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Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Une petite chèvre. BHÊÊÊ. ♫
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
L'Incontesté
Épreuve 2 ;;
Métro, boulot, kézaco ?
Métro, boulot, kézaco ?
Aujourd'hui n'est pas un jour comme vous l'espériez. Votre quotidien se retrouve chamboulé par une demande singulière à laquelle vous n'avez pas pu résister. Vous avez accepté de vivre la journée de travail d'une personne que vous ne connaissez pas. Lui et vous serez en binôme au cours de cette journée et vous ne pourrez pas faillir à votre engagement. Parviendrez-vous au bout de ce défi ?
Dans ce mini-rp, vous devez obligatoirement placer les dix mots suivants, un mot pour chaque post fait, soit cinq mots par participants !
✗ Vous avez deux jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout).
✗ L'épreuve se termine donc le 07 juillet à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 350 mots maximum.
Binôme: Madelle & Hikari Sekai
Le dé a choisi Hikari Sekai pour commencer cette épreuve !
Variante
Dans ce mini-rp, vous devez obligatoirement placer les dix mots suivants, un mot pour chaque post fait, soit cinq mots par participants !
Minimum – Courroux – Arabesque – Timidement – Punching-ball
Satin – Horizon – Andouillette – Dragon – Vodka
Satin – Horizon – Andouillette – Dragon – Vodka
Rappel des règles
✗ Vous avez deux jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout).
✗ L'épreuve se termine donc le 07 juillet à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 350 mots maximum.
Binôme: Madelle & Hikari Sekai
Le dé a choisi Hikari Sekai pour commencer cette épreuve !
L'Incontesté
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Invité
Hayate Onishi [HS]
- Spoiler:
- Pour plus de simplicité, je reprends mon personnage Hayate de Hikari Sekai, en version plus âgé (il a 15 ans, je lui en mets du coup 18). De même, il sera en version humaine et non hybride comme sur Hikari. Je reprends donc ses traits de caractère : peu causant, il est un peu asocial et colérique. Il s'emporte très facilement, mais en réalité, il est très maladroit et essaie de cacher ses faiblesses derrière un physique dur. Physiquement, il est brun, cheveux mi-longs, grand et a tendance à paraitre plus vieux. D'ailleurs, il a tendance à porter le bouc.
Depuis quelques années déjà, j'enchainais les petits boulots par-ci, par-là, histoire de mettre du fric de côté pour assurer mon avenir. Mais il faut bien l'avouer, ce ne sont pas les petits boulots qui permettent d'économiser, surtout que plus on vieillit, plus on dépense. C'est d'autant plus rai quand on atteint la majorité : loyer à payer, assurances, permis de conduire, impôts, etc... Bref, si les parents suivent pas, c'est pas la peine de penser à faire des études en gros, à moins de vivre une double-vie carrément.
Du coup, je ne me fais pas d'illusion, depuis que j'ai décroché le diplôme, j'enchaine les petits boulots dans la journée, histoire de payer mon pain et mon toit chaque mois, au centre de la capitale. L'avantage, c'est de pouvoir trouver du travail facilement. L'inconvénient, c'est la vie qui est chère. Donc pas le choix : travailler pour survivre.
D'ailleurs, aujourd'hui, je dois commencer un nouveau travail. L'annonce était un peu bizarre, mais j'ai quand même postulé, ça paie bien. Après, apparemment, il s'agit d'un binôme. Espérons que mon "binôme" se montre coopératif, ce serait le minimum pour que je puisse m'intégrer. Ils ne demandent pas de diplôme, donc ça devrait aller.
Je me présente donc à l'entreprise, à l'accueil, si on peut appeler ça ainsi, je n'ai pas trop l'habitude de ce type d'entreprise. On me dit de patienter, qu'on va me présenter mon collègue, justement. Je crois que le voilà qui arrive. Je me lève et me courbe poliment, pour faire bonne première impression :
Du coup, je ne me fais pas d'illusion, depuis que j'ai décroché le diplôme, j'enchaine les petits boulots dans la journée, histoire de payer mon pain et mon toit chaque mois, au centre de la capitale. L'avantage, c'est de pouvoir trouver du travail facilement. L'inconvénient, c'est la vie qui est chère. Donc pas le choix : travailler pour survivre.
D'ailleurs, aujourd'hui, je dois commencer un nouveau travail. L'annonce était un peu bizarre, mais j'ai quand même postulé, ça paie bien. Après, apparemment, il s'agit d'un binôme. Espérons que mon "binôme" se montre coopératif, ce serait le minimum pour que je puisse m'intégrer. Ils ne demandent pas de diplôme, donc ça devrait aller.
Je me présente donc à l'entreprise, à l'accueil, si on peut appeler ça ainsi, je n'ai pas trop l'habitude de ce type d'entreprise. On me dit de patienter, qu'on va me présenter mon collègue, justement. Je crois que le voilà qui arrive. Je me lève et me courbe poliment, pour faire bonne première impression :
Bonjour, je m'appelle Hayate Onishi, ravi de faire votre connaissance.
Mots utilisés :
Minimum – Courroux – Arabesque – Timidement – Punching-ball
Satin – Horizon – Andouillette – Dragon – Vodka
Satin – Horizon – Andouillette – Dragon – Vodka
Hayate Onishi [HS]
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Invité
Meyrïan Islidro [MAD]
- Plus d'infos:
Néanmoins, Meyrïan restera toujours un prince. C'est quelqu'un de très sûr de lui, fier, manipulateur, ultra charismatique, capricieux et séducteur. Si vous voulez en savoir plus, sa fiche se trouve ici.
Autre précision : Meyrïan n'est pas mon personnage, c'est un figurant que seul le staff de Madelle peut jouer. Après accord avec la fondatrice, je me permet de le jouer ici ^^Profitant des chaleurs estivales, Meyrïan s’octroyait une pause sur le balcon de son bureau. Il ne savait absolument pas pourquoi il avait continué à avancer sur ces dossiers. Son ancien larbin avait foutu le camp, trop sensible pour supporter les exigences du prince. Et dire qu'on lui avait attribué un homme pour qu'il soit plus solide.
— Tu parles, cracha-t-il.
Quitte à avoir un pleurnichard, autant travailler avec une jolie fille. S'il n'aurait pas forcément l'utile, l'agréable pourrait toujours être de la partie. Il fixa l'horizon, pensif. Malheureusement pour lui, le pouvoir n'attendait pas. Il fallait en finir avec cette paperasse à signer.
— Monsieur ?
Surpris, l'interpellé se retourna et vit une employée qui se tenait dans la pièce.
— Qui vous a autorisé à rentrer ? cria-t-il.
— Je... J'ai toqué à votre porte, monsieur, mais vous ne répondiez pas... Alors j'ai... dit-elle en s'inclinant, se faisait la plus petite possible devant l'autorité de son patron.
Meyrïan soupira. Il en avait peut-être trop fait.
— Soit, quelle est la raison de votre venue ?
— Votre nouvel assistant vient d'arriver, monsieur, répondit-elle d'une voix toujours tremblante.
Son nouveau larbin était là ? Parfait, il allait pouvoir se libérer de tout ces papiers. Non, sans le tester avant... Accompagné de la jeune employée, il arriva à l'accueil de l'ambassade pour y découvrir un jeune homme, dont le port du bouc était douteux. Quel étrange style. Meyrïan n'arrivait pas à deviner son âge. Mais était-ce important ?
Le prince afficha son plus beau sourire, mettant en avant son charisme ravageur. Son nouvel esclave s'inclina devant lui. Si ce geste était un bon point pour l'embauché, Meyrïan n'en faisait pas fit et tendit sa main pour serrer la sienne, d'une poigne forte.
— Bienvenue à l'ambassade du Liarischtein, Hayate. Je suis Meyrïan Isildro, prince hériter de ce "modeste" pays.
Pour le déstabiliser, il tapa "amicalement" le dos du nouvel arrivant. Il avait de la force et il en jouait.
— Suivez-moi, je vais vous faire visiter. On fera plus ample connaissance, ainsi, le guida-t-il tout en souriant.
Meyrïan Islidro [MAD]
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Invité
Hayate Onishi [HS]
Mey... Purée, j'ai rien compris de son nom ! C'est quoi encore ce délire ?! Alors ok, l'annonce ne précisait pas tout, mais si je m'attendais à ça... Loin de moi cette idée ! Et pour accompagner ce patronyme plus que douteux, j'observe son allure arabesque qui ne me revient pas. Ah, c'est sûr, il possède un charisme princier, je suppose, il ne ressemble en aucun cas à la prestance modeste du fils de notre empereur.
Surpris par la "tape" dans le dos, je fais un pas en avant pour ne pas tomber. C'est vrai que les étrangers ont des manières un peu trop amicales pour saluer. J'en tousse, tant je suis surpris par la force de l'individu étrange. je ne m'attendais pas à ça, heureusement que je fais du kyudo, pour renforcer mon dos, sinon j'aurais pas donner cher de mes muscles, ça peut vite donner un bleu, ça.
Un peu décontenancé, je me surprends à lui demander, avant d'entamer la visite :
J'avoue que je perds un peu pied, moi qui ne peux pas souffrir en peinture la noblesse et toute sa clique... Devrais-je vraiment endurer de lécher les pieds à un mec juste pour avoir un peu plus de fric ? Je fais une grimace déplaisante à cette idée.
Surpris par la "tape" dans le dos, je fais un pas en avant pour ne pas tomber. C'est vrai que les étrangers ont des manières un peu trop amicales pour saluer. J'en tousse, tant je suis surpris par la force de l'individu étrange. je ne m'attendais pas à ça, heureusement que je fais du kyudo, pour renforcer mon dos, sinon j'aurais pas donner cher de mes muscles, ça peut vite donner un bleu, ça.
Un peu décontenancé, je me surprends à lui demander, avant d'entamer la visite :
Attendez ! C'est une blague, non ? Je... suis embauché ? Pas d'entretien ? Et, c'est quoi le job ? J'aimerais comprendre un peu.
J'avoue que je perds un peu pied, moi qui ne peux pas souffrir en peinture la noblesse et toute sa clique... Devrais-je vraiment endurer de lécher les pieds à un mec juste pour avoir un peu plus de fric ? Je fais une grimace déplaisante à cette idée.
Mots utilisés :
Satin –
Hayate Onishi [HS]
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Invité
Meyrïan Isildro [MAD]
Le sourire de Meyrïan s'agrandit. Son petit manège avait eu l'effet escompté. Le pauvre nouveau venu ne savait pas dans quoi il s'était fourré.
— Comment ça un entretien ? Voyons, vous avez été sélectionné parmi bon nombre de candidats ! Vous avez déjà franchi toutes les étapes pour arriver jusqu'ici ! Je devrais même vous féliciter ! C'est un honneur de travailler avec moi !
Il était grandiloquent et n'hésitait pas à exagérer ses propos, tout en extravagance. Si sa tenue était pourtant sobre, sa personnalité était toute autre. Il en jouait. Cette journée avait mal commencé, mais il sentait qu'il allait s'amuser comme un fou le reste du temps !
— D'ailleurs, je vais te tutoyer. Je tutoie toujours mes lar... mes assistants, se rattrapa-t-il de justesse, il serait dommage de le faire fuir maintenant. En revanche, continue de me vouvoyer, le respect est de mise. Je reste ton supérieur après tout.
Le prince lui offrit une nouvelle tape dans le dos. Ce jeune homme était solide, il ferait un bon punching-ball quand il devrait se lâcher sous le coup de la colère. Enfin, s'il n'en était pas déjà un...
Meyrïan amena son nouvel assistant dans tout les recoins de l'ambassade. Le bâtiment était richement décoré avec goût, signe de la puissance économique de ce pays. Tout en expliquant les différents détails dans les tableaux retraçant les exploits guerriers du Liarischtein, le prince voulait montrer à son larbin qu'il n'était pas n'importe où.
— Si je suis ici, c'est pour bien entendu garder de bonnes relations avec votre pays. Mais arriver à un accord n'est jamais facile et chaque signature que j'appose peut avoir des conséquences.
Ses prunelles dorées se plantèrent dans les yeux de l'homme au bouc. Son regard dur montrait qu'il n'y avait plus d'issue.
— Comprend bien-là que tes tâches seront de la plus haute importance.
Ses yeux s'embrasèrent. Qu'est-ce qu'il adorait mettre la pression sur ses gens !
— Comment ça un entretien ? Voyons, vous avez été sélectionné parmi bon nombre de candidats ! Vous avez déjà franchi toutes les étapes pour arriver jusqu'ici ! Je devrais même vous féliciter ! C'est un honneur de travailler avec moi !
Il était grandiloquent et n'hésitait pas à exagérer ses propos, tout en extravagance. Si sa tenue était pourtant sobre, sa personnalité était toute autre. Il en jouait. Cette journée avait mal commencé, mais il sentait qu'il allait s'amuser comme un fou le reste du temps !
— D'ailleurs, je vais te tutoyer. Je tutoie toujours mes lar... mes assistants, se rattrapa-t-il de justesse, il serait dommage de le faire fuir maintenant. En revanche, continue de me vouvoyer, le respect est de mise. Je reste ton supérieur après tout.
Le prince lui offrit une nouvelle tape dans le dos. Ce jeune homme était solide, il ferait un bon punching-ball quand il devrait se lâcher sous le coup de la colère. Enfin, s'il n'en était pas déjà un...
Meyrïan amena son nouvel assistant dans tout les recoins de l'ambassade. Le bâtiment était richement décoré avec goût, signe de la puissance économique de ce pays. Tout en expliquant les différents détails dans les tableaux retraçant les exploits guerriers du Liarischtein, le prince voulait montrer à son larbin qu'il n'était pas n'importe où.
— Si je suis ici, c'est pour bien entendu garder de bonnes relations avec votre pays. Mais arriver à un accord n'est jamais facile et chaque signature que j'appose peut avoir des conséquences.
Ses prunelles dorées se plantèrent dans les yeux de l'homme au bouc. Son regard dur montrait qu'il n'y avait plus d'issue.
— Comprend bien-là que tes tâches seront de la plus haute importance.
Ses yeux s'embrasèrent. Qu'est-ce qu'il adorait mettre la pression sur ses gens !
Mots utilisés :
Satin –
Meyrïan Isildro [MAD]
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Invité
Hayate Onishi [HS]
Sur ses paroles, je fronce les sourcils : je rêve ou il a failli dire autre chose que "assistant" ? J'ai comme l'impression de me fourrer le doigt dans l'oeil si je continue à avancer dans sa direction. Alors je m'arrête :
Dis-je en accentuant le "a" de Majesté. Et encore moins pour lui torcher le fion avec du satin. D'ailleurs, je ne suis pas fan dans le fait de me faire frapper à tout bout de champ comme il le fait. Alors ok, une fois, ça passe, l'effet de surprise, deux fois, bon, je me suis fait avoir, mais la troisième, je l'esquive en n'hésitant pas à le remettre à sa place :
Je suis trop gentil, je lui donne des conseils. Et c'est gratuit, parce que...
Je le fixe avec effronterie.
Wow, wow, wow ! Et en quoi consisteront mes "tâches" ? Parce que le larbin, ça je sais faire, mais j'aime pas trop qu'on se moque de moi. Je suis pas ici pour lécher les bottes de sa Majesté.
Dis-je en accentuant le "a" de Majesté. Et encore moins pour lui torcher le fion avec du satin. D'ailleurs, je ne suis pas fan dans le fait de me faire frapper à tout bout de champ comme il le fait. Alors ok, une fois, ça passe, l'effet de surprise, deux fois, bon, je me suis fait avoir, mais la troisième, je l'esquive en n'hésitant pas à le remettre à sa place :
Alors sachez, Heika-sama, qu'ici, on évite les contacts, c'est très mal vu. Si vous souhaitez entretenir de bonnes relations avec les hautes autorités, je vous conseille de respecter la culture.
Je suis trop gentil, je lui donne des conseils. Et c'est gratuit, parce que...
Soit dit en passant, je n'ai pas encore signé de contrat avec vous, alors il n'existe pas encore de relations professionnelles. Il va vous falloir me donner envie de travailler pour vous, et là, je peux vous assurer que c'est mal barré.
Je le fixe avec effronterie.
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Hayate Onishi [HS]
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Invité
Meyrïan Isildro [MAD]
Hé bien, s’il devait s’attendre à ça ! Meyrïan n’avait pas l’habitude qu’on lui réponde ainsi, mais grand bien lui fasse. Cela ne le déstabilisa pas. Au contraire, il se mit à rire à gorge déployée.
̶ C’est parfait, parfait ! Je n’en attendais pas moins. J’aime bien les gens avec du caractère.
Enfin, pas trop quand même. Le prince appréciait les fortes têtes, mais elles ne devaient pas pousser le bouchon trop loin. Sinon elles devraient affronter son courroux. Et personne, ne voulait faire face à la colère divine de l’héritier du Liarischtein.
Autour d’eux, quelques serviteurs s’affairaient à leurs tâches, leur regard dirigé vers leurs pieds. Ils ne savaient pas pendant encore combien de temps le prince prendrait cette situation à la rigolade.
Meyrïan retrouva son sérieux
.
̶ Jeune homme, je ne te demande pas de me lécher les bottes. Je te demande d’être mon assistant pour appliquer mon devoir diplomatique.
Présentée ainsi, la mission serait plus alléchante. Mais c’était étrange qu’Hayate soit si perdu. N’y avait-il aucune information sur le poste ? Ou bien les nouvelles vont si vite que l’ancien larbin avait déjà fuité les raisons de sa démission, forçant les recruteurs à être les plus vagues possibles ?
̶ Tu vas devoir me conseiller sur ton pays, m’aider à traiter les dossiers, établir des stratégies… C’est un travail demandant rigueur et précision.
Le visage du prince se durcit. Il était temps d’instaurer les règles du jeu.
̶ J’essayerai de m’appliquer à tenir ton premier conseil. Néanmoins, cela va dans les deux sens. Chacun de tes faits et gestes représentent ta nation. Tu me manques de respect, il y aura des conséquences
.
Au Liarischtein, on ne manquait pas de respect envers la famille royale. Et c’était encore plus vrai à l’étranger, que Meyrïan méprisait. Aucun autre pays n’avait la grandeur du sien. Il détestait s’incliner devant les autres dirigeants, mais il devait garder son mépris pour lui. C’était ainsi que la politique fonctionnait. Sauf que l’individu qui se tenait devant lui ne faisait aucune partie des hautes sphères. Les règles étaient légèrement différentes pour lui.
̶ C’est parfait, parfait ! Je n’en attendais pas moins. J’aime bien les gens avec du caractère.
Enfin, pas trop quand même. Le prince appréciait les fortes têtes, mais elles ne devaient pas pousser le bouchon trop loin. Sinon elles devraient affronter son courroux. Et personne, ne voulait faire face à la colère divine de l’héritier du Liarischtein.
Autour d’eux, quelques serviteurs s’affairaient à leurs tâches, leur regard dirigé vers leurs pieds. Ils ne savaient pas pendant encore combien de temps le prince prendrait cette situation à la rigolade.
Meyrïan retrouva son sérieux
.
̶ Jeune homme, je ne te demande pas de me lécher les bottes. Je te demande d’être mon assistant pour appliquer mon devoir diplomatique.
Présentée ainsi, la mission serait plus alléchante. Mais c’était étrange qu’Hayate soit si perdu. N’y avait-il aucune information sur le poste ? Ou bien les nouvelles vont si vite que l’ancien larbin avait déjà fuité les raisons de sa démission, forçant les recruteurs à être les plus vagues possibles ?
̶ Tu vas devoir me conseiller sur ton pays, m’aider à traiter les dossiers, établir des stratégies… C’est un travail demandant rigueur et précision.
Le visage du prince se durcit. Il était temps d’instaurer les règles du jeu.
̶ J’essayerai de m’appliquer à tenir ton premier conseil. Néanmoins, cela va dans les deux sens. Chacun de tes faits et gestes représentent ta nation. Tu me manques de respect, il y aura des conséquences
.
Au Liarischtein, on ne manquait pas de respect envers la famille royale. Et c’était encore plus vrai à l’étranger, que Meyrïan méprisait. Aucun autre pays n’avait la grandeur du sien. Il détestait s’incliner devant les autres dirigeants, mais il devait garder son mépris pour lui. C’était ainsi que la politique fonctionnait. Sauf que l’individu qui se tenait devant lui ne faisait aucune partie des hautes sphères. Les règles étaient légèrement différentes pour lui.
Meyrïan Isildro [MAD]
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Hayate Onishi [HS]
De mieux en mieux, me voilà devenir le représentant de ma nation, alors que je ne suis qu'un petit pécore sorti de sa campagne, presque. Non, non, non, ils ont dû se tromper dans l'annonce, c'est obligé, il faut avoir un diplôme pour accomplir de telles tâches, et je ne pense pas avoir les qualités requises. Soyons honnêtes.
Et là, je vois une servante s'arrêter dans ses tâches, surprise sans doute par mes propos, comme paniquée presque que le "dragon" sorte de sa tanière pour cracher son venin sur tout ce qui passe. Croisant mon regard, elle se remit direct à sa tâche et fit en sorte de s'esquiver pour ne pas être compter parmi les victimes du Prince de Bel-Air.
Parce qu'après tout, qu'est-ce qu'un petit pays dont je ne connais même pas l'origine, peut faire face au Japon, la plus grande puissance mondiale sur tous les plans de nos jours ? Et puis, il ne faut pas oublier qu'il n'est qu'un "prince", un simple ambassadeur, je doute que son royal de père réagisse inconséquemment sur les propos de son fils, à moins qu'il soit aussi imbu de lui-même ? Je le jauge du regard.
Faudra revoir votre annonce alors, je suis pas diplomate ou stratège. Et si vous considérez que chacun de mes faits et gestes représentent mon pays, c'est que vous devriez sortir plus souvent pour constater qu'un homme ne peut pas représenter une nation entière.
Et là, je vois une servante s'arrêter dans ses tâches, surprise sans doute par mes propos, comme paniquée presque que le "dragon" sorte de sa tanière pour cracher son venin sur tout ce qui passe. Croisant mon regard, elle se remit direct à sa tâche et fit en sorte de s'esquiver pour ne pas être compter parmi les victimes du Prince de Bel-Air.
Sauf votre respect, heika-sama, si vous-mêmes n'êtes pas capable de montrer du respect envers autrui, comment voulez-vous qu'on vous en témoigne ? Arrêtez de regarder deux secondes les gens de haut, vous aurez de meilleurs résultats qu'à essayer de manipuler avec des menaces.
Parce qu'après tout, qu'est-ce qu'un petit pays dont je ne connais même pas l'origine, peut faire face au Japon, la plus grande puissance mondiale sur tous les plans de nos jours ? Et puis, il ne faut pas oublier qu'il n'est qu'un "prince", un simple ambassadeur, je doute que son royal de père réagisse inconséquemment sur les propos de son fils, à moins qu'il soit aussi imbu de lui-même ? Je le jauge du regard.
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Meyrïan Isildro [MAD]
Et bien, en voilà un drôle d'énergumène ! Il ne semble aucunement intimidé par ses propos. Meyrïan ne trembla pas. Un sourire se dessinait sur ses lèvres :
— Ah ah ! Je t'apprécie de plus en plus.
En réalité, quand le prince tombait sur plus têtu que lui, son envie de montrer sa supériorité n'en était que plus grande.
— Vous dites qu'il vous faut un diplôme pour réaliser ces missions ? Hé bien sachez que je suis plutôt fervent défenseur de l'apprentissage sur le terrain. Vous ne voulez pas au moins découvrir les facettes de la diplomatie ?
Surtout que les derniers embauchés, soit-disant qualifiés, n'ont pas tenu et se sont vite laissés emportés par l'envie de pouvoir. Ils voulaient contrôler les faits et gestes du prince. Or, on ne dictait pas sa conduite. Il savait ce qu'il faisait pour gagner la place de son imbécile de père, ce tyran qui ne pensait qu'au sang et au sexe. Son pays n'avait rien à voir avec cette nation de coincés. D'ailleurs, Hayate n'avait pas l'air de bien comprendre ce qui se jouait...
— Je vois aussi qu'il vous faudra apprendre les rudiments de la politique... Vous verrez que le respect dans ces milieux, ce n'est pas simplement un échange.
Une jeune femme approcha timidement. C'était sûrement la plus courageuse de tout les employés pour intervenir dans un moment pareil.
— Le... le repas est prêt... Messire... Si... si vous voulez... bien me suivre... arriva-t-elle à balbutier tout en s'inclinant.
Meyrïan se tourna vers son éventuel assistant, un grand sourire aux lèvres :
— Et bien, que direz-vous de continuer cette discussion autour d'un repas ? C'est offert par la maison.
Il pourra ainsi, juger s'il le gardait ou s'il devrait l'étriper.
— Ah ah ! Je t'apprécie de plus en plus.
En réalité, quand le prince tombait sur plus têtu que lui, son envie de montrer sa supériorité n'en était que plus grande.
— Vous dites qu'il vous faut un diplôme pour réaliser ces missions ? Hé bien sachez que je suis plutôt fervent défenseur de l'apprentissage sur le terrain. Vous ne voulez pas au moins découvrir les facettes de la diplomatie ?
Surtout que les derniers embauchés, soit-disant qualifiés, n'ont pas tenu et se sont vite laissés emportés par l'envie de pouvoir. Ils voulaient contrôler les faits et gestes du prince. Or, on ne dictait pas sa conduite. Il savait ce qu'il faisait pour gagner la place de son imbécile de père, ce tyran qui ne pensait qu'au sang et au sexe. Son pays n'avait rien à voir avec cette nation de coincés. D'ailleurs, Hayate n'avait pas l'air de bien comprendre ce qui se jouait...
— Je vois aussi qu'il vous faudra apprendre les rudiments de la politique... Vous verrez que le respect dans ces milieux, ce n'est pas simplement un échange.
Une jeune femme approcha timidement. C'était sûrement la plus courageuse de tout les employés pour intervenir dans un moment pareil.
— Le... le repas est prêt... Messire... Si... si vous voulez... bien me suivre... arriva-t-elle à balbutier tout en s'inclinant.
Meyrïan se tourna vers son éventuel assistant, un grand sourire aux lèvres :
— Et bien, que direz-vous de continuer cette discussion autour d'un repas ? C'est offert par la maison.
Il pourra ainsi, juger s'il le gardait ou s'il devrait l'étriper.
Meyrïan Isildro [MAD]
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Hayate Onishi [HS]
J'imagine que, de par mon éducation dans l'égalité, je ne me rends pas compte de l'importance de la hiérarchie dans certains pays. Au Japon, certes, il existe bien une hiérarchie, mais elle est souvent représentée par un contrat - contrat de travail, contrat de mariage, famille, école, etc - et nous vouons un profond respect pour notre empereur, mais quand il s'agit d'un étranger, c'est une toute autre question. Bien sûr, nous les respectons, mais dans le sens où ce sont eux qui viennent au Japon, c'est à eux de s'adapter à notre culture et non l'inverse.
En tout cas, le fait le plus surprenant, c'est qu'il opta de nouveau pour un vouvoiement, réinstaurant ainsi la distance respectueuse due à tout interlocuteur japonais. Visiblement, donc, il démontre sa volonté d'écouter mon conseil. Mais voilà, c'est également un problème pour moi.
Non, décidément, c'était pas mon truc. Dommage, ça payait bien, mais bon, j'ai pas envie de faire des sacrifices pour un tel travail. Mon train-train quotidien me convenait amplement. Avec respect, je réitère ma courbette en avant en m'exprimant :
Sur ces mots, je m'en retourne à la recherche d'un nouvel emploi ailleurs, histoire de compléter mon emploi du temps de ministre. Sans politique.
En tout cas, le fait le plus surprenant, c'est qu'il opta de nouveau pour un vouvoiement, réinstaurant ainsi la distance respectueuse due à tout interlocuteur japonais. Visiblement, donc, il démontre sa volonté d'écouter mon conseil. Mais voilà, c'est également un problème pour moi.
Alors oui, mais non. La politique ça m'intéresse pas. Je suis pas du genre à magouiller ou quoique ce soit, et encore moins jouer votre toutou de garde. Je veux juste gagner un peu de thune, manger mes nouilles le soir, et rester tranquille. J'ai pas envie de me prendre la tête avec des andouillettes de politiciens, justement.
Non, décidément, c'était pas mon truc. Dommage, ça payait bien, mais bon, j'ai pas envie de faire des sacrifices pour un tel travail. Mon train-train quotidien me convenait amplement. Avec respect, je réitère ma courbette en avant en m'exprimant :
Je ne vais pas vous faire perdre davantage de temps. Et je ne suis pas particulièrement fan de cuisine exotique. Si vous voulez bien m'excuser, je vais prendre congé.
Sur ces mots, je m'en retourne à la recherche d'un nouvel emploi ailleurs, histoire de compléter mon emploi du temps de ministre. Sans politique.
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Meyrïan Isildro [MAD]
Meyrïan écouta les dernières répliques du jeune homme sans broncher. Il avait pourtant bien envie de le découper en rondelles, mais ses véritables pensées ne ressortaient pas. Il était doué pour cacher ses véritables intentions.
̶ Très bien, partez. Cela nous fera gagner du temps.
Le prince regarda partir le japonais en l’imaginant se jeter dans les flammes de l’enfer. Un rictus malsain se dessina sur ses lèvres, mais disparu aussitôt. Non, il n’était pas comme son père. Il se refusait de l’être.
Il prit la direction de la salle de réception, où les travailleurs de l’ambassade se réunissait pour le repas. Parmi ces gens, que des lèches-bottes de son père. Cela ne les empêchait pas de craindre le prince qui avait les pleins pouvoirs en ces lieux. Même si sa présence n’était que temporaire. Qu’est-ce qu’il avait hâte de partir de ce pays de coincés ! Trop de protocole, trop de consignes et pas assez de jolies filles ! Comment pouvait-il travailler dans ces conditions ?
Si l’héritier affichait un calme serein et un sourire à ses convives, des résidus de colère restaient en lui. Il aurait deux mots à dire aux recruteurs. Comment ce gars était arrivé jusqu’à lui ?
̶ Mangeons à notre succès ! lança-t-il en levant son verre.
Il ne tarda pas à le remplir de vodka. Ça l’aidait à garder bonne convenance. Il ne serait pas saoul pour si peu, son métabolisme éliminant bien vite l’alcool. Quelques gorgées lui suffisaient à dissiper la rage qu’il essayait de contenir.
Le prince ne resta pas plus longtemps à table et entra en trombe dans le bureau des ressources humaines.
̶ Pouvez-vous m’expliquer ce manège ? demanda-t-il avec un sourire innocent et effrayant à la fois.
Les employés blêmirent. Meyrïan ne donnait pas cher de leur peau.
̶ Très bien, partez. Cela nous fera gagner du temps.
Le prince regarda partir le japonais en l’imaginant se jeter dans les flammes de l’enfer. Un rictus malsain se dessina sur ses lèvres, mais disparu aussitôt. Non, il n’était pas comme son père. Il se refusait de l’être.
Il prit la direction de la salle de réception, où les travailleurs de l’ambassade se réunissait pour le repas. Parmi ces gens, que des lèches-bottes de son père. Cela ne les empêchait pas de craindre le prince qui avait les pleins pouvoirs en ces lieux. Même si sa présence n’était que temporaire. Qu’est-ce qu’il avait hâte de partir de ce pays de coincés ! Trop de protocole, trop de consignes et pas assez de jolies filles ! Comment pouvait-il travailler dans ces conditions ?
Si l’héritier affichait un calme serein et un sourire à ses convives, des résidus de colère restaient en lui. Il aurait deux mots à dire aux recruteurs. Comment ce gars était arrivé jusqu’à lui ?
̶ Mangeons à notre succès ! lança-t-il en levant son verre.
Il ne tarda pas à le remplir de vodka. Ça l’aidait à garder bonne convenance. Il ne serait pas saoul pour si peu, son métabolisme éliminant bien vite l’alcool. Quelques gorgées lui suffisaient à dissiper la rage qu’il essayait de contenir.
Le prince ne resta pas plus longtemps à table et entra en trombe dans le bureau des ressources humaines.
̶ Pouvez-vous m’expliquer ce manège ? demanda-t-il avec un sourire innocent et effrayant à la fois.
Les employés blêmirent. Meyrïan ne donnait pas cher de leur peau.
Mots utilisés :
Satin – Horizon – Andouillette – Dragon – Vodka
- hrp:
- Merci à toi pour ce super rp ! :D
Je suis aussi désolée pour les lecteurs des mises en page foireuses de mes posts... Et aussi pour le nombre de mots : j'ai écrit sur word et le compteur ne fonctionne pas de la même manière que celui du site compteurdelettres... J'espère que mes quelques écarts ne dérangeront pas !
Meyrïan Isildro [MAD]
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