Minami Mitsuki
Rien n'est jamais acquis à l'homme, ni sa force, ni sa faiblesse, ni son cœur. Et quand il croit ouvrir ses bras, son ombre est celle d'une croix.
Informations générales

Nom : Minami
Prénom.s : Mitsuki
Âge : 24 ans (née le 25 juillet 2088)
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Assistante du responsable, secteur finances dans un grand groupe cosmétique japonais
Sexualité : hétérosexuelle
Avatar : Chain Sumeragi - Blood Blockage Battlefront
Règlement : -
Chemin Comment avez-vous connu le forum ? Par un ancien partenariat
Autre : Un commentaire ?
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Prénom.s : Mitsuki
Âge : 24 ans (née le 25 juillet 2088)
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Assistante du responsable, secteur finances dans un grand groupe cosmétique japonais
Sexualité : hétérosexuelle
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Histoire -Dis l’oiseau, oh dis emmène-moi. Retournons au pays d’autrefois. Comme avant, dans mes rêves d’enfant. Pour cueillir en tremblant, des étoiles, des étoiles.
Mitsuki Minami est né sous X, le 25 juillet 2088. Ce fut la sage-femme qui lui donna son prénom : Mitsuki. C’était un prénom très peu répandu au Japon, mais les enfants abandonnés l’étaient aussi. Une fois devenue adulte, la jeune femme avait bien tenté de retrouver sa mère biologique. Mais le dossier médical était vide.
Mitsuki n’a pas eu un début d’existence facile. L’orphelinat n’est, pour ainsi dire, pas le meilleur endroit pour commencer dans la vie. Mitsuki était une enfant discrète, docile et tranquille. Elle apprit bien tôt qu’il valait mieux ne pas se faire remarquer. Les autres enfants, en particulier les plus âgés, n’étaient pas des tendres et la fillette en fit régulièrement les frais.
En revanche, elle se sentait bien à l’école. Elle aimait beaucoup l’école. Elle aimait apprendre. Mitsuki apprit à lire très vite, bien avant les autres élèves. D’ailleurs, le coin bibliothèque de l’orphelinat n’était pas l’endroit le plus fréquenté. Elle s’y sentait bien, car isolée.
Un jour, un couple est venu rendre visite à l’orphelinat. Ils voulaient adopter une petite fille, avaient-ils dit. Mitsuki avait 7 ans. Ils étaient plutôt jeunes. La femme était brune avec de grands yeux en amande. Elle avait un joli sourire.
Le couple qui avait adopté Mitsuki ne pouvait pas avoir d’enfants. Ils habitaient dans un très grand appartement, au cœur de Tokyo. L’homme était le gérant d’une entreprise de cosmétiques. La femme était obstétricienne. Quelle ironie.
Au fil des ans, Mitsuki se révéla une excellente élève. Elle était douce et tranquille mais ne se mêlait que trop peu aux autres enfants. Le contact avec les enfants de l’Assistance l’avait poussé à prendre ses distances avec ses pairs. Mitsuki était disciplinée et prenait largement à cœur son travail. Sa mère tenta de lui faire prendre goût à la médecine. Mais la jeune fille se découvrit une appétence particulière pour les mathématiques et l’économie. Elle adorait accompagner son père à son entreprise. Elle aimait les odeurs de cuir des fauteuils de bureau, les immenses baies vitrées par lesquelles on voyait tout Tokyo, les carrelages étincelants et les secrétaires si bien habillées. Elle aimait aussi entendre son père lancer des ordres à tout va. Elle aussi, elle aurait voulu faire pareil.
Quelque chose en elle souhaitait faire ses preuves. Mitsuki voulait s’élever dans la société. Elle voulait faire carrière. Elle voulait prendre sa revanche sur cette mère inconnue, sur l’orphelinat, sur l’abandon.
Après la vétusté et la solitude de l’orphelinat, Mitsuki se retrouvait dans une famille aisée et aimante, qui lui avait offert à la fois un nom et un avenir. Elle pouvait enfin s’autoriser à rêver. D’ailleurs, elle rêvait de retrouver ses parents biologiques. Qui étaient-ils ? Pourquoi l’avaient-ils abandonné ? Les questions restées trop longtemps sans réponse finissent par nous bouffer. Personne ne savait où se trouvait sa vraie mère. Ou du moins, personne ne voulait le lui dire. Le secret était bien gardé.
Mitsuki ne s’attachait pas. Elle n’y arrivait pas. Les inconnus la déroutaient et la mettaient sur ses gardes. Seule sa famille trouvait le chemin de son cœur. Elle n’avait presque pas d’amis. Elle n’en voulait pas, en vérité. Le racket, les intimidations et les menaces des autres enfants de l’orphelinat avaient eu raison de sa sociabilité.
Après avoir obtenu son certificat d’études haut la main, Mitsuki passa le concours d’entrée d’une grande école de commerce de Tokyo. Admise, elle suivit les cours avec assiduité.
En 2109, lorsque le tsunami a frappé le Japon, Mitsuki se trouvait à l’université. Si les typhons ont épargné le campus, le tsunami s’est chargé de le démolir. En plein cours, complètement paniquée, la jeune femme ne se souvient que de l’instant où elle a aperçu la vague monstrueuse s’écraser contre la baie vitrée. Les fenêtres avaient volé en éclats, blessant au passage les visages des étudiants. Puis l’eau bouillonnante avait envahi la salle de cours, emportant avec elle tout le mobilier. Dans ce remous terrible, les tables, les chaises, tout devenait une menace. De l’eau dans les yeux, sans oxygène, Mitsuki pensa mourir. Ses poumons brûlaient, elle ne voyait rien. Brusquement, elle sentit quelqu’un lui empoigner fermement le bras. Une fois qu’elle put faire émerger son visage de l’eau, elle reconnue son voisin de table. Ils se précipitèrent sur le toit de l’université. Une fois en sécurité, Mitsuki perdit connaissance.
Finalement, elle obtient son master 2, 6ème au classement. Bien que diplômée d’une prestigieuse école, son père lui offrit une place dans son entreprise. C’était elle qui devait hériter de l’empire familial, elle devait donc apprendre les ficelles du métier. Il lui trouva une place auprès du responsable des finances. Pourtant, Mitsuki savait qu’elle méritait sa place.
Lorsque son père apprit qui avait sauvé la vie de sa fille, il lui offrit également une place dans son entreprise. Heureusement pour eux, le siège de l’entreprise était aux normes et trop éloigné, lors de la catastrophe, et des drames ont pu être évités. De même, la mère de Mitsuki se trouvait à l’hôpital, qui lui aussi avait été épargné.
Le bogue de l'Incontestable, qui suivit cet événement tragique, n'affecta que très peu la jeune femme. N'étant ni mariée, ni naturellement apte à enfreindre les lois, Mitsuki ne se rendit pas tout de suite compte que l’Incontestable s'était tu. Elle observa ce phénomène de loin, sans réellement changer sa façon de vivre.
Si les parents de Mitsuki n'avaient pas été touchés par la première catastrophe, l'épidémie qui se déclara durant l'été heurta de plein fouet l'hôpital où travaillait sa mère. Médecin, en contact permanent avec des malades, la mère de Mitsuki développa une forme assez grave de l'infection. Sans savoir réellement pourquoi, Mitsuki résista plutôt bien à la maladie. En revanche, l'état de santé de sa mère lui valu de longues nuits sans sommeil. Sa mère fit partie des premiers malades, mais également des premiers guéris. La famille avait pris des coups, mais le pire avait tout de même été évité.
Mitsuki n’a pas eu un début d’existence facile. L’orphelinat n’est, pour ainsi dire, pas le meilleur endroit pour commencer dans la vie. Mitsuki était une enfant discrète, docile et tranquille. Elle apprit bien tôt qu’il valait mieux ne pas se faire remarquer. Les autres enfants, en particulier les plus âgés, n’étaient pas des tendres et la fillette en fit régulièrement les frais.
En revanche, elle se sentait bien à l’école. Elle aimait beaucoup l’école. Elle aimait apprendre. Mitsuki apprit à lire très vite, bien avant les autres élèves. D’ailleurs, le coin bibliothèque de l’orphelinat n’était pas l’endroit le plus fréquenté. Elle s’y sentait bien, car isolée.
Un jour, un couple est venu rendre visite à l’orphelinat. Ils voulaient adopter une petite fille, avaient-ils dit. Mitsuki avait 7 ans. Ils étaient plutôt jeunes. La femme était brune avec de grands yeux en amande. Elle avait un joli sourire.
Le couple qui avait adopté Mitsuki ne pouvait pas avoir d’enfants. Ils habitaient dans un très grand appartement, au cœur de Tokyo. L’homme était le gérant d’une entreprise de cosmétiques. La femme était obstétricienne. Quelle ironie.
Au fil des ans, Mitsuki se révéla une excellente élève. Elle était douce et tranquille mais ne se mêlait que trop peu aux autres enfants. Le contact avec les enfants de l’Assistance l’avait poussé à prendre ses distances avec ses pairs. Mitsuki était disciplinée et prenait largement à cœur son travail. Sa mère tenta de lui faire prendre goût à la médecine. Mais la jeune fille se découvrit une appétence particulière pour les mathématiques et l’économie. Elle adorait accompagner son père à son entreprise. Elle aimait les odeurs de cuir des fauteuils de bureau, les immenses baies vitrées par lesquelles on voyait tout Tokyo, les carrelages étincelants et les secrétaires si bien habillées. Elle aimait aussi entendre son père lancer des ordres à tout va. Elle aussi, elle aurait voulu faire pareil.
Quelque chose en elle souhaitait faire ses preuves. Mitsuki voulait s’élever dans la société. Elle voulait faire carrière. Elle voulait prendre sa revanche sur cette mère inconnue, sur l’orphelinat, sur l’abandon.
Après la vétusté et la solitude de l’orphelinat, Mitsuki se retrouvait dans une famille aisée et aimante, qui lui avait offert à la fois un nom et un avenir. Elle pouvait enfin s’autoriser à rêver. D’ailleurs, elle rêvait de retrouver ses parents biologiques. Qui étaient-ils ? Pourquoi l’avaient-ils abandonné ? Les questions restées trop longtemps sans réponse finissent par nous bouffer. Personne ne savait où se trouvait sa vraie mère. Ou du moins, personne ne voulait le lui dire. Le secret était bien gardé.
Mitsuki ne s’attachait pas. Elle n’y arrivait pas. Les inconnus la déroutaient et la mettaient sur ses gardes. Seule sa famille trouvait le chemin de son cœur. Elle n’avait presque pas d’amis. Elle n’en voulait pas, en vérité. Le racket, les intimidations et les menaces des autres enfants de l’orphelinat avaient eu raison de sa sociabilité.
Après avoir obtenu son certificat d’études haut la main, Mitsuki passa le concours d’entrée d’une grande école de commerce de Tokyo. Admise, elle suivit les cours avec assiduité.
En 2109, lorsque le tsunami a frappé le Japon, Mitsuki se trouvait à l’université. Si les typhons ont épargné le campus, le tsunami s’est chargé de le démolir. En plein cours, complètement paniquée, la jeune femme ne se souvient que de l’instant où elle a aperçu la vague monstrueuse s’écraser contre la baie vitrée. Les fenêtres avaient volé en éclats, blessant au passage les visages des étudiants. Puis l’eau bouillonnante avait envahi la salle de cours, emportant avec elle tout le mobilier. Dans ce remous terrible, les tables, les chaises, tout devenait une menace. De l’eau dans les yeux, sans oxygène, Mitsuki pensa mourir. Ses poumons brûlaient, elle ne voyait rien. Brusquement, elle sentit quelqu’un lui empoigner fermement le bras. Une fois qu’elle put faire émerger son visage de l’eau, elle reconnue son voisin de table. Ils se précipitèrent sur le toit de l’université. Une fois en sécurité, Mitsuki perdit connaissance.
Finalement, elle obtient son master 2, 6ème au classement. Bien que diplômée d’une prestigieuse école, son père lui offrit une place dans son entreprise. C’était elle qui devait hériter de l’empire familial, elle devait donc apprendre les ficelles du métier. Il lui trouva une place auprès du responsable des finances. Pourtant, Mitsuki savait qu’elle méritait sa place.
Lorsque son père apprit qui avait sauvé la vie de sa fille, il lui offrit également une place dans son entreprise. Heureusement pour eux, le siège de l’entreprise était aux normes et trop éloigné, lors de la catastrophe, et des drames ont pu être évités. De même, la mère de Mitsuki se trouvait à l’hôpital, qui lui aussi avait été épargné.
Le bogue de l'Incontestable, qui suivit cet événement tragique, n'affecta que très peu la jeune femme. N'étant ni mariée, ni naturellement apte à enfreindre les lois, Mitsuki ne se rendit pas tout de suite compte que l’Incontestable s'était tu. Elle observa ce phénomène de loin, sans réellement changer sa façon de vivre.
Si les parents de Mitsuki n'avaient pas été touchés par la première catastrophe, l'épidémie qui se déclara durant l'été heurta de plein fouet l'hôpital où travaillait sa mère. Médecin, en contact permanent avec des malades, la mère de Mitsuki développa une forme assez grave de l'infection. Sans savoir réellement pourquoi, Mitsuki résista plutôt bien à la maladie. En revanche, l'état de santé de sa mère lui valu de longues nuits sans sommeil. Sa mère fit partie des premiers malades, mais également des premiers guéris. La famille avait pris des coups, mais le pire avait tout de même été évité.
Physique

Mitsuki est une jeune femme plutôt jolie, quoi que ne s’autorisant que rarement des fantaisies. Son visage est fin et imberbe de toute imperfection. Il semble taillé dans de la pierre, figé. Seuls ses yeux expriment de la vie, dans ce visage sans émotion. Ces yeux sont d’un noir profond, tant et si bien qu’on ne parvient presque pas à en distinguer l’iris de la pupille. On dit bien souvent que le regard est le miroir de l’âme. Cela est particulièrement vrai chez Mitsuki. Son regard de jais peut se faire aussi sombre et glacial que la nuit, et s’embraser rapidement pour devenir aussi pétillant et réconfortant que l’été. Ses prunelles dansantes frangées de longs cils parviennent bien souvent à déstabiliser ses interlocuteurs. De la plus profonde inquiétude à la plus terrible des colères, Mitsuki est capable d’offrir toute la gamme des émotions à son regard.
Ses lèvres sont fines et roses. Elles n’arborent que très rarement un sourire, tout comme les joues de la jeune femme ne rosissent jamais. Son visage d’albâtre est encadré par deux rideaux de cheveux d’un noir des plus profonds. Sa coupe au carré n’ajoute que plus de sévérité à ce visage sans fantaisie. Une frange droite et raide cache la ligne soucieuse que la vie a inscrite sur le front de la jeune femme.
Deux lignes noires surplombent ce regard de glace, et se détachent avec trop de netteté sur cette peau d’ivoire, comme deux ailes d’un oiseau noir. Son nez est droit et fin et ses pommettes légèrement creusées.
Mitsuki est une jeune femme élancée et assez mince. Elle porte bien souvent un tailleur sombre, qui allonge encore plus sa silhouette longiligne. Des poignets fins, de grandes jambes, un ventre plat et si peu de hanches, Mitsuki semble pouvoir se briser à chaque instant. Ses mains sont toujours propres et bien entretenues. Des ongles faits, une bague fine et une montre des plus classiques constituent ses seules fantaisies. Toujours en talons, le tailleur bien repassé, le chemisier immaculé, Mitsuki ne donne absolument pas l’impression de se laisser aller. Une allure sévère qui a parfois bien du mal à cacher la jeunesse de la demoiselle.
Ses lèvres sont fines et roses. Elles n’arborent que très rarement un sourire, tout comme les joues de la jeune femme ne rosissent jamais. Son visage d’albâtre est encadré par deux rideaux de cheveux d’un noir des plus profonds. Sa coupe au carré n’ajoute que plus de sévérité à ce visage sans fantaisie. Une frange droite et raide cache la ligne soucieuse que la vie a inscrite sur le front de la jeune femme.
Deux lignes noires surplombent ce regard de glace, et se détachent avec trop de netteté sur cette peau d’ivoire, comme deux ailes d’un oiseau noir. Son nez est droit et fin et ses pommettes légèrement creusées.
Mitsuki est une jeune femme élancée et assez mince. Elle porte bien souvent un tailleur sombre, qui allonge encore plus sa silhouette longiligne. Des poignets fins, de grandes jambes, un ventre plat et si peu de hanches, Mitsuki semble pouvoir se briser à chaque instant. Ses mains sont toujours propres et bien entretenues. Des ongles faits, une bague fine et une montre des plus classiques constituent ses seules fantaisies. Toujours en talons, le tailleur bien repassé, le chemisier immaculé, Mitsuki ne donne absolument pas l’impression de se laisser aller. Une allure sévère qui a parfois bien du mal à cacher la jeunesse de la demoiselle.
Caractère
Mitsuki est une jeune femme qui désire être prise au sérieux, comme le laisse entendre son allure. Elle sait ainsi se montrer froide et sévère au premier abord. Réfrigérante comme de la glace, distante, inhospitalière, Mitsuki a toutes les caractéristiques de la femme hautaine. Toujours polie et attachée à tout ce qui touche à l’étiquette, Mitsuki ne fait ni faute de goût, ni écart de langage. Grâce à une éducation disciplinée et des études supérieures, la jeune femme est cultivée et plutôt vive d’esprit. Elle a un esprit mathématique, calculateur et rationnel. Ce n’est pas le genre à se laisser aller à la passion et aux divagations. Dans le travail, Mitsuki est une femme efficace, rigoureuse, consciencieuse.
Mitsuki est loyale, droite et juste. Avec ses pairs, elle ne se permet pas d’exprimer ses émotions. D’une nature très pudique, Mitsuki déteste les épanchements publics, les larmes de joie et les caractères extravagants. Elle ne supporte pas les gens exubérants, qui aiment à se faire remarquer. Car la demoiselle est particulièrement discrète, et ne cherche jamais à attirer les regards sur elle. Elle désire mener une vie tranquille. Solitaire et casanière, elle préfère de loin le confort de sa maison aux rassemblements extérieurs.
En effet, Mitsuki sait arranger son intérieur avec goût. Elle est même capable de créer une atmosphère chaleureuse qui tranche avec ce qu’elle donne à voir à l’extérieur.
En réalité, Mitsuki est tout à fait capable d’empathie et de sentiments envers ses proches. La jeune femme a l’esprit de clan très développé, et désire donner la meilleure image extérieure de sa famille et d’elle-même. Elle parvient toujours à donner le change, même lorsque la vie s’acharne sur elle. Envers ses proches, Mitsuki est prévenante et attentionnée. Mais elle ne s’autorise cela que dans un cadre privé.
Raide comme la justice à l’extérieur, douce et tendre en privé, Mitsuki est finalement très difficile à cerner.
Mitsuki est loyale, droite et juste. Avec ses pairs, elle ne se permet pas d’exprimer ses émotions. D’une nature très pudique, Mitsuki déteste les épanchements publics, les larmes de joie et les caractères extravagants. Elle ne supporte pas les gens exubérants, qui aiment à se faire remarquer. Car la demoiselle est particulièrement discrète, et ne cherche jamais à attirer les regards sur elle. Elle désire mener une vie tranquille. Solitaire et casanière, elle préfère de loin le confort de sa maison aux rassemblements extérieurs.
En effet, Mitsuki sait arranger son intérieur avec goût. Elle est même capable de créer une atmosphère chaleureuse qui tranche avec ce qu’elle donne à voir à l’extérieur.
En réalité, Mitsuki est tout à fait capable d’empathie et de sentiments envers ses proches. La jeune femme a l’esprit de clan très développé, et désire donner la meilleure image extérieure de sa famille et d’elle-même. Elle parvient toujours à donner le change, même lorsque la vie s’acharne sur elle. Envers ses proches, Mitsuki est prévenante et attentionnée. Mais elle ne s’autorise cela que dans un cadre privé.
Raide comme la justice à l’extérieur, douce et tendre en privé, Mitsuki est finalement très difficile à cerner.