Jogai Oujo
A quoi bon jouer dans la facilité quand on peut prendre des risques ?
Informations générales

Nom : Jogai
Prénom.s : Oujo
Âge : Née un 13 juillet 2090, a fêté récemment ses vingt-et-un ans.
Genre : Une femme qui est apparue dans une famille presque exclusivement masculine.
Origines : Japonaise pure souche.
Activité : Etudiante en stratégie d’entreprise.
Sexualité : Pure hétérosexuelle
Avatar : Yumeko Jabami - Kakegurui
Réglement : - c'est tipar-![Commençons la partie ! - [Oujo Jogai] 3766924225](https://2img.net/u/3217/48/83/12/smiles/3766924225.png)
Chemin Emprunté depuis un moment ! (Reboot)
Autre : J’aime les pandas.
Prénom.s : Oujo
Âge : Née un 13 juillet 2090, a fêté récemment ses vingt-et-un ans.
Genre : Une femme qui est apparue dans une famille presque exclusivement masculine.
Origines : Japonaise pure souche.
Activité : Etudiante en stratégie d’entreprise.
Sexualité : Pure hétérosexuelle
Avatar : Yumeko Jabami - Kakegurui
Réglement : - c'est tipar-
![Commençons la partie ! - [Oujo Jogai] 3766924225](https://2img.net/u/3217/48/83/12/smiles/3766924225.png)
Chemin Emprunté depuis un moment ! (Reboot)
Autre : J’aime les pandas.
Histoire – Tout calculé comme dans une partie d’échecs.
Ta venue au monde fut perçue comme une véritable bénédiction. Tu étais le dernier espoir de ton très cher père ainsi que toute sa famille. Celle-ci semblait avoir été maudite, voilà presque deux cents ans qu’aucun descendant de ta famille paternelle ne parvenait à concevoir un enfant de sexe féminin. Autrefois, une telle chose aurait été des plus avantageuses, mais depuis le vingtième siècle cette aubaine se transforma en véritable malédiction aux yeux de la famille. Pourtant avec les progrès de la technologie ainsi que la richesse de ta famille, ils auraient très bien pu en avoir. Mais la fierté et l’arrogance leur exigeaient de ne pas user de la science pour arriver à leurs fins. Ton père avait eu deux épouses avant d’être mariée à ta mère, celles-ci ne faillirent guère à la réputation familiale puisqu’elles eurent chacune un garçon. Tu fus donc cette unique fille et ainsi traitée comme une véritable petite princesse depuis ta naissance, et même bien avant. On peut dire que le jour où ton père avait appris que ta mère était enceinte d’une fille, cette chère Mariko fut elle aussi traitée comme une véritable déesse.
Ainsi, tu vins au monde un treize juillet, l’avis de tes grands-frères était bien mitigé. L’aîné Kaname fut épris une certaine jalousie, ayant toujours été traité comme le préféré, il perdit sa place de favori et te voua une haine assez violente. Quant au cadet Kiseki, il fut très heureux d’avoir une petite sœur à protéger. La différence d’âge que tu avais avec ton aîné ne t’aida guère à t’intégrer comme il se doit. À cette époque Kaname avait onze ans et Kiseki en avait quatre, évidemment tes chances d’être apprécié de Kaname s’amenuisait à l’allure que tu grandissais.
Dès ton plus jeune âge, tu fus éduquée avec cette idolâtrie de l’Incontestable, ce programme qui avait sauvé le Japon d’une ruine certaine et d’une diminution de sa population. Plus jeune, tu y croyais dur comme fer, te disant que tes parents s’entendaient si bien et, qu’avec beaucoup de chances, tu pourrais avoir un mari aussi parfait que ton père. Un complexe d’Oedipe ? Quelle petite fille n’a jamais voué un amour inconditionnel pour un père qu’elle estimait idéal ? Il faut dire que ce cher Tôrhu t’avait toujours gâté. Cédant à tes moindres caprices et désirs depuis toujours. Ce qui attisait l’ardeur et la haine qu’éprouvait ce cher Kaname envers toi. Les coups bas s’enchaînèrent, tu avais eu le droit à des petites humiliations quotidiennes et il ne manquait jamais d’essayer de te tourner au ridicule. Toutefois, grâce à l’aide de ton cousin Aii, tu décidas d’user de ton pouvoir de petite préférée. La moindre pichenette ou n’importe quel autre coup qui t’était donné, devait une véritable arme que tu pouvais retourner contre son envoyeur. La comédie ainsi que la manipulation devinrent ton quotidien pour mieux te défendre des assauts de ton aîné. Évidemment, tout allait dans ton sens, ton père n’hésitait pas à punir et s’excuser à la place de ton frère. Tu étais devenue l’archétype de la parfaite petite gosse de riche.
Kaname regretta amèrement de s’être attaquée à toi pour de multiples raisons puisqu’il subissait le courroux de ton père. Il quitta la demeure familiale une fois qu’il fut marié à sa femme Akeno comme l’avait ordonné le programme.
En grandissant, tu te découvris un véritable goût pour les jeux d’argent et ceux depuis que tu avais vu ton père jouer au poker avec ses amis quand tu avais huit ans. Autant dire que sa surprise fut grande quand tu lui demandas de t’apprendre à y jouer. Tu avais une mémoire eidétique et ainsi, tu retenais tout ce que l’on t’enseignait en une seule fois. Tu pris tellement goût à ces jeux que tu te donnas le défi d’apprendre à jouer tout type de jeux d’argent. Tu trouvas même un talent pour démasquer les potentielles techniques de triches. Un don qui t’aida particulièrement pendant tes petites parties de poker et blackjack entre fils de riches. Bien que tu n’avais pas le droit de rentrer à l’intérieur de la salle où se trouvait toutes les tables de jeu, tu ne t'étais pas primée pour te faire connaître dans des soirées spécifiques où tu usais de ton talent pour enrichir ton compte bancaire. Même si ces soirées n'étaient pas vraiment légales.. Peu importe après tout. La richesse et le pouvoir ouvraient pas mal de portes et empêchaient plusieurs désagréments.
Concernant tes études, tu avais entrepris de suivre la voie familiale. C’est-à-dire le monde des affaires. Après avoir obtenu ton diplôme de fin d’études du lycée, tu allas dans une grande école de commerce où tu étudiais les stratégies d’entreprise. Pour toi, la vie était égale à un jeu d’argent, toute stratégie était bonne pour parvenir à ses fins. Et ce choix d’étude fut particulièrement cohérent à ta façon d’agir et de penser.
Actuellement, tu vis toujours dans le cocon familial que tu n’as pas l’intention de quitter avant d’être mariée. Même s’il t’arrive de prendre quelques « vacances » dans les nombreuses demeures de tes parents.
Ainsi, tu vins au monde un treize juillet, l’avis de tes grands-frères était bien mitigé. L’aîné Kaname fut épris une certaine jalousie, ayant toujours été traité comme le préféré, il perdit sa place de favori et te voua une haine assez violente. Quant au cadet Kiseki, il fut très heureux d’avoir une petite sœur à protéger. La différence d’âge que tu avais avec ton aîné ne t’aida guère à t’intégrer comme il se doit. À cette époque Kaname avait onze ans et Kiseki en avait quatre, évidemment tes chances d’être apprécié de Kaname s’amenuisait à l’allure que tu grandissais.
Dès ton plus jeune âge, tu fus éduquée avec cette idolâtrie de l’Incontestable, ce programme qui avait sauvé le Japon d’une ruine certaine et d’une diminution de sa population. Plus jeune, tu y croyais dur comme fer, te disant que tes parents s’entendaient si bien et, qu’avec beaucoup de chances, tu pourrais avoir un mari aussi parfait que ton père. Un complexe d’Oedipe ? Quelle petite fille n’a jamais voué un amour inconditionnel pour un père qu’elle estimait idéal ? Il faut dire que ce cher Tôrhu t’avait toujours gâté. Cédant à tes moindres caprices et désirs depuis toujours. Ce qui attisait l’ardeur et la haine qu’éprouvait ce cher Kaname envers toi. Les coups bas s’enchaînèrent, tu avais eu le droit à des petites humiliations quotidiennes et il ne manquait jamais d’essayer de te tourner au ridicule. Toutefois, grâce à l’aide de ton cousin Aii, tu décidas d’user de ton pouvoir de petite préférée. La moindre pichenette ou n’importe quel autre coup qui t’était donné, devait une véritable arme que tu pouvais retourner contre son envoyeur. La comédie ainsi que la manipulation devinrent ton quotidien pour mieux te défendre des assauts de ton aîné. Évidemment, tout allait dans ton sens, ton père n’hésitait pas à punir et s’excuser à la place de ton frère. Tu étais devenue l’archétype de la parfaite petite gosse de riche.
Kaname regretta amèrement de s’être attaquée à toi pour de multiples raisons puisqu’il subissait le courroux de ton père. Il quitta la demeure familiale une fois qu’il fut marié à sa femme Akeno comme l’avait ordonné le programme.
En grandissant, tu te découvris un véritable goût pour les jeux d’argent et ceux depuis que tu avais vu ton père jouer au poker avec ses amis quand tu avais huit ans. Autant dire que sa surprise fut grande quand tu lui demandas de t’apprendre à y jouer. Tu avais une mémoire eidétique et ainsi, tu retenais tout ce que l’on t’enseignait en une seule fois. Tu pris tellement goût à ces jeux que tu te donnas le défi d’apprendre à jouer tout type de jeux d’argent. Tu trouvas même un talent pour démasquer les potentielles techniques de triches. Un don qui t’aida particulièrement pendant tes petites parties de poker et blackjack entre fils de riches. Bien que tu n’avais pas le droit de rentrer à l’intérieur de la salle où se trouvait toutes les tables de jeu, tu ne t'étais pas primée pour te faire connaître dans des soirées spécifiques où tu usais de ton talent pour enrichir ton compte bancaire. Même si ces soirées n'étaient pas vraiment légales.. Peu importe après tout. La richesse et le pouvoir ouvraient pas mal de portes et empêchaient plusieurs désagréments.
Concernant tes études, tu avais entrepris de suivre la voie familiale. C’est-à-dire le monde des affaires. Après avoir obtenu ton diplôme de fin d’études du lycée, tu allas dans une grande école de commerce où tu étudiais les stratégies d’entreprise. Pour toi, la vie était égale à un jeu d’argent, toute stratégie était bonne pour parvenir à ses fins. Et ce choix d’étude fut particulièrement cohérent à ta façon d’agir et de penser.
Actuellement, tu vis toujours dans le cocon familial que tu n’as pas l’intention de quitter avant d’être mariée. Même s’il t’arrive de prendre quelques « vacances » dans les nombreuses demeures de tes parents.
Physique

Si l’on devait te décrire en quelques mots, on dirait que simplement que tu es plutôt mignonne. Ton visage qui semble si doux, si innocent et pourtant qui cache une personnalité qui n’a rien à voir avec ton apparence. Tes cheveux sont longs d’une couleur brun chocolat, quant à tes yeux ils sont d’un noisette qui porte parfois sur le rouge. Une petite particularité physique que ta mère souhaitait t’apporter. Comme quoi les modifications génétiques au niveau des yeux, c’était monnaie courante dans la famille…
Si l’on devait ajouter quelque chose qui sort de l’ordinaire chez toi, c’est surement tes yeux qui sont beaucoup plus ronds qu’il ne devrait l’être vraiment. Une autre particularité que ta mère a souhaité t’apporter. Elle te voulait d’une beauté à couper le souffle mais malheureusement, elle s’est retrouvée bien choquée en voyant que sa tendre fille ressemble davantage à une poupée de porcelaine plutôt qu’une femme fatale. Et puis ce n’est absolument pas ton genre, tu apprécies être extravagante de temps à autre au niveau de ton style vestimentaire mais tu gardes une certaine sobriété qui est propre à ton père.
Quant à ton corps ta poitrine est de taille moyenne voire légèrement au-dessus, tu fais environ un mètre cinquante-cinq. Oui ce n’est pas très grand et cette taille te complexe beaucoup par moment. L’on te prend beaucoup trop souvent pour une enfant et ça a le don de t’exaspérer au plus haut point. De plus, peu de personnes te prennent réellement au sérieux. Tout le monde te sous-estime et te prend presque de haut. Grossière erreur n’est-ce pas ? Puisque chaque affront qui t’a été fait, a été rendu au centuple et dans la fourberie la plus profonde…
Si l’on devait ajouter quelque chose qui sort de l’ordinaire chez toi, c’est surement tes yeux qui sont beaucoup plus ronds qu’il ne devrait l’être vraiment. Une autre particularité que ta mère a souhaité t’apporter. Elle te voulait d’une beauté à couper le souffle mais malheureusement, elle s’est retrouvée bien choquée en voyant que sa tendre fille ressemble davantage à une poupée de porcelaine plutôt qu’une femme fatale. Et puis ce n’est absolument pas ton genre, tu apprécies être extravagante de temps à autre au niveau de ton style vestimentaire mais tu gardes une certaine sobriété qui est propre à ton père.
Quant à ton corps ta poitrine est de taille moyenne voire légèrement au-dessus, tu fais environ un mètre cinquante-cinq. Oui ce n’est pas très grand et cette taille te complexe beaucoup par moment. L’on te prend beaucoup trop souvent pour une enfant et ça a le don de t’exaspérer au plus haut point. De plus, peu de personnes te prennent réellement au sérieux. Tout le monde te sous-estime et te prend presque de haut. Grossière erreur n’est-ce pas ? Puisque chaque affront qui t’a été fait, a été rendu au centuple et dans la fourberie la plus profonde…
Caractère
Quant à ta personnalité, il est très difficile de te comprendre ou même de te cerner. Au premier abord et en apparence, tu ressembles à une véritable petite princesse mais dans le bon sens du terme. Polie, délicate, élégante et très attachante. Toutefois, tu dissimules ton véritable visage. Tu es quelqu’un de fourbe, rancunière et excessivement sadique. Tous les moyens sont bons pour rabaisser et détruire celui ou celle qui te gêne. Un véritable monstre ? Oui, il t’arrive de l’être quand on t’a blessé ou même qu’on s’est permis de t’humilier. Tu caches cette partie de toi avec cette gentillesse et ce sourire qui reste constamment faux pour ne pas montrer à tes adversaires qu’ils vont regretter de s’en être pris à toi ou à ceux qui te sont chers.
Chose importante, tu es quelqu’un de très intelligente, un fin stratège et une grande manipulatrice. Aussi vil que ça puisse l’être, tu apprécies manipuler autrui ou même dénigrer et humilier de la façon la plus atroce qui soit ceux qui t’agacent. Plutôt paradoxale non ? Toi qui avais subi tant d’humiliation de la part de ton frère, tu as pris son exemple… Sauf que ceux qui subissent ce châtiment le mérite selon toi. Dans le fond, tu es quelqu’un qui a juste beaucoup souffert du rejet de son frère et de ses agissements injustes envers toi. Ainsi tu as décidé de ne plus te laisser faire et surtout de te défendre de la façon la plus fourbe et sadique possible. Et sans te mentir... tu sais que au plus profond de toi, tu adores ça.
Chose importante, tu es quelqu’un de très intelligente, un fin stratège et une grande manipulatrice. Aussi vil que ça puisse l’être, tu apprécies manipuler autrui ou même dénigrer et humilier de la façon la plus atroce qui soit ceux qui t’agacent. Plutôt paradoxale non ? Toi qui avais subi tant d’humiliation de la part de ton frère, tu as pris son exemple… Sauf que ceux qui subissent ce châtiment le mérite selon toi. Dans le fond, tu es quelqu’un qui a juste beaucoup souffert du rejet de son frère et de ses agissements injustes envers toi. Ainsi tu as décidé de ne plus te laisser faire et surtout de te défendre de la façon la plus fourbe et sadique possible. Et sans te mentir... tu sais que au plus profond de toi, tu adores ça.