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Michiko Nakashima
Michiko Nakashima
Michiko Fuyuka
“Plus on juge, moins on aime.”
Informations générales
Nom :Fuyuka
Prénom.s :Michiko
Âge :32 ans, née le froid matin du 03 octobre 2079
Genre :Féminin
Origines : Japonaise
Activité :Procureure de l'Etat
Sexualité :Hétérosexuelle
Avatar :Kirigiri Kyouko
Réglement : -
CheminCela fait longtemps que je vous connais mais je ne sais plus vraiment d'où ^^"
Autre :♥
Histoire

C’était un après-midi comme les autres, où les dossiers s’entassaient plus vite qu’elle ne les traitait tandis que la pluie battait timidement les vitres du vaste bâtiment. Assise au fond de son siège de travail, contemplant pensivement les pages qu’affichaient son ordinateur, Michiko tentait de voir dans cette affaire de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les faits étaient sordides, plus encore les photographies, mais la procureure se moquait pour l’heure pas mal du visage méconnaissable de la victime ou du bas du corps partiellement calciné, leur préférant les divers procès verbaux rédigés par les enquêteurs. Ce qu’elle faisait ? Elle cherchait à savoir qui, parmi tous les attaquants, avait porté le coup fatal.

Vibrations. Hésitant un instant à répondre alors qu’elle était en plein travail, la jeune femme sortit néanmoins son téléphone personnel de son sac pour vérifier de qui il s’agissait. Un simple regard rapide au premier mot la convainquit ; à la hâte, elle décrocha. Quelques phrases échangées, à peine deux minutes écoulées. Elle raccrocha, éteignit rapidement son ordinateur, pris sa veste et partit en trombe, jetant deux mots au visage de son collègue pour lui demander de prévenir leur supérieur de son départ précipité. Son cœur palpitait, petit oiseau affolé prisonnier de sa cage thoracique. Rester calme, attendre encore un peu. Bientôt, ses pas foulèrent le sol blanc et froid des couloirs de l’hôpital, l’entraînant – pas assez vite à son goût – vers les services d’urgence. Elle franchit quelques portes, ignora tous ceux qu’elle pouvait croiser jusqu’à se heurter à une partie inaccessible. Elle savait pourtant que derrière les grosses lettres indiquant « Pharmacologie Toxicologie », Yume gisait inerte, entourée de médecins et personnels soignants. Trépignant en silence alors que l’infirmier l’avait fait patienter sur un siège dans le couloir, Michiko finit par fermer les yeux et laisser tomber sa tête contre le mur derrière elle, songeant à sa jeune et fragile épouse.
 
De quelques années sa cadette, l’étudiante en psychologie avait difficilement supporté l’ordre marital envoyé par l’Incontestable. Encore jeune, déjà abîmée par la vie après des années de harcèlement scolaire sexuel, une famille pauvre et un prêt étudiant à rembourser, Yume s’était heurtée à un accueil courtois mais froid de Michiko. Les semaines passant, la glace avait peu à peu fondue sous les nombreuses tentatives de la plus jeune d’effectuer un rapprochement mais, surtout, face à son évident mal être. Face à sa détresse, ne pouvant que la consoler dans ses excès de chagrin, la juriste s’était peu à peu ouverte à sa compagne hypersensible. Elles s’étaient liées jusqu’à devenir amies proches, mais les obligations maritales que tout couple se devait de supporter étaient vécues avec d’autant plus de difficultés par l’étudiante qu’elles étaient contraintes. Michiko ne comptait plus ses crises d’angoisse récurrentes, ses larmes trop souvent présentes. Un simple baiser parfois, une étreinte à d’autres instants, un rien pour lui rappeler les fêlures de son âme. Pourtant, elle luttait, combattait avec toujours plus de ferveur son propre mal avec une volonté surprenante, quand bien même ses efforts la laissaient épuisée, physiquement comme mentalement. Si fragile mais… si forte, aussi. De son mieux, la procureure avait tenté de réconforter et consoler ce petit cœur brisé, mais l’isolement social de sa compagne n’avait guère aidé, elle dont les amis se comptaient sur une main et qui s’effrayait dès lors que quiconque se révélait trop amical. Peut-être était-ce pour cela que Yume s’était tant accrochée à elle. Elle avait besoin d’un pilier pour survivre, une bouée pour surnager dans la mer noire de ses tourments.
 
-Madame Fuyuka ?
 
Une voix fatiguée la tira de ses souvenirs et elle se redressa à la hâte.
 
Quelques jours plus tard

 Le corps avait glissé, lentement, jusqu’à sa dernière demeure. Alors que brûlait le corps de feu son épouse, Michiko se sentait étrangement vide. Pas vraiment triste, simplement épuisée. Soulagée, aussi. Sa jeune compagne avait été bien trop sensible pour survivre dans ce monde qu’elle-même estimait de jour en jour plus désespérant. Elle se souvenait encore de la phrase marquante de son amie, alors que celle-ci, blottie dans les draps humides de ses pleurs, contemplait tristement le plafond de la chambre. Assise à ses côtés, lui caressant doucement les cheveux pour la calmer, la procureure l’avait bercé un moment avant de s’éloigner retourner à son travail, la croyant endormie. A tort. « Tu sais… j’ai peur de mourir, un jour. De souffrir, de ne pas savoir ce qu’il y a vraiment, après. Mais en fait, je crois que j’ai encore plus peur de continuer à vivre. » Marquant un temps d’arrêt en l’entendant, Michiko s’était finalement éclipsée alors que ses mots résonnaient encore en elle. Elle n’avait rien eu à ajouter. Elle ne trouvait pas davantage les mots devant ce qui n'était plus qu'un cadavre gavé de médicaments meurtriers.

Elle avait repris sa vie sans mal, retrouvant la solitude avec un certain plaisir, telle une vieille amie dont le chemin s'était éloigné un moment du sien avant de le recroiser. Fille unique d'un couple de médecins toujours trop occupée pour vraiment s'intéresser à elle ; ayant grandi en compagnie d'écrans et d'ouvrages divers de médecine, puis de Droit lorsqu'elle avait entreprit ses études supérieures, c'était un rythme familier qui lui convenait. Non pas que Michiko n'éprouva rien suite au décès de Yume : ses facéties et ses grands yeux si expressifs lui manquaient régulièrement, mais au moins ne la voyait-elle plus malheureuse. Les responsables de son terrible mal-être – ce qui, à ses yeux, comprenait l'Incontestable – étaient hors d'atteinte. Elle se replongea donc dans son travail, se roulant avec un certain plaisir malsain dans la fange de l'être humain. Et elle avait de quoi faire.

Moins d'un an s'était écoulé que le Big Bang Kiss se chargea de combler tout espace disque sur son ordinateur de travail. Face à l'affluence soudaine d'arrestations et à l'importance de l'évènement, la procureure passa plus de nuit dans son bureau que chez elle, remerciant toute divinité veillant sur elle de lui avoir épargnée l'arrivée d'une nouvelle lettre rose. Épuisée, elle en oublia le terme de vie sociale et ce qu'il pouvait signifier. Certains dossiers étaient encore en suspend quand Nature, cette vieille dame essoufflée et meurtrie, lança contre le Japon ses assauts terribles. Outre l'effervescence dans les services, la perte de documents ou d'individus liés de près comme de loin à une quelconque affaire juridique, la catastrophe ramena à la surface ceux que la japonaise considérait comme les pires profiteurs : les pilleurs des lieux désertés, les revendeurs d'objets ainsi volés, les relogements dans des conditions inhumaines ou encore des escroqueries aux assurances.

Impactée, la vie du tribunal finit néanmoins par reprendre son cours, Michiko retrouvant également des dossiers plus habituels qui l'emmenaient d'un côté à l'autre de la ville retrouver la police en plein travail. Tantôt violences intra-familiales, tantôt trafics divers, quelques meurtres et viols pour agrémenter le tout et un soupçon de criminalité en col blanc, c'était parfait pour elle. Chaque jour passant était autant similaire que distinct de ceux déjà écoulés, lui rappelant à tout instant combien l'Homme pouvait être égoïste et cruel, opportuniste et manipulateur, violent et orgueilleux. Semblant approuver cette triste constatation,
la nature – ou peut-être quelques scientifiques ? – se chargea une nouvelle fois de tenter de réduire leur nombre ; si Michiko ne fut jamais atteinte par la mystérieuse épidémie, elle ne put en dire de même de ses collègues. Face à cette soudaine recrudescence de malades ou morts en interne, les services des procureurs de Tokyo et plus largement du Bureau des Affaires Criminelles furent rapidement saturés. Débordée, la jeune femme n'aspire aujourd'hui plus qu'à un peu de répit...
Physique

Frisson. Dans un froissement de tissu, la blanche statue de marbre s’anima, laissant deux prunelles pâles s’ouvrir sur le monde. Tantôt d’un violet de cobalt léger, tantôt d’un délicat gris rosé, les yeux pensifs, qu’un trait charbonneux et de longs cils noirs rendaient plus saisissants encore, observaient avec calme et un soupçon de curiosité leur environnement. Dans le visage triangulaire et impassible, ils attiraient d’autant plus que seul cet héritage d’une manipulation génétique maternelle semblait animé, étranges créatures vivantes nichées dans l’albâtre sculpté de la chair à peine rosée. C’était à peine si se distinguaient les lèvres minces et lisses, pourtant teintées d’un bel incarnadin, non plus que ne se voyait vraiment le nez droit. Seules les pupilles noires rompaient le camaïeu de rose du fin minois.

Souffle léger. Un léger courant d’air vint s’enrouler autour d’elle, soulevant quelques mèches légères avec la frivolité d’un amant taquin. Dans un rayon de lumière filtrant par la fenêtre entrebâillée, la chevelure blanche, curieusement assortie aux iris à peine plus foncées, dévoila les timides reflets mauves qui la paraient. Dans le pâle linceul de la longue et lisse crinière, c’était à peine si la tresse qui tombait timidement sur son épaule gauche se distinguait ; un fin ruban venait toutefois dévoiler son existence, attache qui, le plus souvent noire, rappelait celui des sourcils. Sombres et bien tracés, ils révélaient à qui se faisait attentif que ce n’était qu’à la magie mystérieuse des colorations que la magistrate devait la couleur de ses mèches. Une frange droite et sévère semblait désireuse de dissimuler ces preuves d’artificialité, sans qu’elle ne fut assez longue pour le faire.

Froidure. Elle semblait l’incarnation de son nom, trop figée pour être jolie, pas assez remarquable pour être vraiment belle. Mouvements précis, économes. Impression de calme et d’assurance. Elle l’avait travaillé, soigneusement. Pour son métier, pour sa passion. Sa silhouette tonique, quoi que de taille moyenne, était entretenue par la pratique régulière d’arts martiaux. Souvent vêtue de pantalons droits et de chemises sobres – lesquelles cachaient le plus souvent son fin pendentif d’argent en forme de flûte de pan – Michiko entretenait avec soin son allure soignée et rigoureuse.
Caractère

Elle était fatiguée, toujours, tout le temps. Fatiguée de voir le monde s’enfoncer toujours plus dans l’absurdité, fatiguée de découvrir combien l’humain pouvait être abject, fatiguée de ne se lever que pour rêver de se recoucher. Michiko aspirait souvent au repos, un repos véritable. Ne plus sentir sur ses épaules le poids du travail et des responsabilités, ne plus s’inquiéter, ne plus penser. Juste… dormir. Mais autant qu’elle l’épuisait, la noirceur humaine la fascinait. L’attirait. Elle aimait dévoiler la vérité sur les histoires sordides des dossiers qui s’amoncelaient, plonger le regard dans celui des délinquants qui croisait son chemin. Elle n’aspirait qu’à mieux les comprendre, les étudier, les décrypter et, patiente, se donnait toujours le temps de le faire autant qu’il lui était possible. Petite, elle voulait être une grande criminelle, par attrait de l’adrénaline, par fascination du mal. Finalement, elle était de l’autre côté. Plus difficile, mais plus sûr. Peut-être qu’elle n’en avait pas eu le courage, aussi. C’était pour le mieux, cependant.

Esprit libre et curieux, elle appréciait les casse-têtes que lui offraient les enquêtes, quoi qu’elle s’agaçât parfois des limites procédurales à respecter scrupuleusement. Mais pour elle qui aimait étudier, elle ne pouvait nier avec apprécier les études juridiques qu’elle avait été contrainte de faire pour trouver sa voie, d’autant qu’elle se plaisait à glisser son esprit entre les pages d’un livre. Désuet, peut-être. Si plaisant toutefois. Ils avaient une odeur, une texture, une existence que ne possédaient pas les écrans, fussent-ils des livres holographiques. Même les dictionnaires l’intriguaient, malgré les horizons plus restreints qu’ils offraient face à ceux des nouvelles technologies. La jeune femme aspirait à s’égarer sur des chemins dont elle ignorait tout ou partiellement le contenu, voire l’existence. D’aucuns la qualifieraient de trop studieuse. Elle ne le niait pas ; à quoi bon ? Ce n’était pas à ses yeux une quelconque tare, d’autant qu’elle appréciait tout autant les bienfaits du sport.
Adepte d’arts martiaux, la jeune femme aimait l’indépendance physique comme intellectuelle que pouvait lui offrir la polyvalence de compétences. Peut-être cela la rend elle quelque peu méfiante, désireuse de pouvoir tout vérifier et contrôler elle-même. Juste retour des choses, pour elle habituée à être seule et à œuvrer en solitaire. Pour autant, elle appréciait la compagnie de ses proches, famille et amis quoi que ces derniers fussent peu nombreux. A leurs côtés, elle pouvait se détendre, s’ouvrir davantage. Le masque imperturbable qu’elle entretenait tout naturellement en présence d’étrangers était délaissé et alors, Michiko se laissait aller à apprécier humour et discussions légères.

Aussi fermée puisse-t-elle paraître, la magistrate usait néanmoins volontiers d’ironie comme de railleries ; une façon pour elle de supporter l’absurdité des propos qui lui étaient régulièrement opposés. Mélomane et grande admiratrice de l’art de l’opéra, cette terre-à-terre ne rêvait que face à quelques notes mélodieuses ou chants captivants, seuls capables de raviver pleinement sa sensibilité endormie. Face à tant d’âmes perdues, comment ne pas s’égarer à son tour ?
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Michiko Nakashima
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(Re ?)bienvenue par ici Nemo censetur ignorare legem  1362171446
Bonne rédaction à toi o/ j'aime déjà bien ce que je lis Nemo censetur ignorare legem  4115966937
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Courage pour ta fiche !
Procureur huhuhu ! J'veux un lien !!
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Bienvenuuue /o/
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Bienvenido ♥

Kirigiri ♥♥ bon courage pour le reste de la rédac' !
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! o/
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Bienvenue ~~

Bonne continuation pour ta fiche !
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Fiche finie je crois (il est tard, mamie n'est déjà plus certaine d'avoir tout rempli complètement Nemo censetur ignorare legem  882886638 )

Merci à tous pour vos messages ♥ Avec plaisir Emmet, je te montrerai que condamner les gens est bien plus drôle que les sauver Nemo censetur ignorare legem  1266160259

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Mer 13 Nov - 1:13
Bienvenue ! Bonne validation :3
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Plouplou Madame, bienvenue ! Je n'ai plus qu'à te dire.... BONNE VALIDATION. Voilà : D.
Doux bisous !
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Bienvenue ! Nemo censetur ignorare legem  1988361910
Adrian Liu
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Michiko Nakashima
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Nemo censetur ignorare legem  1984817200 merci beaucoup pour votre accueil, z'êtes des namurs !

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Nemo censetur ignorare legem  Signa-1
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Kaori Mogami
Kaori Mogami
Yoplà !

Et bien, je n'ai pas grand-chose à redire en fait. Ta fiche est très bien écrite, ça se lit tout seul, c'est un vrai plaisir pour les yeux. Nemo censetur ignorare legem  4115966937

Amuse-toi bien ! o/


Tu es validé(e) !

Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !

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• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites. ♥

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

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