Vous avez deux jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout).
✗ L'épreuve se termine donc le 07 juillet à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 350 mots maximum.
Binôme: Reload & Les Chroniques d'Irydaë
Le dé a choisi Les Chroniques d'Irydaë pour commencer cette épreuve !
Rappel des règles
✗ Vous avez deux jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout).
✗ L'épreuve se termine donc le 07 juillet à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 350 mots maximum.
Binôme: Reload & Les Chroniques d'Irydaë
Le dé a choisi Les Chroniques d'Irydaë pour commencer cette épreuve !
L'Incontesté

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Invité
Swenn [CI]

Aloooors pour que tout le monde puisse se faire une petite idée de qui est Swenn j'vous en fait une représentation rapide (oui parce que sinon c'est un peu chiant quand même...)

Du coup c'est lui, sur l'image au dessus. C'est un chimiste, qui a un peu dévié de sa trajectoire de base et qui se retrouve principalement à dealer toutes sortes de produits peu légaux (mais ça c'est pas d'ma faute, faut accuser les autres Irydars >_>). Sinon il est du genre à râler. Tout le temps. Au niveau temporel le monde d'Irydae se situe à la fin du XIXème siècle (en gros, parce que ça reste du fantastique/steam punk) donc les zombies ça ne fait pas partie de sa culture x') Par contre la magie, ça existe ! Mais il n'aime pas trop les mages... Et j'crois que c'est tout ce qu'il y a besoin de savoir ...
- "Qu’est-ce que c’est qu’ce bordel encore ?!"
Reposant son troisième verre de whisky sur le comptoir, voilà qu’un troupeau d’idiots (il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ces gens qui hurlent en essayant de passer à quatre par la petite porte du bar), fait irruption au sein de cette auberge miteuse. Grommelant son mécontentement de sa voix rendue roque par des années de tabac, Swenn ne met pas plus de temps pour aller à contre-courant. Bien sûr qu’il veut savoir ce qui se passe !
Quelques coups de coude distribués au passage, deux trois injures encaissées, voilà le dealer qui se retrouve dans la grande rue passante, qui a pris des airs d’apocalypse. Des morts. Mais ils ne sont jamais entiers. Davantage perdu que choqué (des corps disséqués il en a vu passer un certain nombre), le jeune homme reste sur place quelques secondes, à observer ces gens, pas vraiment morts sans pour autant paraître bien vivants, se jeter sur tout ce qui bouge. Pour… Les manger ?
Trois secondes. Ce n’est pas très long, mais face à une horde de zombies affamés, c’est beaucoup trop. Une femme au regard vide mais aux dents aiguisées tente déjà de l’attraper par le bras. Coup de genou dans l’estomac pour échapper à ce contact peu ragoutant (n’imaginons même pas quelles bactéries elle peut bien transporter…) Swenn commence enfin à réagir en humain non dépourvu d’un instinct de survie. Oui, il se met à courir. Fait rare, qui prouve bien l’urgence de la situation !!
- "Eh gamin !! Par là !"
Pas que le dealer apprécie les mioches, mais ce garçon paraît encore être l’une des rares personnes qui ne dégouline pas de sang. Profitant de sa taille et de sa carrure bien plus imposante que celle de l’avorton au cheveux blancs (oui c’est bizarre, mais moins que le reste), Swenn l’attrape par le bras pour l’empêcher d’entrer droit dans un cul de sac.
- "T’aurais pas un flingue par hasard ?!"
Non, il n'aime pas les armes à feu, mais une exception de temps en temps ne fait pas de mal...
[341 mots]

Du coup c'est lui, sur l'image au dessus. C'est un chimiste, qui a un peu dévié de sa trajectoire de base et qui se retrouve principalement à dealer toutes sortes de produits peu légaux (mais ça c'est pas d'ma faute, faut accuser les autres Irydars >_>). Sinon il est du genre à râler. Tout le temps. Au niveau temporel le monde d'Irydae se situe à la fin du XIXème siècle (en gros, parce que ça reste du fantastique/steam punk) donc les zombies ça ne fait pas partie de sa culture x') Par contre la magie, ça existe ! Mais il n'aime pas trop les mages... Et j'crois que c'est tout ce qu'il y a besoin de savoir ...
Et puis j'ai pas envie de m'étendre ici, parce que je veux rp !! :3
- "Qu’est-ce que c’est qu’ce bordel encore ?!"
Reposant son troisième verre de whisky sur le comptoir, voilà qu’un troupeau d’idiots (il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ces gens qui hurlent en essayant de passer à quatre par la petite porte du bar), fait irruption au sein de cette auberge miteuse. Grommelant son mécontentement de sa voix rendue roque par des années de tabac, Swenn ne met pas plus de temps pour aller à contre-courant. Bien sûr qu’il veut savoir ce qui se passe !
Quelques coups de coude distribués au passage, deux trois injures encaissées, voilà le dealer qui se retrouve dans la grande rue passante, qui a pris des airs d’apocalypse. Des morts. Mais ils ne sont jamais entiers. Davantage perdu que choqué (des corps disséqués il en a vu passer un certain nombre), le jeune homme reste sur place quelques secondes, à observer ces gens, pas vraiment morts sans pour autant paraître bien vivants, se jeter sur tout ce qui bouge. Pour… Les manger ?
Trois secondes. Ce n’est pas très long, mais face à une horde de zombies affamés, c’est beaucoup trop. Une femme au regard vide mais aux dents aiguisées tente déjà de l’attraper par le bras. Coup de genou dans l’estomac pour échapper à ce contact peu ragoutant (n’imaginons même pas quelles bactéries elle peut bien transporter…) Swenn commence enfin à réagir en humain non dépourvu d’un instinct de survie. Oui, il se met à courir. Fait rare, qui prouve bien l’urgence de la situation !!
- "Eh gamin !! Par là !"
Pas que le dealer apprécie les mioches, mais ce garçon paraît encore être l’une des rares personnes qui ne dégouline pas de sang. Profitant de sa taille et de sa carrure bien plus imposante que celle de l’avorton au cheveux blancs (oui c’est bizarre, mais moins que le reste), Swenn l’attrape par le bras pour l’empêcher d’entrer droit dans un cul de sac.
- "T’aurais pas un flingue par hasard ?!"
Non, il n'aime pas les armes à feu, mais une exception de temps en temps ne fait pas de mal...
[341 mots]
- HRP:
- Coucou You !! Alors déjà... J'suis trop contente de pouvoir faire ce rp avec toi !! J'espère que cette ouverture te conviendra ! J'ai trop hâte de voir comment notre duo va survivre (ou pas x'D)
Swenn [CI]

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Invité
Joshua Grimgorson [RE]

Portrait de Joshua Grimgorson.
- Portrait de Joshua:
Image prise sur Zerochan.
Artiste : ShinigamiRukia
Référence : Pixiv Id 851161, BLEACH, Hitsugaya Toushirou, Shinigami, Fanart, Pixiv, Fanart From Pixiv, PNG Conversion, Gotei 13, 10th Squad.
Célibataire.
Pères : Guilhem Grimgorson et Akimitsu Lightwood.
Frères : Andrew, Morgan, Erwan et Méphisto.
Soeur : Kristen.
Taille : 1m45.
Poids : 38,5 kilos.
Âge actuel : 28 ans.
Reload : hybridation entre un ouistiti et un humain. Possède une queue de ouistiti, deux mains et deux pieds de singe (sont beaucoup trop grands par rapport au reste de son corps). Se balade plus facilement à quatre pattes que sur deux pieds.
Suicide en 2008, suite à la mort de sa mère, un an plus tôt.
Tatouage : un petit ouistiti situé sur sa hanche gauche.
Attardé mental.
Aime : les cacahuètes et les bananes.
N'aime pas : qu'on le traite de bébé, de gamin, ou de surnoms avec le mot "petit" dedans.
Se ballade toujours avec une peluche de gorille qu'il appelle affectueusement "mon King Kong".
Expert dans l'art de mettre des coups dans les roubignolles.
A des avis et des théories sur tout et n'importe quoi.
Co-gérant de la Taverne Onirique avec son père, Guilhem, et son grand frère, Andrew.
Responsable de l’équipe spectacle de la Taverne Onirique.
T’a l’air malade, non ?
feat. Swenn
Nombre de mots : 339.
Je n’avais pas tout de suite compris. Non… Qui aurait pu se douter que l’humanité serait menacée d’extinction par… des zombies ? Les cris, les hurlements, les aboiements… Ca faisait peur, si peur. Papou avait promis de revenir me chercher. Mais ça faisait si longtemps qu’il était parti. Je dus prendre mon courage à deux mains. Je devais retrouver et sauver mon papou.
Je finis par sortir de ma cachette. Le plus important, pour le moment, était de me constituer un sac de survie… et trouver des caleçons de rechange. Je me débarrassais du superflu, notamment de mes chaussures et de mon pantalon. Se balader en caleçon était une idée remarquable : ça me permettait de laisser ma queue de ouistiti voguer à son aise. Il fut plus difficile de trouver de la nourriture.
Mais avec mon King Kong, rien n’était insurmontable. Au détour d’une rue, alors que je cherchais à regagner les toits, je fus interpellé par un mec super chelou. Vu la différence de gabarit, je ne pus que me résoudre à le suivre.
« Toi, tu m’appelles encore une seule fois « gamin », et j’te jure que tu peux dire adieu à tes roubignolles ! »
Je reniflais bruyamment, avant de lui avouer.
« Et je ne sais pas c’est quoi un flingue. Par contre, j’ai des caleçons, des barres de céréales, des bananes séchées, des cacahuètes et mon King Kong... Mais je ne te prête pas mon King Kong. »
Des râles me firent sursauter. Oups. Encore un caleçon à jeter.
« Vite, m’sieur qui ressemble à rien ! Par là ! Faut prendre de la hauteur pour pas que… que les trucs nous attrapent ! »
Je lui fis signe de me suivre, et nous nous retrouvâmes quelques minutes plus tard sur un toit. J’étais rouge d’avoir trop couru. Je pris alors le temps de l’observer d’un air suspicieux.
« Comment je sais que toi, tu n’es pas un zombie ? Parce que, faut l’admettre ! Tu es presque aussi moche qu’eux ! »
A-Lice | Never-Utopia
- HRP:
- C'est aussi un plaisir de te rencontrer et de rp avec toi !
Nous allons tout déchirer ! **
Et tu écris très bien ! J'ai adoré cette ouverture !
Joshua Grimgorson [RE]

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Invité
Swenn [CI]

Pourquoi faut-il toujours qu’il tombe sur des cas à part ? La normalité c’est bien aussi… Enfin, c’est pas l’heure du débat, parce qu’il commence à y avoir un peu trop d’estomacs affamés de viande humaine autour d'eux. Donc, des caleçons mais pas de flingue… Et avec un caractère de merde en plus. Génial…
- "C’est sûr que si tu te considères comme une référence de banalité, on est mal barrés… "
Un ton parfaitement hautain, Swenn ne risque pas de s’énerver face à un mioche. Un mioche qui a une queue de singe… Est-ce qu’il ne serait pas en plein bad trip au moins ? Non, pourtant il n’a rien consommé d’autre que ces whiskys… Et ces horreurs ont l’air beaucoup trop réelles !
- "Attend, par où tu passes là… ?"
Oui oui, ça pourrait paraître logique en observant la constitution de mini boy… Le problème, c’est que le chimiste n’est pas aussi bien équipé ! Pour l’escalade… Non mais parce qu’à parler de queue et de roubignolles parfois… Bref. Il galère. Se cogne les genoux plus d’une fois. Peste (ça, il maîtrise !). Dérape. Manque de mourir d’une chute fatale. Et perd même une chaussure dans la bataille. Mais il arrive sur ce putain de toit, le souffle court mais sa fierté presque intacte.
- "Ehoh, de nous deux c’est toi qu’a la gueule d’une expérience ratée. Alors tes goûts douteux, tu t'les gardes !"
J’ai dit qu’il a du mal avec les enfants ? Faut toujours qu'ils lancent des débats stupides aussi !!
- "Je sais pas de quel hosto tu sors et j’m’en fout. Faut qu’on quitte la ville, ça pue. Mais j'vais pas pouvoir passer par les toits. Tu crois que tu peux faire diversion depuis là haut ? En leur balançant des cailloux ? Ou tes cacahuètes..." C'est ironique, pour ceux qui auraient du mal. "Et moi, j'vais voir c'que je peux trouver en bas pour se frayer un passage."
Il n'a pas très envie de retourner au sol, mais il n'y a pas beaucoup d'autres solutions pour sortir d'ici... Un couvercle de poubelle en visuel, ça devrait faire l'affaire !
-"Prêt ?"
- "C’est sûr que si tu te considères comme une référence de banalité, on est mal barrés… "
Un ton parfaitement hautain, Swenn ne risque pas de s’énerver face à un mioche. Un mioche qui a une queue de singe… Est-ce qu’il ne serait pas en plein bad trip au moins ? Non, pourtant il n’a rien consommé d’autre que ces whiskys… Et ces horreurs ont l’air beaucoup trop réelles !
- "Attend, par où tu passes là… ?"
Oui oui, ça pourrait paraître logique en observant la constitution de mini boy… Le problème, c’est que le chimiste n’est pas aussi bien équipé ! Pour l’escalade… Non mais parce qu’à parler de queue et de roubignolles parfois… Bref. Il galère. Se cogne les genoux plus d’une fois. Peste (ça, il maîtrise !). Dérape. Manque de mourir d’une chute fatale. Et perd même une chaussure dans la bataille. Mais il arrive sur ce putain de toit, le souffle court mais sa fierté presque intacte.
- "Ehoh, de nous deux c’est toi qu’a la gueule d’une expérience ratée. Alors tes goûts douteux, tu t'les gardes !"
J’ai dit qu’il a du mal avec les enfants ? Faut toujours qu'ils lancent des débats stupides aussi !!
- "Je sais pas de quel hosto tu sors et j’m’en fout. Faut qu’on quitte la ville, ça pue. Mais j'vais pas pouvoir passer par les toits. Tu crois que tu peux faire diversion depuis là haut ? En leur balançant des cailloux ? Ou tes cacahuètes..." C'est ironique, pour ceux qui auraient du mal. "Et moi, j'vais voir c'que je peux trouver en bas pour se frayer un passage."
Il n'a pas très envie de retourner au sol, mais il n'y a pas beaucoup d'autres solutions pour sortir d'ici... Un couvercle de poubelle en visuel, ça devrait faire l'affaire !
-"Prêt ?"
[349 mots, c'est chaud !!]
Swenn [CI]

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Invité
Joshua Grimgorson [RE]

T’as l’air malade, non ?
feat. Swenn
Nombre de mots : 350.
Je n’aimais pas du tout le ton qu’employait le m’sieur tout bizarre.
« Ce que tu racontes n’a aucun sens. J’ne sais même pas c’est quoi une référence de banalité. Tssss… Encore l’une de ces expressions de grands qui sait très bien se la ramener mais qui, au final, n’est là que pour te donner un air important. »
Je commençais à emprunter des passages dont les hommes comme lui ne soupçonnaient même pas l’existence car ils étaient toujours très pressés et occupés. Une fois sur le toit, la conversation continua sur des tons aussi déplaisants que déplacés.
« Eh oh ! Ne passe pas tes nerfs sur moi ! Je ne t’ai rien d’mandé. Et ce n’est pas très gentil de voler les argumentations des autres. T’es moche, et puis voilà ! Y’a pas d’quoi en faire un fromage. Le bon côté des choses, c’est que tu pourras passer inaperçu… sauf si tu sens trop la chair fraiche. »
Je fronçais légèrement les sourcils face à la suite de son discours.
« Moi, j’trouve que tu es quand même un peu trop le chef dans cette histoire. Tu crois vraiment que je vais me fier comme ça à ton plan ? J’te signale qu’on se connaît d’puis au moins… euh… disons qu’on ne s’connaît pas depuis très longtemps… Qu’est ce qui me dit que tu ne vas pas m’abandonner une fois que j’aurais fait diversion ? »
Je le toisais toujours de ce regard mauvais. J’ai toujours vécu dans ma petite bulle, et faire confiance à cet homme allait à l’encontre de toutes mes convictions : je n’ai jamais fait confiance à l’extérieur, et cet hurluberlu représentait cet extérieur si effrayant.
« Et qui me dit que tu ne m’abandonneras pas aux animaux qui mangent les petits comme moi une fois que nous serons hors des murs de la ville ? »
Je serrais les poings.
« Et de toute façon, je ne quitterais pas ici tant que je n’aurais pas retrouvé mon papou. »
Je n’aimais pas du tout le ton qu’employait le m’sieur tout bizarre.
« Ce que tu racontes n’a aucun sens. J’ne sais même pas c’est quoi une référence de banalité. Tssss… Encore l’une de ces expressions de grands qui sait très bien se la ramener mais qui, au final, n’est là que pour te donner un air important. »
Je commençais à emprunter des passages dont les hommes comme lui ne soupçonnaient même pas l’existence car ils étaient toujours très pressés et occupés. Une fois sur le toit, la conversation continua sur des tons aussi déplaisants que déplacés.
« Eh oh ! Ne passe pas tes nerfs sur moi ! Je ne t’ai rien d’mandé. Et ce n’est pas très gentil de voler les argumentations des autres. T’es moche, et puis voilà ! Y’a pas d’quoi en faire un fromage. Le bon côté des choses, c’est que tu pourras passer inaperçu… sauf si tu sens trop la chair fraiche. »
Je fronçais légèrement les sourcils face à la suite de son discours.
« Moi, j’trouve que tu es quand même un peu trop le chef dans cette histoire. Tu crois vraiment que je vais me fier comme ça à ton plan ? J’te signale qu’on se connaît d’puis au moins… euh… disons qu’on ne s’connaît pas depuis très longtemps… Qu’est ce qui me dit que tu ne vas pas m’abandonner une fois que j’aurais fait diversion ? »
Je le toisais toujours de ce regard mauvais. J’ai toujours vécu dans ma petite bulle, et faire confiance à cet homme allait à l’encontre de toutes mes convictions : je n’ai jamais fait confiance à l’extérieur, et cet hurluberlu représentait cet extérieur si effrayant.
« Et qui me dit que tu ne m’abandonneras pas aux animaux qui mangent les petits comme moi une fois que nous serons hors des murs de la ville ? »
Je serrais les poings.
« Et de toute façon, je ne quitterais pas ici tant que je n’aurais pas retrouvé mon papou. »
A-Lice | Never-Utopia
Joshua Grimgorson [RE]

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Invité
Swenn [CI]

Et on se demande pourquoi il n’aime pas les gosses... Après un long soupire et avoir levé les yeux au ciel, Swenn réfléchit à un changement de plan. Est-ce que ce singe ne se rend pas compte qu’ils n’ont pas le temps d’apprendre à faire connaissance ?
- "C’est toi qui s’ra à l'abri, tête de nœud !"
Après réflexion, pas sûr qu’il ait très envie de laisser un rôle si important à ce macaque dont la cervelle tient davantage du piaf. Autant faire dans le simple et efficace. Parce qu’il n’a clairement pas le temps d’attendre qu’un Papou sorti d’il ne sait où fasse irruption. Et il n'a pas envie de s'attarder sur les toits. Donc…
- "T’aurais pas des ailes cachées quelque part ?"
Sans laisser le temps à la demi portion de réfléchir à ses paroles, Swenn l’attrape sous les aisselles et l’envoie aussi fort que possible voltiger sur le toit adjacent, légèrement plus bas. Non mais, depuis quand les gamins veulent faire la loi ?! Cela dit, sous ses airs bourrus, il n’a pas vraiment envie que le mioche finisse en brochettes. Autant le laisser là haut.
- "Continue tout droit et t’arrivera près de la périphérie ! Il devrait y en avoir moins !"
Ces quelques mots criés pour s’assurer que le gosse entende bien, l’attention des déchets vivants doit avoir été attirée. Le dealer descend donc par derrière, espérant se faire plus discret. Mais la descente n’est pas plus glorieuse que la montée… Et voilà le chimiste qui tente un saut…. Raté !
- "Putain…"
Un simple mot marmonné entre ses dents serrées, il sent une douleur vive au niveau de son pied déchaussé. Un rapide coup d’œil suffit à lui faire comprendre qu’un objet pointu est à l’origine de cette douleur. Le sang qui s’échappe, il pourrait s’en foutre. Si ça n’attirait pas autant tous les corps sans âmes alentours… Allez, il s’est déjà fait tirer dessus un nombre incalculable de fois, ce n’est surement pas un bout de métal rouillé dans le pied qui va l’empêcher de courir vers une potentielle porte de sortie !! Ou pas. Ce n’est quand même pas pratique…
- "C’est toi qui s’ra à l'abri, tête de nœud !"
Après réflexion, pas sûr qu’il ait très envie de laisser un rôle si important à ce macaque dont la cervelle tient davantage du piaf. Autant faire dans le simple et efficace. Parce qu’il n’a clairement pas le temps d’attendre qu’un Papou sorti d’il ne sait où fasse irruption. Et il n'a pas envie de s'attarder sur les toits. Donc…
- "T’aurais pas des ailes cachées quelque part ?"
Sans laisser le temps à la demi portion de réfléchir à ses paroles, Swenn l’attrape sous les aisselles et l’envoie aussi fort que possible voltiger sur le toit adjacent, légèrement plus bas. Non mais, depuis quand les gamins veulent faire la loi ?! Cela dit, sous ses airs bourrus, il n’a pas vraiment envie que le mioche finisse en brochettes. Autant le laisser là haut.
- "Continue tout droit et t’arrivera près de la périphérie ! Il devrait y en avoir moins !"
Ces quelques mots criés pour s’assurer que le gosse entende bien, l’attention des déchets vivants doit avoir été attirée. Le dealer descend donc par derrière, espérant se faire plus discret. Mais la descente n’est pas plus glorieuse que la montée… Et voilà le chimiste qui tente un saut…. Raté !
- "Putain…"
Un simple mot marmonné entre ses dents serrées, il sent une douleur vive au niveau de son pied déchaussé. Un rapide coup d’œil suffit à lui faire comprendre qu’un objet pointu est à l’origine de cette douleur. Le sang qui s’échappe, il pourrait s’en foutre. Si ça n’attirait pas autant tous les corps sans âmes alentours… Allez, il s’est déjà fait tirer dessus un nombre incalculable de fois, ce n’est surement pas un bout de métal rouillé dans le pied qui va l’empêcher de courir vers une potentielle porte de sortie !! Ou pas. Ce n’est quand même pas pratique…
[349 mots, encore !]
Swenn [CI]

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Invité
Joshua Grimgorson [RE]

T’as l’air malade, non ?
feat. Swenn
Mots : 350
« Eh ! Moi, je n’ai pas une tête de nœuds ! Regarde ! Ma tête, elle n’est pas faite avec des nœuds. »
Je me mis alors à lui décrire ma tête, pour être sûr et certain qu’il comprenne qu’elle n’était pas faite avec des nœuds. La vérité, c’est que je n’avais pas conscience du danger maintenant que j’étais avec cet homme. Il n’était pas très commode, mais il avait… un petit quelque chose qui me faisait dire qu’il connaissait les dangers de la vie et qu’il pourrait me protéger.
« Quoi ? Des ailes ? Qu’est ce que tu ra… »
Je n’eus pas le temps de finir mes réflexions que monsieur ronchon venait de glisser ses mains sous mes aisselles.
« Mais ! Arrête ! Pose-moi tout de suite par terre. Qu’est ce que tu vas faire ? Mais lâche moi ! Je sais marcher tout seul comme un grand. »
Et sans demander son reste, il m’envoya sur le toit suivant. Pardon ? Mais je n’ai pas envie d’aller là-bas sans lui. C’est plus cool de faire le voyage à plusieurs. Et puis, il fallait admettre que je me sentais plus courageux quand j’avais un compagnon de route. Papou m’avait appris à ne laisser personne derrière.
Je l’observe descendre en silence. Décidément ! Il était vraiment nul à l’escalade. Je le vois tomber. Il se met à boiter. Je ne suis pas dupe. Le sang… Je le vois couler. Je déteste voir couler le sang. Ce monsieur, aussi ronchon soit-il, avait tout de même cherché à me protéger. Je ne pouvais donc pas le laisser ici.
Je fus près de lui en une vingtaine de bonds. Je parcourus les derniers mètres qui me séparaient du sol en atterrissant sur un zombie un peu trop proche de lui. Je me mis à grogner. Plus ils approchaient, plus ils se faisaient forts : ils ne les tiendraient pas longtemps à distance de nous.
« Vite, m’sieur ronchon ! Faut y aller ! Tu as promis qu’on quitterait la ville tous les deux ! »
« Eh ! Moi, je n’ai pas une tête de nœuds ! Regarde ! Ma tête, elle n’est pas faite avec des nœuds. »
Je me mis alors à lui décrire ma tête, pour être sûr et certain qu’il comprenne qu’elle n’était pas faite avec des nœuds. La vérité, c’est que je n’avais pas conscience du danger maintenant que j’étais avec cet homme. Il n’était pas très commode, mais il avait… un petit quelque chose qui me faisait dire qu’il connaissait les dangers de la vie et qu’il pourrait me protéger.
« Quoi ? Des ailes ? Qu’est ce que tu ra… »
Je n’eus pas le temps de finir mes réflexions que monsieur ronchon venait de glisser ses mains sous mes aisselles.
« Mais ! Arrête ! Pose-moi tout de suite par terre. Qu’est ce que tu vas faire ? Mais lâche moi ! Je sais marcher tout seul comme un grand. »
Et sans demander son reste, il m’envoya sur le toit suivant. Pardon ? Mais je n’ai pas envie d’aller là-bas sans lui. C’est plus cool de faire le voyage à plusieurs. Et puis, il fallait admettre que je me sentais plus courageux quand j’avais un compagnon de route. Papou m’avait appris à ne laisser personne derrière.
Je l’observe descendre en silence. Décidément ! Il était vraiment nul à l’escalade. Je le vois tomber. Il se met à boiter. Je ne suis pas dupe. Le sang… Je le vois couler. Je déteste voir couler le sang. Ce monsieur, aussi ronchon soit-il, avait tout de même cherché à me protéger. Je ne pouvais donc pas le laisser ici.
Je fus près de lui en une vingtaine de bonds. Je parcourus les derniers mètres qui me séparaient du sol en atterrissant sur un zombie un peu trop proche de lui. Je me mis à grogner. Plus ils approchaient, plus ils se faisaient forts : ils ne les tiendraient pas longtemps à distance de nous.
« Vite, m’sieur ronchon ! Faut y aller ! Tu as promis qu’on quitterait la ville tous les deux ! »
A-Lice | Never-Utopia
Joshua Grimgorson [RE]

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Invité
Swenn [CI]

Une fois la tête de mule et ses protestations envoyées plus loin, à l’abri, Swenn peut se reconcentrer sur la mission n°1. Survivre à cette horde de cadavres qui ont la dalle. Heureusement, même en boitillant, il va toujours plus vite. Malheureusement, ils sont beaucoup trop nombreux à venir dans sa direction. C’est pas bon…
Jusqu’à ce qu’une ombre tombée du ciel atterrisse sur l’un des morceaux de chair ambulants, montrant les crocs. Sauvage le petit ! Mais il faut reconnaître qu’à cet instant, le dealer est bien content de voir la tignasse blanche. Non, il n’est plus en position de râler. Pour une fois qu'il dit quelque chose de censé !! Swenn profite de la légère ouverture ainsi créée pour mettre de la distance avec ce groupe puant.
- "Bien sûr qu’on va quitter cette ville ensemble."
Non, on ne dira pas qu’il a quelque de touchant ce môme. Déjà parce que c’est pas du tout le moment. Et ensuite… Une seule bonne raison, ça suffit ! Le duo se presse (autant que possible avec Swenn qui a de plus en plus de mal à poser son pied au sol), zigzaguant entre différentes ruelles,pour éviter au maximum ces troupeaux qui ne cessent de les prendre pour cibles.
La pancarte d’un bar arrachée au passage, le chimiste s’en sert comme d’une batte de baseball pour éloigner les quelques zombies qui réussissent à les approcher un peu trop. Eheh, qui a dit qu’il y a besoin de flingue ?!
- "Attend, il faut que je fasse quelque chose pour mon pied ou ils ne vont jamais nous lâcher !"
Il serait temps oui, mais c’est bien le premier moment depuis que ouistiti est venu lui filer un coup de main (ou de patte), qu’ils peuvent se permettre un arrêt. Le rythme cardiaque beaucoup trop élevé, Swenn retire son t.shirt qu’il déchire, de sorte à pouvoir nouer le tissu autour de son pied désormais complètement poisseux. Une rapidité due à l’habitude, le dealer serre les dents pour ignorer la douleur qui tente de lui faire tourner la tête.
- "Allez, on y est presque !"
Jusqu’à ce qu’une ombre tombée du ciel atterrisse sur l’un des morceaux de chair ambulants, montrant les crocs. Sauvage le petit ! Mais il faut reconnaître qu’à cet instant, le dealer est bien content de voir la tignasse blanche. Non, il n’est plus en position de râler. Pour une fois qu'il dit quelque chose de censé !! Swenn profite de la légère ouverture ainsi créée pour mettre de la distance avec ce groupe puant.
- "Bien sûr qu’on va quitter cette ville ensemble."
Non, on ne dira pas qu’il a quelque de touchant ce môme. Déjà parce que c’est pas du tout le moment. Et ensuite… Une seule bonne raison, ça suffit ! Le duo se presse (autant que possible avec Swenn qui a de plus en plus de mal à poser son pied au sol), zigzaguant entre différentes ruelles,pour éviter au maximum ces troupeaux qui ne cessent de les prendre pour cibles.
La pancarte d’un bar arrachée au passage, le chimiste s’en sert comme d’une batte de baseball pour éloigner les quelques zombies qui réussissent à les approcher un peu trop. Eheh, qui a dit qu’il y a besoin de flingue ?!
- "Attend, il faut que je fasse quelque chose pour mon pied ou ils ne vont jamais nous lâcher !"
Il serait temps oui, mais c’est bien le premier moment depuis que ouistiti est venu lui filer un coup de main (ou de patte), qu’ils peuvent se permettre un arrêt. Le rythme cardiaque beaucoup trop élevé, Swenn retire son t.shirt qu’il déchire, de sorte à pouvoir nouer le tissu autour de son pied désormais complètement poisseux. Une rapidité due à l’habitude, le dealer serre les dents pour ignorer la douleur qui tente de lui faire tourner la tête.
- "Allez, on y est presque !"
[345 mots]
Swenn [CI]

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Joshua Grimgorson [RE]

T’a l’air malade, non ?
feat. Swenn
Mots : 346
Plus nous avancions, plus je me sentais en sécurité avec m’sieur ronchon. Il me faisait penser un peu à mon petit frère, Morgan : un caractère de merde, mais tout au fond de lui, un cœur en or. Les zombies se faisaient de plus en plus rares, bien qu’ils nous soient arrivés dans taper quelques uns sur le chemin. Nous fîmes une pause pour son pied. Il en avait bien besoin.
« Tout cracra, ton pied. Mais quand on sera sortit, on pourra trouver une rivière pour qu’il ne soit plus tout cracra. »
C’était une façon très maladroite de lui dire que je voulais l’aider à soigner son pied. Alors que nous arrivions vers la sortie de la ville, et que mon compagnon lance quelques encouragements dans les airs, je crus bon de lui demander :
« Dis… Tu crois que quand on sera plus fort, on pourra revenir chercher mon papou ? Il saura sans doute où sont mes frères et ma sœur. »
Je dois admettre que je n’avais jamais vécu sans Andrew, hormis deux ans où j’avais du passer mon bac. Des cris se firent entendre. Mais… Je croyais que nous étions presque en sécurité. Le presque faisait certainement toute la différence.
« M’sieur ronchon ! Attention ! Derrière-toi ! »
Une douleur vive au niveau de l’épaule. Je levais les yeux pour croiser ceux complètement vides d’un zombie. Je me mis à me débattre. Mais ça faisait mal… si mal… Mes hurlements déchirèrent la quiétude branlante des lieux. J’avais peur… si peur. Je ne voulais pas terminer tout seul. Je… Je voulais continuer à penser, à vivre, à rire, à pleurer, à parler.
Je… Je ne voulais pas que ma vie se termine ici, entre les mains de cet inconnu dont l’odeur ferait pâlir un mort dans sa tombe. Mes forces commencèrent à m’abandonner. Si peur… Ma tête se mit à tourner, et mes idées se firent de plus en plus floues.
« Cours… monsieur ronchon… cours ! »
Et je perdis connaissance avant même que mon corps ne touche le sol.
Plus nous avancions, plus je me sentais en sécurité avec m’sieur ronchon. Il me faisait penser un peu à mon petit frère, Morgan : un caractère de merde, mais tout au fond de lui, un cœur en or. Les zombies se faisaient de plus en plus rares, bien qu’ils nous soient arrivés dans taper quelques uns sur le chemin. Nous fîmes une pause pour son pied. Il en avait bien besoin.
« Tout cracra, ton pied. Mais quand on sera sortit, on pourra trouver une rivière pour qu’il ne soit plus tout cracra. »
C’était une façon très maladroite de lui dire que je voulais l’aider à soigner son pied. Alors que nous arrivions vers la sortie de la ville, et que mon compagnon lance quelques encouragements dans les airs, je crus bon de lui demander :
« Dis… Tu crois que quand on sera plus fort, on pourra revenir chercher mon papou ? Il saura sans doute où sont mes frères et ma sœur. »
Je dois admettre que je n’avais jamais vécu sans Andrew, hormis deux ans où j’avais du passer mon bac. Des cris se firent entendre. Mais… Je croyais que nous étions presque en sécurité. Le presque faisait certainement toute la différence.
« M’sieur ronchon ! Attention ! Derrière-toi ! »
Une douleur vive au niveau de l’épaule. Je levais les yeux pour croiser ceux complètement vides d’un zombie. Je me mis à me débattre. Mais ça faisait mal… si mal… Mes hurlements déchirèrent la quiétude branlante des lieux. J’avais peur… si peur. Je ne voulais pas terminer tout seul. Je… Je voulais continuer à penser, à vivre, à rire, à pleurer, à parler.
Je… Je ne voulais pas que ma vie se termine ici, entre les mains de cet inconnu dont l’odeur ferait pâlir un mort dans sa tombe. Mes forces commencèrent à m’abandonner. Si peur… Ma tête se mit à tourner, et mes idées se firent de plus en plus floues.
« Cours… monsieur ronchon… cours ! »
Et je perdis connaissance avant même que mon corps ne touche le sol.
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Joshua Grimgorson [RE]

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Swenn [CI]

Malgré son visage toujours impassible, Swenn sent cette pointe dans sa poitrine à mesure que le garçon continue à parler à toute vitesse. C’est vrai qu’il est jeune. Le pessimisme habituel du chimiste le force à penser qu’il n’a que très peu de chances de retrouver un jour sa famille. Mais il n’en montre rien et se contente de hocher la tête en signe d’acquiescement. Lui n'a rien à perdre. Ce n’est pas le moment de faire douter le petit. Ils atteignent enfin les grandes portes de la ville. Il verra comment gérer ce problème plus tard.
Plus tard oui ! Des bruits de respiration rauque le font se retourner d’un bond, pour se retrouver nez à nez avec l’une de ces bestioles. Son cœur s’emballe et son sang se glace, au moment où il entend son compagnon hurler de douleur. Seul l’instinct lui dicte ses gestes à cet instant. Pas besoin d’arme. Ses poings suffisent. Il ne sent plus aucune douleur. Uniquement la sensation de ces corps putrides terminer leur décomposition sous la violence de ses coups.
Une ouverture dans ce tas d’immondices créée, le dealer attrape le garçon dont il ne sent pas le poids grâce à l’adrénaline, pour fuir définitivement cette ville de malheur. Son paquetage calé sur l’épaule, Swenn franchit les portes de la ville. Il ne fait que quelques pas supplémentaires, la faiblesse de son propre corps le ramène bien vite à la réalité.
- "Allez petit, réveil toi. Ça va aller, on va trouver un moyen, tu vas t’en sortir."
Déposant l’enfant au sol, le chimiste place ses doigts au niveau du cou encore si fin, à la recherche d’un pouls. Qu’il trouve. Il n’est pas mort. Pas encore… Un frisson à cette idée, il se laisse aller, s’étale dans l’herbe aux côtés du garçon qu’il garde contre lui dans une étreinte inhabituelle pour cet homme.
- "Tu n’m'as même pas dit comment tu t’appelles."
Les yeux fermés, Swenn reprend doucement son souffle. Sans avoir remarqué les sillons rouge vif incrustés tout le long de ses bras, de sa poitrine, de son dos.
Plus tard oui ! Des bruits de respiration rauque le font se retourner d’un bond, pour se retrouver nez à nez avec l’une de ces bestioles. Son cœur s’emballe et son sang se glace, au moment où il entend son compagnon hurler de douleur. Seul l’instinct lui dicte ses gestes à cet instant. Pas besoin d’arme. Ses poings suffisent. Il ne sent plus aucune douleur. Uniquement la sensation de ces corps putrides terminer leur décomposition sous la violence de ses coups.
Une ouverture dans ce tas d’immondices créée, le dealer attrape le garçon dont il ne sent pas le poids grâce à l’adrénaline, pour fuir définitivement cette ville de malheur. Son paquetage calé sur l’épaule, Swenn franchit les portes de la ville. Il ne fait que quelques pas supplémentaires, la faiblesse de son propre corps le ramène bien vite à la réalité.
- "Allez petit, réveil toi. Ça va aller, on va trouver un moyen, tu vas t’en sortir."
Déposant l’enfant au sol, le chimiste place ses doigts au niveau du cou encore si fin, à la recherche d’un pouls. Qu’il trouve. Il n’est pas mort. Pas encore… Un frisson à cette idée, il se laisse aller, s’étale dans l’herbe aux côtés du garçon qu’il garde contre lui dans une étreinte inhabituelle pour cet homme.
- "Tu n’m'as même pas dit comment tu t’appelles."
Les yeux fermés, Swenn reprend doucement son souffle. Sans avoir remarqué les sillons rouge vif incrustés tout le long de ses bras, de sa poitrine, de son dos.
[346 mots]
- HRP:
- Et voilà... It is the end. Enfin pour cette épreuve du moins ^-^ Parce que je me suis vraiment éclatée à écrire ce mini rp avec toi très cher partenaire !! <3 Et j'aime tellement Joshua omg !!! Bref, j'suis un peu triste que ce soit la fin (comme toujours) mais je suis aussi super contente parce que ça reste une super expérience !! Mais je vais éviter de m'étendre en sentimentalisme
en plus c'est pas du tout mon genre nameoh !!! è_épuisqu'il te reste encore à conclure magistralement ce mini rp ^-^
Swenn [CI]

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Joshua Grimgorson [RE]

T’a l’air malade, non ?
feat. Swenn
Mots : 346
« Swenn ! Swenn ! Réveille-toi ! »
De mon point de vue, cela faisait trop longtemps qu’il faisait dodo. Je m’étais réveillé tantôt aux abords de la ville, Swenn en train de roupiller à mes côtés. Pour éviter d’être aux abords de la ville maudite à la tombée de la nuit, je nous avais éloigné le plus loin possible de celle-ci. Enfin, dans la mesure du possible…
« Tu es super lourd, Swenn ! Et en plus, tu parles dans ton sommeil. Tu racontes vraiment des trucs… euh… comment dire ça sans te vexer ? Disons que… bah… tu racontes des trucs très bizarres. Je crois que ça ne doit plus vraiment m’étonner venant de la part d’un mec aussi chelou que toi. Au moins, je sais comment tu t’appelles, maintenant ! »
Nous étions près d’une rivière. Le soleil était en train de se coucher derrière les montagnes.
« Tu sais, j’crois qu’ils nous ont eu… Mais, voyons le bon côté des choses. Maintenant, on peut se battre à armes égales contre eux. »
Un petit sourire satisfait vint s’afficher sur mon visage.
« Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que je suis plus beau que toi. »
Une petite mine soucieuse remplaça mon sourire.
« Dis… tu crois que même si je suis un zombie, je peux être végétarien ? Parce que moi, je n’aime pas trop la viande. »
Réflexion intense.
« Ca s’trouve, on est une nouvelle génération de zombies ! »
Cette idée me plaisait bien.
« Tu crois qu’en tant que tout nouveau zombie, on peut aussi inventer une nouvelle mode ? »
Je sentis mes aisselles.
« Par contre, va vraiment falloir faire quelque chose pour l’odeur. Tu crois qu’on sent aussi mauvais qu’eux ? Non mais tu comprends, le jour où l’on retrouvera mon papou, ou si on croise notre âme sœur sans le savoir, on ne peut pas sentir aussi mauvais... »
C’est ainsi que débutèrent les aventures de Swenn l’Héroïque et de son inséparable compagnon, Joshua le ouistiti, deux zombies végétariens en quête d’amour et de rédemption.
« Swenn ! Swenn ! Réveille-toi ! »
De mon point de vue, cela faisait trop longtemps qu’il faisait dodo. Je m’étais réveillé tantôt aux abords de la ville, Swenn en train de roupiller à mes côtés. Pour éviter d’être aux abords de la ville maudite à la tombée de la nuit, je nous avais éloigné le plus loin possible de celle-ci. Enfin, dans la mesure du possible…
« Tu es super lourd, Swenn ! Et en plus, tu parles dans ton sommeil. Tu racontes vraiment des trucs… euh… comment dire ça sans te vexer ? Disons que… bah… tu racontes des trucs très bizarres. Je crois que ça ne doit plus vraiment m’étonner venant de la part d’un mec aussi chelou que toi. Au moins, je sais comment tu t’appelles, maintenant ! »
Nous étions près d’une rivière. Le soleil était en train de se coucher derrière les montagnes.
« Tu sais, j’crois qu’ils nous ont eu… Mais, voyons le bon côté des choses. Maintenant, on peut se battre à armes égales contre eux. »
Un petit sourire satisfait vint s’afficher sur mon visage.
« Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que je suis plus beau que toi. »
Une petite mine soucieuse remplaça mon sourire.
« Dis… tu crois que même si je suis un zombie, je peux être végétarien ? Parce que moi, je n’aime pas trop la viande. »
Réflexion intense.
« Ca s’trouve, on est une nouvelle génération de zombies ! »
Cette idée me plaisait bien.
« Tu crois qu’en tant que tout nouveau zombie, on peut aussi inventer une nouvelle mode ? »
Je sentis mes aisselles.
« Par contre, va vraiment falloir faire quelque chose pour l’odeur. Tu crois qu’on sent aussi mauvais qu’eux ? Non mais tu comprends, le jour où l’on retrouvera mon papou, ou si on croise notre âme sœur sans le savoir, on ne peut pas sentir aussi mauvais... »
C’est ainsi que débutèrent les aventures de Swenn l’Héroïque et de son inséparable compagnon, Joshua le ouistiti, deux zombies végétariens en quête d’amour et de rédemption.
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- HRP:
- Je suis tellement triste que ça soit déjà fini.
Ce rp est vraiment trop cool.
Dommage qu'il se finisse si tôt.
J'aurais trop aimé pouvoir écrire les aventures de Swenn l'Héroïque et de son inséparable compagnon, Joshua le ouistiti, avec toi.
Ce fut vraiment un plaisir de rp avec toé ! <3
Joshua Grimgorson [RE]

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