Ottone Toshi
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![]() | Généralités Nom ;; Ottone Prénoms ;; Toshi Âge ;; 30 ans - né le 24 juin 2081 Genre ;; Masculin Origines ;; Japonais Activité ;; Jardinier Sexualité ;; Bisexuel Avatar ;; Aziraphale - Good Omens Règlement ;; Chemin ;; Je le connais depuis pas mal de temps Commentaire ;; Restez-chez vous, Lavez vous les mains, buvez de l'eau ; blabla.... |
Histoire
On me disait souvent que j’étais trop simplet, que je n'avais aucune aspiration, aucun rêve. C'est faux. Pourquoi je ne peux pas juste désirer une vie simple, où je n'ai à me soucier de rien ? Pourquoi devrai-je toujours viser l'excellence, alors que l'accessible me va si bien ?
Au grand des désarrois de mes parents, je n'ai jamais vraiment correspondu aux attentes de l'école. J'aimais pourtant bouquiner et apprendre de mon côté, mais dans une salle de classe c'était une autre histoire. J'avais des difficultés, certes, mais c'est surtout que les cours donnés ne m’intéressaient pas. Je restais difficilement sur ma chaise, je me tortillais en m'imaginant loin de ces quatre murs qui semblaient se refermer sur moi, loin de ce tableau qui me toisait avec dédain, et surtout loin des autres enfants. Le système japonais, toujours plus exigeant avait creusé un écart entre eux et moi. Je n'avais pas toujours réussi à éviter les brimades des excellents qui s'en prenaient au moins bons. Alors j'ai travaillé suffisamment pour qu'on me laisse tranquille. Je voyais sans vraiment pouvoir agir d'autres camarades qui ont subi la cruauté de ces élèves, alors que nos professeurs détournaient volontairement le regard, signe d'approbation ou d'indifférence. J'avais l'impression que le système scolaire fermait volontairement les yeux sur les cas de brimades.
Je n'ai que peu de souvenir de mon enfance en fait. Je me souviens de mon père, m'emmenant à la bibliothèque où il travaillait après l'école, me laissant choisir des tonnes de livres que je promettais d'avoir tous lu avant d'en emprunter d'autres. Je me souviens de ma mère, me présentant avec fiertés aux personnes âgés dont elle s'occupait. Je me souviens de l'odeur des mémés quand elles avançaient près de moi pour me prendre dans leurs bras. Enfant unique, mes parents ont toujours essayé de me chérir et de me protéger. Je me souviens des moments passés avec quelques amis dans mon jardin où au parc, jouant à chat ou aux cartes, et à se raconter des histoires qui font peur après avoir réalisé un pacte de sang.
Je n'ai jamais eu de passion. Enfin, j'aime des trucs oui. Mais je trouve que « passion » est un mot trop solennel pour désigner les choses que j'aime simplement faire. J'ai toujours aimé bouquiner, manger et faire à manger, passer du temps dans les parcs et à partir d'un certain âge, aller boire une bière ou deux au bar du coin, seul ou avec des amis.
Il m'a fallu du temps pour réussir à savoir ce que je voulais devenir, quel métier je voulais exercer. J'ai toujours eu l'impression que dès que l'on choisissait ou que l'on nous imposait un job, notre identité disparaît sous la casquette de notre profession. Je ne voulais pas devenir ingénieur, charpentier ou bien caissier, je voulais juste rester moi. Mais il a bien fallu que je choisisse quelque chose, et mon goût pour le travail en extérieur et les plantes m'ont orienté vers la jardinerie. Et au final j’apprécie pas mal ce que je fais ! Avant je travaillais en entreprise, mais j'ai préféré ne dépendre de personne alors je suis indépendant maintenant. Un ancien ami de l'école m'a créé un website et tout ce qu'il faut, et maintenant des particuliers me contactent pour que je m'occupe de leur chez eux. J'ai mes petites habitudes à présent, et je suis heureux de travailler seul, de faire de belles choses et de voir que mes clients sont satisfait du résultat. C'est mon train de vie.
J'habite seul depuis plus de dix ans maintenant. Ma petite maison est un peu à mon image : rempli de babioles inutiles mais jolies et de plantes. Elle comporte quelques bibliothèques, plusieurs pleines de dvd, un petit dressing, un canapé moche mais confortable, et un énorme tapis. Quelques fois j'ai l'opportunité de partager mon lit avec un bel homme ou une jolie fille, mais je n'ai jamais connu de longues relations. Quand mes parents débarquent ils se plaignent toujours du désordre, je n'ai jamais compris pourquoi. J'aime la situation dans laquelle je suis, si ce n'est quand la solitude vient frapper quelques soirs à ma porte. Les meilleurs moments selon moi, c'est quand des amis débarquent sans me prévenir avec une bouteille. J'aime quand on refait le monde.
L'Incontestable, je ne sais pas vraiment quoi en penser. Dans le principe je suis contre, forcer deux personnes à vivre leurs vies ensemble alors qu'elles n'ont rien demandé me semble absurde. Mais...Si c'est vraiment nécessaire... ? Je n'ai jamais réussi à trancher sur la question, parce qu'il semblerait que l'incontestable ai rendu des personnes heureuse et leurs a permis de former une belle famille... Mais ça a quand même l'air foireux ce système. Au final, je ne sais toujours pas, et je pense que sans en avoir fait l'expérience, je n'en saurait rien.
Je n'ai jamais été très investi dans la politique. Je remplis mes devoirs de citoyen et je tente de m'informer régulièrement, mais je ne suis pas le genre de type à sortir dans la rue pour hurler quand je suis en colère. Je comprends la démarche, mais rien ne m'a vraiment poussé à le faire. Peut-être un jour je me verrai forcé à sortir moi aussi défendre ma liberté, mais je ne pense pas avoir besoin de le faire pour l'instant. J'étais un peu décontenancé en voyant les manifestations des « incontrôlables », mais en y repensant je me dis que si ces gens ont une voix à faire entendre, c'est sûrement normal qu'ils le fassent. À vrai dire, je n'arrive pas très bien à démêler le vrai du faux dans la marée d'information dans laquelle nous baignons. Je tente de faire de mon mieux pour comprendre.
J'ai perdu deux amis, durant la catastrophe de 2109. Un couple partant sur les côtes pour fêter leur nuit de noces. C'était la première fois, et je l’espère la dernière, que j'ai eu à vivre un tel déchirement. Comme le reste du pays, j'ai passé de longues semaines et de long mois en deuil. J'ai tenté de donner de ma personne en faisant diverses donations d'argent pour aider à reconstruire, mais je pense que c'était pour essayer de chasser ce sentiment d'impuissance qui m'envahissait. Heureusement, ni moi ni mes proches avons été touché par la récente épidémie...
Au grand des désarrois de mes parents, je n'ai jamais vraiment correspondu aux attentes de l'école. J'aimais pourtant bouquiner et apprendre de mon côté, mais dans une salle de classe c'était une autre histoire. J'avais des difficultés, certes, mais c'est surtout que les cours donnés ne m’intéressaient pas. Je restais difficilement sur ma chaise, je me tortillais en m'imaginant loin de ces quatre murs qui semblaient se refermer sur moi, loin de ce tableau qui me toisait avec dédain, et surtout loin des autres enfants. Le système japonais, toujours plus exigeant avait creusé un écart entre eux et moi. Je n'avais pas toujours réussi à éviter les brimades des excellents qui s'en prenaient au moins bons. Alors j'ai travaillé suffisamment pour qu'on me laisse tranquille. Je voyais sans vraiment pouvoir agir d'autres camarades qui ont subi la cruauté de ces élèves, alors que nos professeurs détournaient volontairement le regard, signe d'approbation ou d'indifférence. J'avais l'impression que le système scolaire fermait volontairement les yeux sur les cas de brimades.
Je n'ai que peu de souvenir de mon enfance en fait. Je me souviens de mon père, m'emmenant à la bibliothèque où il travaillait après l'école, me laissant choisir des tonnes de livres que je promettais d'avoir tous lu avant d'en emprunter d'autres. Je me souviens de ma mère, me présentant avec fiertés aux personnes âgés dont elle s'occupait. Je me souviens de l'odeur des mémés quand elles avançaient près de moi pour me prendre dans leurs bras. Enfant unique, mes parents ont toujours essayé de me chérir et de me protéger. Je me souviens des moments passés avec quelques amis dans mon jardin où au parc, jouant à chat ou aux cartes, et à se raconter des histoires qui font peur après avoir réalisé un pacte de sang.
Je n'ai jamais eu de passion. Enfin, j'aime des trucs oui. Mais je trouve que « passion » est un mot trop solennel pour désigner les choses que j'aime simplement faire. J'ai toujours aimé bouquiner, manger et faire à manger, passer du temps dans les parcs et à partir d'un certain âge, aller boire une bière ou deux au bar du coin, seul ou avec des amis.
Il m'a fallu du temps pour réussir à savoir ce que je voulais devenir, quel métier je voulais exercer. J'ai toujours eu l'impression que dès que l'on choisissait ou que l'on nous imposait un job, notre identité disparaît sous la casquette de notre profession. Je ne voulais pas devenir ingénieur, charpentier ou bien caissier, je voulais juste rester moi. Mais il a bien fallu que je choisisse quelque chose, et mon goût pour le travail en extérieur et les plantes m'ont orienté vers la jardinerie. Et au final j’apprécie pas mal ce que je fais ! Avant je travaillais en entreprise, mais j'ai préféré ne dépendre de personne alors je suis indépendant maintenant. Un ancien ami de l'école m'a créé un website et tout ce qu'il faut, et maintenant des particuliers me contactent pour que je m'occupe de leur chez eux. J'ai mes petites habitudes à présent, et je suis heureux de travailler seul, de faire de belles choses et de voir que mes clients sont satisfait du résultat. C'est mon train de vie.
J'habite seul depuis plus de dix ans maintenant. Ma petite maison est un peu à mon image : rempli de babioles inutiles mais jolies et de plantes. Elle comporte quelques bibliothèques, plusieurs pleines de dvd, un petit dressing, un canapé moche mais confortable, et un énorme tapis. Quelques fois j'ai l'opportunité de partager mon lit avec un bel homme ou une jolie fille, mais je n'ai jamais connu de longues relations. Quand mes parents débarquent ils se plaignent toujours du désordre, je n'ai jamais compris pourquoi. J'aime la situation dans laquelle je suis, si ce n'est quand la solitude vient frapper quelques soirs à ma porte. Les meilleurs moments selon moi, c'est quand des amis débarquent sans me prévenir avec une bouteille. J'aime quand on refait le monde.
L'Incontestable, je ne sais pas vraiment quoi en penser. Dans le principe je suis contre, forcer deux personnes à vivre leurs vies ensemble alors qu'elles n'ont rien demandé me semble absurde. Mais...Si c'est vraiment nécessaire... ? Je n'ai jamais réussi à trancher sur la question, parce qu'il semblerait que l'incontestable ai rendu des personnes heureuse et leurs a permis de former une belle famille... Mais ça a quand même l'air foireux ce système. Au final, je ne sais toujours pas, et je pense que sans en avoir fait l'expérience, je n'en saurait rien.
Je n'ai jamais été très investi dans la politique. Je remplis mes devoirs de citoyen et je tente de m'informer régulièrement, mais je ne suis pas le genre de type à sortir dans la rue pour hurler quand je suis en colère. Je comprends la démarche, mais rien ne m'a vraiment poussé à le faire. Peut-être un jour je me verrai forcé à sortir moi aussi défendre ma liberté, mais je ne pense pas avoir besoin de le faire pour l'instant. J'étais un peu décontenancé en voyant les manifestations des « incontrôlables », mais en y repensant je me dis que si ces gens ont une voix à faire entendre, c'est sûrement normal qu'ils le fassent. À vrai dire, je n'arrive pas très bien à démêler le vrai du faux dans la marée d'information dans laquelle nous baignons. Je tente de faire de mon mieux pour comprendre.
J'ai perdu deux amis, durant la catastrophe de 2109. Un couple partant sur les côtes pour fêter leur nuit de noces. C'était la première fois, et je l’espère la dernière, que j'ai eu à vivre un tel déchirement. Comme le reste du pays, j'ai passé de longues semaines et de long mois en deuil. J'ai tenté de donner de ma personne en faisant diverses donations d'argent pour aider à reconstruire, mais je pense que c'était pour essayer de chasser ce sentiment d'impuissance qui m'envahissait. Heureusement, ni moi ni mes proches avons été touché par la récente épidémie...
Caractère
Je n'ai pas de désir de grandeur, certes. Cela ne veut pas dire que je ne suis pas sans motivation. J'aime m'épanouir dans ce que j'aime, et je tente comme je peux de me concentrer uniquement sur ça, c'est sûrement seulement ainsi que je pourrai être heureux. Ma mère me disait toujours de « profite des bonnes choses ! », et quand bien même cette phrase m'a paru si bête et naïve pendant longtemps, j'ai compris. J'ai compris que ce n'était pas parce qu'elle refusait de voir la réalité en face, le monde entier qui nous entoure et qui souvent hurle. J'ai compris que c'était parce que nous ne pouvons rien y faire, et que malgré toute nos efforts, nous serons simplement que des petites choses, que des petits gens. Alors je l'écoute, et j'essaye de mon mieux de rependre un peu de bonne chose, souvent maladroitement. Je vois mon métier de jardinier un moyen de rendre le monde un petit peu plus beau, et d'en satisfaire tout le monde.
Je suis d'habitude solitaire, mais je ne rate jamais l'occasion de voir un peu de monde. Je passe régulièrement un ou deux soirs par semaine dans le bar du quartier, même lorsque je ne suis pas accompagné. J'ai appris à aimer simplement m'installer seul à une table et à apprécier le dynamisme ambiant, et puis, j'adore quand des gens viennent naturellement faire connaissance, sûrement parce que l'alcool dans leur sang leur ont donné la motivation de le faire. Parfois quand le courage me prend, je vais moi-même aborder un ou une inconnue seule, et les choses sont magiques le temps d'une nuit.
Je n'ai jamais vraiment construit quelque chose avec quelqu'un à part peut-être une amourette de pré-adolescent, je n'ai jamais eu ce -déclic-. Et puis, si au final on ne peut choisir avec qui on finit notre vie, à quoi bon ? L'Incontestable fera le travail pour moi.
J'alterne le reste de mon temps entre les parcs, restaurants et mon nid. Je passe aussi souvent beaucoup trop de temps dans les brocantes ou autres dépôt-ventes, où je me retrouve à acheter tout et n'importe quoi. Je me suis rendu que c'était un problème lorsque j'ai vu la réaction de ma mère lorsque je lui ai montré les trois horloges à coucou que je venais d'acheter.
J'ai arrêté de voir les sales gens qui me regardaient de haut, j'ai arrêté d'écouter les cadres et autres entrepreneur essayant de me montrer à quelle point leur vie est plus prestigieuse que la mienne, quand je venais m'occuper de leur terrain gigantesque en me répétant en même temps que de toute façon « il n'y a pas de sous-métiers ». Il n'y en a peut-être pas, mais il y a quand même un pâté de sous-merdes. J'ai finis par cerner ce genre de personne, je les évite à tout pris. Jamais je n'échangerai même une journée de mon existence contre la leur.
Je suis d'habitude solitaire, mais je ne rate jamais l'occasion de voir un peu de monde. Je passe régulièrement un ou deux soirs par semaine dans le bar du quartier, même lorsque je ne suis pas accompagné. J'ai appris à aimer simplement m'installer seul à une table et à apprécier le dynamisme ambiant, et puis, j'adore quand des gens viennent naturellement faire connaissance, sûrement parce que l'alcool dans leur sang leur ont donné la motivation de le faire. Parfois quand le courage me prend, je vais moi-même aborder un ou une inconnue seule, et les choses sont magiques le temps d'une nuit.
Je n'ai jamais vraiment construit quelque chose avec quelqu'un à part peut-être une amourette de pré-adolescent, je n'ai jamais eu ce -déclic-. Et puis, si au final on ne peut choisir avec qui on finit notre vie, à quoi bon ? L'Incontestable fera le travail pour moi.
J'alterne le reste de mon temps entre les parcs, restaurants et mon nid. Je passe aussi souvent beaucoup trop de temps dans les brocantes ou autres dépôt-ventes, où je me retrouve à acheter tout et n'importe quoi. Je me suis rendu que c'était un problème lorsque j'ai vu la réaction de ma mère lorsque je lui ai montré les trois horloges à coucou que je venais d'acheter.
J'ai arrêté de voir les sales gens qui me regardaient de haut, j'ai arrêté d'écouter les cadres et autres entrepreneur essayant de me montrer à quelle point leur vie est plus prestigieuse que la mienne, quand je venais m'occuper de leur terrain gigantesque en me répétant en même temps que de toute façon « il n'y a pas de sous-métiers ». Il n'y en a peut-être pas, mais il y a quand même un pâté de sous-merdes. J'ai finis par cerner ce genre de personne, je les évite à tout pris. Jamais je n'échangerai même une journée de mon existence contre la leur.
Physique
Plus jeune, je menais un combat contre mon corps, maintenant je l'accepte et je l'aime tel qu'il est. Mon corps n'a cependant jamais changé. Je ne suis pas très grand, 1m70 pour un homme, c'est vrai que je ne bats pas des records. Pour ce qui est de la largeur, j'ai toujours été potelé, un peu gras. Ma mère me disait que j'avais un corps de nuage, mais je m’identifiais surtout aux vielles îles flottantes de la cantine. Certaines personnes qui ont passé une ou quelques nuits avec moi me disaient au moins que j'étais « confortable », j'aime bien tout ce qui est confortable, alors mon corps est sûrement à mon image. Et puis après plusieurs années de travail physique, on retrouve même des muscle sous le douillet. Par contre le « velu » n'était pas une option que je souhaitais nécessairement, mais je n'ai jamais pris le temps de vraiment m'en occuper.
Mes petites boucles blondes et mes yeux bleus ont toujours été ma fierté, je ressemblais à un petit ange, j'ai d'ailleurs longtemps hérité de ce surnom. L'âge n'a jamais fait disparaître l'aspect enfantin de mon visage. Je me demande de quoi j'aurai l'air quand je serai un vieux grand-père...
L'habillement a été la solution pour m'apprécier physiquement. Si je n'arrive pas à me changer (si vous me voyez en train de faire un régime, c'est que je suis sous la contrainte,menacé,en danger, je vous invite à rapidement contacter les autorités locales.), alors autant m'entourer d'un beau papier cadeau ! J'ai rapidement pris goût pour la mode et les expérimentations vestimentaires. Sans être non plus un fan de vêtement, j'ai découvert un réel plaisir là-dedans. En dehors de la salopette de travail, il est important pour moi d'être bien habillé et propre sur moi. Lorsque je me sens en confiance j'apprécie aussi sortir maquillé.
Mes petites boucles blondes et mes yeux bleus ont toujours été ma fierté, je ressemblais à un petit ange, j'ai d'ailleurs longtemps hérité de ce surnom. L'âge n'a jamais fait disparaître l'aspect enfantin de mon visage. Je me demande de quoi j'aurai l'air quand je serai un vieux grand-père...
L'habillement a été la solution pour m'apprécier physiquement. Si je n'arrive pas à me changer (si vous me voyez en train de faire un régime, c'est que je suis sous la contrainte,menacé,en danger, je vous invite à rapidement contacter les autorités locales.), alors autant m'entourer d'un beau papier cadeau ! J'ai rapidement pris goût pour la mode et les expérimentations vestimentaires. Sans être non plus un fan de vêtement, j'ai découvert un réel plaisir là-dedans. En dehors de la salopette de travail, il est important pour moi d'être bien habillé et propre sur moi. Lorsque je me sens en confiance j'apprécie aussi sortir maquillé.