Jun Haruo
"J’ai retrouvé la luxure perdue, exhumé l’impudeur enfouie. J’ai débusqué le vice caché."

![]() | Généralités Nom ;; Haruo Prénoms ;; Jun Âge ;; 25 ans / 24 mars 2087 Genre ;; Masculin Origines ;; Japonais Activité ;; thanatopracteur Sexualité ;; Homosexuelle Avatar ;; yoon seungho de Painter of the night Règlement ;; Chemin ;; Tybalt >3> on peut rien lui refuser à celui la uWu Commentaire ;;Arrêter Eto :V sinon elle va ramèner toute sa bande là... ah c'est déjà fait ? Et merde ![]() |
Histoire
Quoi de mieux pour fêter l'amour entre deux personnes, qu'une naissance, un être fait par deux créatures qui s'aiment réellement. Tu vas me dire, il y a aussi le mariage, mais c'était devenu quelque chose de tellement banal, limite obligatoire maintenant. Que beaucoup de personnes sont mariées d'office, limite dès leur majorité. Et pourtant, ils ne s'aiment pas au final, devant vivre l'un avec l'autre, sans pouvoir aller voir ailleurs... Quelle frustration... Tu n'imagines même pas la « joie » que l'on peut avoir lorsque l'on reçoit le papier qui disait que l'on était marié à telle personne.
Encore quand c'est une personne de notre entourage, tu parles bien évidemment d'amis, de personne qu'on l'on connaît, cela allait, mais un inconnu... Après, il ne faut pas non plus mettre cette chose dans le négatif. Tu a eu une très belle preuve, qui montrait que des fois, ça pouvait marcher. Après tout, il y a des gens qui ont appris à se connaître, à tisser des liens, et même à tomber amoureux. Ce qui a été le cas pour tes parents. Inconnue au début de leur relation et maintenant, c'est limite si l'un ne peut se passer de l'autre, de vraies âmes-sœurs. C'est comme si tout avait été prévu, que le destin voulait que leurs chemins se croisent pour n'en faire plus qu'un. Et c'est ainsi que tu arrivas, que tu quittas le ventre de ta mère pour dire bonjour à cette nouvelle vie qui commença pour toi.
D'ailleurs, comme tu étais leur seul enfant, on peut dire que tu as été extrêmement gâté, voire même un peu trop... Tu étais littéralement pourri jusqu'à la moelle. Ils t'offraient tout ce que tu voulais, sans regarder bien sûr le prix. Pourquoi regarder quand on avait largement les moyens. Bien évidemment, au vu du statut de ton père, tu ne pouvais pas te permettre d'être un enfant avec aucune éducation, tu lui ferais tellement honte. C'est pour ça que ton paternel prit le meilleur professeur pour t'enseigner tout ce que tu devais savoir au niveau de l'éducation, mais aussi tout ce que tu pouvais apprendre dans une école. Il voulait ce qu'il y a de mieux pour toi. Il ne voulait en aucun cas, que tu côtoies ce genre d'établissement, remplis d'enfants sauvages et mal éduqués.
Il voulait tellement que tu sois le fils parfait, qu'il ne pensa jamais à ton bonheur. Car oui étudier à la maison, c'était cool pour toi. Tu ne voyais personne à part ton professeur. Tu aurais aimé jouer avec d'autres enfants à la pause et te faire des amis. Mais que veux-tu, tu n'es qu'un enfant qui n'avait pas son mot à dire. C'est en partie à cause de ça, que tu avais du mal à te faire des amis, à être sociable. Tu as toujours été dans ton coin, même à t'inventer des copains imaginaires. Et le pire dans tout ça, c'est que tu ne passais aucun moment avec ton père, il était toujours pris par son travail. À chaque fois que tu essayais de lui demander de jouer avec toi, tu étais arrêté par une main en mode, "je n'ai pas le temps" ou un "tu ne vois pas que je suis au téléphone". Il n'en avait que faire de toi, son boulot passait avant la famille.
Passons à la période de ta vie qui est pour moi, la partie la plus intéressante. Puisque tu rencontras une certaine personne. C'était un homme que ton père avait engagé pour ta sécurité. Étant un homme haut placé dans la société, il se devait de te protéger, alors quoi de mieux qu'un garde du corps. Un beau mâle musclé, enfin, il avait tout pour plaire, pour te plaire. C'est d'ailleurs un peu grâce à lui que tu avais découvert ta sexualité. Et comme tu as toujours eu l'habitude d'avoir tout ce que tu voulais, tu le voulais à tout prix, peu importe s'il était marié. Tu as toujours pensé qu'à toi, pourquoi ça changerait, surtout à cette période de ta vie, où généralement les enfants sont ultra chiant. Donc comme tu le voulais, tu faisais tout pour essayer de le faire craquer, parce que tu avais déjà remarqué que celui-ci te matait de temps en temps, posant son regard sur toi, sur ton corps parfait. En même temps, quand, tu profitais du onsen que tu avais à la maison, tu y allais totalement nu. Tu cherchais vraiment la petite bête ! Mais le pire, je pense que c'était lorsqu'il te raccompagna chez toi. Tu n'arrêtais pas de le regarder dans le rétroviseur. Venant même de temps en temps te mordre les lèvres, montrer un bout de ta peau, limite même commencer à te toucher. Et pourtant, Tybalt ne craqua pas une seule fois, même lorsqu'il t'ouvrit la porte une fois arrivés à destination et qu'il te vit totalement nu. Il claqua la porte t'ordonnant de te rhabiller avant de rentrer chez lui. C'était encore une défaite pour toi, défaite qui s'ajouta à toutes tes tentatives. Et au final, Tybalt finit par partir de ta vie, de chez toi, laissant place à un mal-être dans ton cœur, à un manque. Pour une fois, que tu avais réussi à avoir un ami, à ouvrir ton cœur, celui-ci le brisa.
C'était d'ailleurs assez étonnant venant de toi, d'aimer quelqu'un d'autre. Je n'aurais jamais pensé que toi, le mec qui ne se prend pas pour une merde, qui a un cœur de pierre, puisse tomber amoureux. Et pourtant, oui, tu l'aimais réellement, tu aurais tout donné pour lui. Au début, c'était simplement une attirance physique, mais plus tu passais du temps avec lui, plus il te plaisait mentalement. C'était la seule personne qui passait du temps avec toi et pas parce que c'était son boulot, mais parce qu'il en avait envie. Il te donna tout ce que ta famille ne t'avait jamais donné, c'est-à-dire de l'amour et de l'affection. Tu te souviens des siestes que tu faisais dans ses bras, de ces moments doux et agréables. Comme vos disputes qui au final, se finissaient bien. Mais surtout le fait qu'il te traite comme n'importe quelle personne et non comme un fils à papa venant d'une famille de riche. Le fait qu'il te refusa pas mal de choses, t'aida à grandir, à évoluer, tu lui devais beaucoup de choses en réalité. Mais ça ne s'est pas finit comme tu le souhaitais, regrettant de ne pas lui avoir dit ce que tu ressentais.
Alors pour te consoler, tu étudias énormément, devenant la première chose dans ta liste. Tu ne voulais plus jamais aimer, tu voulais te concentrer sur quelque chose qui ne te décevra jamais, alors quoi de mieux que les études. Étant d'une famille assez bourgeoise, tu ne pouvais pas faire n'importe quel métier. Il fallait un métier digne de la famille dont tu étudias dans l'espoir de reprendre les pas de ton père. Sauf que plus les années avancèrent et plus, ce métier ne te plaisait plus, trop dangereux, trop de responsabilité pour toi. Tu voulais quand même avoir une vie de famille un jour et surtout, tu ne voulais pas reproduire les mêmes erreurs que ton paternel. C'est en regardant un jour par hasard, Departures, que le monde des morts te fascina, fasciné de pouvoir aider les gens à rendre un dernier hommage aux gens qu'ils aiment. Tu savais pourtant au vu du film, de la société au Japon, que tu serais mal vu, que tu allais sûrement en baver. Cependant, tu voulais à tout prix faire ce métier qui pour toi était le métier le plus noble. Tu étais peut-être un trouduc, mais tu as toujours été quelqu'un proche de sa famille. Pour toi, la famille était quelque chose d'important, voire même plus que l'amour, donc il était normal pour toi, de prendre soin d'elle, d'être là pour elle. C'était le métier qui te correspondait totalement et qui t'a permis aussi de former cette coquille, travailler sur tes émotions pour te protéger.
Émotions qui t'avaient énormément fait souffrir dans ta vie, entre la perte de l'homme que tu aimais, de tes parents qui étaient totalement contre le choix de ta reconversion. Tu ne savais plus quoi faire, tu étais totalement au fond du gouffre. Tu restas énormément dans ton coin avant de faire fuck, d'envoyer tout le monde chier, tu en avais marre de subir, c'était ta vie après tout. Il n'avait pas à décider pour toi. Sauf que tu ne t'attendais pas à ce qui allait suivre, tu ne t'attendais pas à perdre la chose la plus importante à tes yeux : ta famille. Te retrouvant seul, limite à la rue, heureusement que tu pouvais compter sur ta mère qui, elle, ne voulait que ton bonheur. Étant d'une famille haut-placée et grâce à ton père, elle connaissait pas mal de monde et donc demanda à un ami très proche, de s'occuper de toi pendant que tu apprenais le métier. Elle voulait te savoir à un endroit où tu ne risquais rien et où tu pouvais t'épanouir et surtout où tu ne serais pas jugé. La personne qui t'hébergea un moment, s'en fichait un peu le métier que tu faisais, tant que tu payais tout ce qui était pour toi et que tu ne lui causais pas de problème, le reste, il n'en avait que faire. Et pourtant, tu n'avais jamais oublié Tybalt, ce n'est pas comme si c'était seulement un garde du corps, il avait été ton premier amour. Tu ressentais toujours des choses pour lui d'ailleurs, mais au fond, tu savais que c'était peine perdue, il était marié après tout, il devait même être papa à l'heure qu'il est. Et pourtant, la vie allait être de ton côté pour une fois, tu allais pourvoir le revoir et peut-être lui exprimer ce que tu ressentais. Mais il se passa des choses avant tes retrouvailles...
Shukumei, ce fameux tsunami qui avait ravagé Tokyo, c'était une affaire que tu avais pas mal suivi à la télé. Tu avais eu du bol, pour une fois, remerciant ta famille d'habiter assez loin de Tokyo. Merci à eux d'avoir privilégié la campagne pour ton éducation, ce jour-là, tu étais chez eux. Tu leur avais rendu une petite visite pour t'expliquer et surtout revoir au moins ta mère, car elle te manquait, elle voulait aussi voir quel homme, tu étais devenue. D'ailleurs la situation ne t'avais pas si touché que ça, après tout tant que ta vie n'était pas en danger, le reste tu t'en fichais, les gens qui n'ont pas eu ta chance, tu n'en avais que faire. Cependant, tu aurais aimé que le tsunami emporte ton père, tu ne le cachas pas d'ailleurs, venant lui lancer des piques de temps en temps ou limite lui dire d'aller en enfer, donc de mourir. Par contre, la chose qui te tracasse à ce moment-là était ton chez toi, qui avait sûrement morfler à cause de la vague. Grâce à ta mère, tu allais rester quelque temps à la campagne, le temps que tout ceci ce calme et que tu retrouves un logement. Comment dire que tu as détesté cette année, que pour une fois, tu ne remercias pas ta mère d'avoir été gentille...
Les jours passent, voire les années et maintenant, tu avais ta petite vie, ton logement, tu étais heureux et épanouis dans ce que tu faisais. Depuis ce jour, tu avais trouvé un mentor, prêt à t'aider, à te former à ton métier. Il était presque comme un père pour toi, le respectant énormément. Il est vrai, que tu n'avais pas non plus un métier facile, que tu étais très mal vu dans la ville, mais à force, tu avais appris à vivre avec. Limite ça t'arrangeait un peu, au moins personne ne pouvait s'attacher à toi et donc, tu ne risquais plus de souffrir. Tu étais seul et tranquille, tu ne voulais rien d'autre. Et puis au vu des événements qui étaient en train de s’installer dans la ville, tu n'avais pas vraiment le temps d'y penser. Une affreuse épidémie toucha le Japon et le mort arrivait par centaines voire plus par jour. Tu avais énormément de travail et le fait de ne pas pouvoir, leur offrir une cérémonie, au fond de toi, te blessa, de voir tous ces enfants morts... Tu étais plus sensible que pour les personnes âgées, car tu avais l'habitude, mais les enfants, c'était quelque chose qui n'arrivait pas souvent alors d'en voir au moins une vingtaine en un jour, limite ça te retournait l'estomac. Et le pire, c'est que tu perdis ta mère dans cette bataille, touchée par le virus, te retrouvant sans aucune famille. Il restait ton père en vie, mais ne voulait plus te voir, limite, tu n'étais plus son fils.
Puis une chasse à l'homme avait eu lieu durant l'hiver 2111-2112 d'ailleurs et cet événement, tu t'en carres l'oignon en vrai, comme d'habitude hein, ce n'est pas comme si tu t'intéressais au monde qui t'entour... Tu avais un avis neutre, qu'ils soient capturés ou non ne changer rien à ta vie, donc toute cette histoire à plus finit par te saouler qu'autre chose. Qu'à chaque fois que ça passait à la télé, soit tu l'éteignais soit tu changeais de chaîne. Il y a quand même quelque chose que tu espérais au fond de toi, à ce sujet, c'est que ça ne t'arrive pas, tu ne voulais pas mourir, tu étais encore bien trop jeune et tu avais encore pas mal d'année pour profiter de cette vie.
D'ailleurs, l'entreprise où tu travaillais, avait reçu un jour, un nouveau mort à préparer pour une crémation, vous allez me dire c'est comme chaque jour, c'était devenu une habitude maintenant, aujourd'hui tu devais préparer et brûler une femme, mais aussi un enfant. Tu avais appris à prendre sur toi et à limite ne plus rien ressentir à part la fierté de leur rendre hommage une dernière fois. Mais ce qui te fit perdre la tête était le nom de famille de ces deux personnes. Ce nom te disait quelque chose, tu cherchas au plus profond de ton crâne avant de repenser à Tybalt. Tu demandas confirmation à ton collègue qu'il s'agissait bien de cette famille-là et il n'y avait pas de doute, il s'agissait de sa femme et de son enfant. Tu ne savais pas trop quoi faire, tu voulais aller voir Tybalt et le réconforter, mais tu te disais qu'il t'avait peut-être oublié. Pendant toute une nuit, tu réfléchis à ce que tu pouvais faire et au final, tu ne fis rien. Tu fis ton travail, voulant rendre hommage pour l'homme que tu aimes. Tu restas distant pendant la cérémonie, regardant de temps en temps Tybalt. Ça te déchirait le cœur de le voir comme ça, tu voulais tellement être là pour lui. Il y a eu quand même un petit échange entre vous, il était certes court, froid et distant. Pourtant, de le revoir, t'avait rendu heureux, de savoir maintenant qu'il était de nouveau disponible. Ah parce que oui clairement, ça ne te faisait rien le fait que sa femme soit morte, ce n'est pas comme si tu la connaissais, pas comme Tybalt. Tu aurais tellement mérité des claques à ce moment-là. Une fois la cérémonie fini, Tybalt quitta de nouveau ta vie.
Ce fameux jour était passé depuis pas mal de temps, n'arrivant pas à l'oublier, tu avais fini par noyer ta peine dans l'alcool et à avoir une vie de débauché. Les gens que tu côtoyais, avec qui tu passais du temps, ne te convenais pas, ils n'étaient pas comme lui. Au final, tu t'ennuyais plus que ça. Il n'y avait qu'un seul endroit où tu te sentais bien, dans ta bulle. Ça peut être bizarre au vu de ton métier, cependant, tu étais calme, à l'aise à ton travail, tu te sentais bien, tu arrivais même à l'oublier. C'était l'endroit qui te rendait heureux. Au moins les morts ne pouvaient pas te décevoir, tu pouvais leur parler de tout et ne pas être jugé, après tout un mort ça ne parle pas. Contrairement à ta famille, tu n'affichais pas que tu avais beaucoup d'argent, tu préférais faire profil bas. Tu ne voulais pas vraiment que l'on te reconnaisse. Tu vivais ta petite vie tranquille, entre boulot, métro, dodo. Quand tu ne passais pas le plus clair de ton temps au travail, c'était dans ton petit appartement à lire divers bouquins, à regarder les vêtements traditionnels que tu adorais tant. Ta vie était devenue banale, mais tu l'aimais ainsi et pourtant un jour, une certaine nouvelle arriva dans ta boite aux lettres. Une rencontre que tu attendais tant, mais qui allait bouleverser ta vie pour toujours.
À suivre en RP ~
Encore quand c'est une personne de notre entourage, tu parles bien évidemment d'amis, de personne qu'on l'on connaît, cela allait, mais un inconnu... Après, il ne faut pas non plus mettre cette chose dans le négatif. Tu a eu une très belle preuve, qui montrait que des fois, ça pouvait marcher. Après tout, il y a des gens qui ont appris à se connaître, à tisser des liens, et même à tomber amoureux. Ce qui a été le cas pour tes parents. Inconnue au début de leur relation et maintenant, c'est limite si l'un ne peut se passer de l'autre, de vraies âmes-sœurs. C'est comme si tout avait été prévu, que le destin voulait que leurs chemins se croisent pour n'en faire plus qu'un. Et c'est ainsi que tu arrivas, que tu quittas le ventre de ta mère pour dire bonjour à cette nouvelle vie qui commença pour toi.
D'ailleurs, comme tu étais leur seul enfant, on peut dire que tu as été extrêmement gâté, voire même un peu trop... Tu étais littéralement pourri jusqu'à la moelle. Ils t'offraient tout ce que tu voulais, sans regarder bien sûr le prix. Pourquoi regarder quand on avait largement les moyens. Bien évidemment, au vu du statut de ton père, tu ne pouvais pas te permettre d'être un enfant avec aucune éducation, tu lui ferais tellement honte. C'est pour ça que ton paternel prit le meilleur professeur pour t'enseigner tout ce que tu devais savoir au niveau de l'éducation, mais aussi tout ce que tu pouvais apprendre dans une école. Il voulait ce qu'il y a de mieux pour toi. Il ne voulait en aucun cas, que tu côtoies ce genre d'établissement, remplis d'enfants sauvages et mal éduqués.
Il voulait tellement que tu sois le fils parfait, qu'il ne pensa jamais à ton bonheur. Car oui étudier à la maison, c'était cool pour toi. Tu ne voyais personne à part ton professeur. Tu aurais aimé jouer avec d'autres enfants à la pause et te faire des amis. Mais que veux-tu, tu n'es qu'un enfant qui n'avait pas son mot à dire. C'est en partie à cause de ça, que tu avais du mal à te faire des amis, à être sociable. Tu as toujours été dans ton coin, même à t'inventer des copains imaginaires. Et le pire dans tout ça, c'est que tu ne passais aucun moment avec ton père, il était toujours pris par son travail. À chaque fois que tu essayais de lui demander de jouer avec toi, tu étais arrêté par une main en mode, "je n'ai pas le temps" ou un "tu ne vois pas que je suis au téléphone". Il n'en avait que faire de toi, son boulot passait avant la famille.
Passons à la période de ta vie qui est pour moi, la partie la plus intéressante. Puisque tu rencontras une certaine personne. C'était un homme que ton père avait engagé pour ta sécurité. Étant un homme haut placé dans la société, il se devait de te protéger, alors quoi de mieux qu'un garde du corps. Un beau mâle musclé, enfin, il avait tout pour plaire, pour te plaire. C'est d'ailleurs un peu grâce à lui que tu avais découvert ta sexualité. Et comme tu as toujours eu l'habitude d'avoir tout ce que tu voulais, tu le voulais à tout prix, peu importe s'il était marié. Tu as toujours pensé qu'à toi, pourquoi ça changerait, surtout à cette période de ta vie, où généralement les enfants sont ultra chiant. Donc comme tu le voulais, tu faisais tout pour essayer de le faire craquer, parce que tu avais déjà remarqué que celui-ci te matait de temps en temps, posant son regard sur toi, sur ton corps parfait. En même temps, quand, tu profitais du onsen que tu avais à la maison, tu y allais totalement nu. Tu cherchais vraiment la petite bête ! Mais le pire, je pense que c'était lorsqu'il te raccompagna chez toi. Tu n'arrêtais pas de le regarder dans le rétroviseur. Venant même de temps en temps te mordre les lèvres, montrer un bout de ta peau, limite même commencer à te toucher. Et pourtant, Tybalt ne craqua pas une seule fois, même lorsqu'il t'ouvrit la porte une fois arrivés à destination et qu'il te vit totalement nu. Il claqua la porte t'ordonnant de te rhabiller avant de rentrer chez lui. C'était encore une défaite pour toi, défaite qui s'ajouta à toutes tes tentatives. Et au final, Tybalt finit par partir de ta vie, de chez toi, laissant place à un mal-être dans ton cœur, à un manque. Pour une fois, que tu avais réussi à avoir un ami, à ouvrir ton cœur, celui-ci le brisa.
C'était d'ailleurs assez étonnant venant de toi, d'aimer quelqu'un d'autre. Je n'aurais jamais pensé que toi, le mec qui ne se prend pas pour une merde, qui a un cœur de pierre, puisse tomber amoureux. Et pourtant, oui, tu l'aimais réellement, tu aurais tout donné pour lui. Au début, c'était simplement une attirance physique, mais plus tu passais du temps avec lui, plus il te plaisait mentalement. C'était la seule personne qui passait du temps avec toi et pas parce que c'était son boulot, mais parce qu'il en avait envie. Il te donna tout ce que ta famille ne t'avait jamais donné, c'est-à-dire de l'amour et de l'affection. Tu te souviens des siestes que tu faisais dans ses bras, de ces moments doux et agréables. Comme vos disputes qui au final, se finissaient bien. Mais surtout le fait qu'il te traite comme n'importe quelle personne et non comme un fils à papa venant d'une famille de riche. Le fait qu'il te refusa pas mal de choses, t'aida à grandir, à évoluer, tu lui devais beaucoup de choses en réalité. Mais ça ne s'est pas finit comme tu le souhaitais, regrettant de ne pas lui avoir dit ce que tu ressentais.
Alors pour te consoler, tu étudias énormément, devenant la première chose dans ta liste. Tu ne voulais plus jamais aimer, tu voulais te concentrer sur quelque chose qui ne te décevra jamais, alors quoi de mieux que les études. Étant d'une famille assez bourgeoise, tu ne pouvais pas faire n'importe quel métier. Il fallait un métier digne de la famille dont tu étudias dans l'espoir de reprendre les pas de ton père. Sauf que plus les années avancèrent et plus, ce métier ne te plaisait plus, trop dangereux, trop de responsabilité pour toi. Tu voulais quand même avoir une vie de famille un jour et surtout, tu ne voulais pas reproduire les mêmes erreurs que ton paternel. C'est en regardant un jour par hasard, Departures, que le monde des morts te fascina, fasciné de pouvoir aider les gens à rendre un dernier hommage aux gens qu'ils aiment. Tu savais pourtant au vu du film, de la société au Japon, que tu serais mal vu, que tu allais sûrement en baver. Cependant, tu voulais à tout prix faire ce métier qui pour toi était le métier le plus noble. Tu étais peut-être un trouduc, mais tu as toujours été quelqu'un proche de sa famille. Pour toi, la famille était quelque chose d'important, voire même plus que l'amour, donc il était normal pour toi, de prendre soin d'elle, d'être là pour elle. C'était le métier qui te correspondait totalement et qui t'a permis aussi de former cette coquille, travailler sur tes émotions pour te protéger.
Émotions qui t'avaient énormément fait souffrir dans ta vie, entre la perte de l'homme que tu aimais, de tes parents qui étaient totalement contre le choix de ta reconversion. Tu ne savais plus quoi faire, tu étais totalement au fond du gouffre. Tu restas énormément dans ton coin avant de faire fuck, d'envoyer tout le monde chier, tu en avais marre de subir, c'était ta vie après tout. Il n'avait pas à décider pour toi. Sauf que tu ne t'attendais pas à ce qui allait suivre, tu ne t'attendais pas à perdre la chose la plus importante à tes yeux : ta famille. Te retrouvant seul, limite à la rue, heureusement que tu pouvais compter sur ta mère qui, elle, ne voulait que ton bonheur. Étant d'une famille haut-placée et grâce à ton père, elle connaissait pas mal de monde et donc demanda à un ami très proche, de s'occuper de toi pendant que tu apprenais le métier. Elle voulait te savoir à un endroit où tu ne risquais rien et où tu pouvais t'épanouir et surtout où tu ne serais pas jugé. La personne qui t'hébergea un moment, s'en fichait un peu le métier que tu faisais, tant que tu payais tout ce qui était pour toi et que tu ne lui causais pas de problème, le reste, il n'en avait que faire. Et pourtant, tu n'avais jamais oublié Tybalt, ce n'est pas comme si c'était seulement un garde du corps, il avait été ton premier amour. Tu ressentais toujours des choses pour lui d'ailleurs, mais au fond, tu savais que c'était peine perdue, il était marié après tout, il devait même être papa à l'heure qu'il est. Et pourtant, la vie allait être de ton côté pour une fois, tu allais pourvoir le revoir et peut-être lui exprimer ce que tu ressentais. Mais il se passa des choses avant tes retrouvailles...
Shukumei, ce fameux tsunami qui avait ravagé Tokyo, c'était une affaire que tu avais pas mal suivi à la télé. Tu avais eu du bol, pour une fois, remerciant ta famille d'habiter assez loin de Tokyo. Merci à eux d'avoir privilégié la campagne pour ton éducation, ce jour-là, tu étais chez eux. Tu leur avais rendu une petite visite pour t'expliquer et surtout revoir au moins ta mère, car elle te manquait, elle voulait aussi voir quel homme, tu étais devenue. D'ailleurs la situation ne t'avais pas si touché que ça, après tout tant que ta vie n'était pas en danger, le reste tu t'en fichais, les gens qui n'ont pas eu ta chance, tu n'en avais que faire. Cependant, tu aurais aimé que le tsunami emporte ton père, tu ne le cachas pas d'ailleurs, venant lui lancer des piques de temps en temps ou limite lui dire d'aller en enfer, donc de mourir. Par contre, la chose qui te tracasse à ce moment-là était ton chez toi, qui avait sûrement morfler à cause de la vague. Grâce à ta mère, tu allais rester quelque temps à la campagne, le temps que tout ceci ce calme et que tu retrouves un logement. Comment dire que tu as détesté cette année, que pour une fois, tu ne remercias pas ta mère d'avoir été gentille...
Les jours passent, voire les années et maintenant, tu avais ta petite vie, ton logement, tu étais heureux et épanouis dans ce que tu faisais. Depuis ce jour, tu avais trouvé un mentor, prêt à t'aider, à te former à ton métier. Il était presque comme un père pour toi, le respectant énormément. Il est vrai, que tu n'avais pas non plus un métier facile, que tu étais très mal vu dans la ville, mais à force, tu avais appris à vivre avec. Limite ça t'arrangeait un peu, au moins personne ne pouvait s'attacher à toi et donc, tu ne risquais plus de souffrir. Tu étais seul et tranquille, tu ne voulais rien d'autre. Et puis au vu des événements qui étaient en train de s’installer dans la ville, tu n'avais pas vraiment le temps d'y penser. Une affreuse épidémie toucha le Japon et le mort arrivait par centaines voire plus par jour. Tu avais énormément de travail et le fait de ne pas pouvoir, leur offrir une cérémonie, au fond de toi, te blessa, de voir tous ces enfants morts... Tu étais plus sensible que pour les personnes âgées, car tu avais l'habitude, mais les enfants, c'était quelque chose qui n'arrivait pas souvent alors d'en voir au moins une vingtaine en un jour, limite ça te retournait l'estomac. Et le pire, c'est que tu perdis ta mère dans cette bataille, touchée par le virus, te retrouvant sans aucune famille. Il restait ton père en vie, mais ne voulait plus te voir, limite, tu n'étais plus son fils.
Puis une chasse à l'homme avait eu lieu durant l'hiver 2111-2112 d'ailleurs et cet événement, tu t'en carres l'oignon en vrai, comme d'habitude hein, ce n'est pas comme si tu t'intéressais au monde qui t'entour... Tu avais un avis neutre, qu'ils soient capturés ou non ne changer rien à ta vie, donc toute cette histoire à plus finit par te saouler qu'autre chose. Qu'à chaque fois que ça passait à la télé, soit tu l'éteignais soit tu changeais de chaîne. Il y a quand même quelque chose que tu espérais au fond de toi, à ce sujet, c'est que ça ne t'arrive pas, tu ne voulais pas mourir, tu étais encore bien trop jeune et tu avais encore pas mal d'année pour profiter de cette vie.
D'ailleurs, l'entreprise où tu travaillais, avait reçu un jour, un nouveau mort à préparer pour une crémation, vous allez me dire c'est comme chaque jour, c'était devenu une habitude maintenant, aujourd'hui tu devais préparer et brûler une femme, mais aussi un enfant. Tu avais appris à prendre sur toi et à limite ne plus rien ressentir à part la fierté de leur rendre hommage une dernière fois. Mais ce qui te fit perdre la tête était le nom de famille de ces deux personnes. Ce nom te disait quelque chose, tu cherchas au plus profond de ton crâne avant de repenser à Tybalt. Tu demandas confirmation à ton collègue qu'il s'agissait bien de cette famille-là et il n'y avait pas de doute, il s'agissait de sa femme et de son enfant. Tu ne savais pas trop quoi faire, tu voulais aller voir Tybalt et le réconforter, mais tu te disais qu'il t'avait peut-être oublié. Pendant toute une nuit, tu réfléchis à ce que tu pouvais faire et au final, tu ne fis rien. Tu fis ton travail, voulant rendre hommage pour l'homme que tu aimes. Tu restas distant pendant la cérémonie, regardant de temps en temps Tybalt. Ça te déchirait le cœur de le voir comme ça, tu voulais tellement être là pour lui. Il y a eu quand même un petit échange entre vous, il était certes court, froid et distant. Pourtant, de le revoir, t'avait rendu heureux, de savoir maintenant qu'il était de nouveau disponible. Ah parce que oui clairement, ça ne te faisait rien le fait que sa femme soit morte, ce n'est pas comme si tu la connaissais, pas comme Tybalt. Tu aurais tellement mérité des claques à ce moment-là. Une fois la cérémonie fini, Tybalt quitta de nouveau ta vie.
Ce fameux jour était passé depuis pas mal de temps, n'arrivant pas à l'oublier, tu avais fini par noyer ta peine dans l'alcool et à avoir une vie de débauché. Les gens que tu côtoyais, avec qui tu passais du temps, ne te convenais pas, ils n'étaient pas comme lui. Au final, tu t'ennuyais plus que ça. Il n'y avait qu'un seul endroit où tu te sentais bien, dans ta bulle. Ça peut être bizarre au vu de ton métier, cependant, tu étais calme, à l'aise à ton travail, tu te sentais bien, tu arrivais même à l'oublier. C'était l'endroit qui te rendait heureux. Au moins les morts ne pouvaient pas te décevoir, tu pouvais leur parler de tout et ne pas être jugé, après tout un mort ça ne parle pas. Contrairement à ta famille, tu n'affichais pas que tu avais beaucoup d'argent, tu préférais faire profil bas. Tu ne voulais pas vraiment que l'on te reconnaisse. Tu vivais ta petite vie tranquille, entre boulot, métro, dodo. Quand tu ne passais pas le plus clair de ton temps au travail, c'était dans ton petit appartement à lire divers bouquins, à regarder les vêtements traditionnels que tu adorais tant. Ta vie était devenue banale, mais tu l'aimais ainsi et pourtant un jour, une certaine nouvelle arriva dans ta boite aux lettres. Une rencontre que tu attendais tant, mais qui allait bouleverser ta vie pour toujours.
À suivre en RP ~
Caractère
Cultivé : Vu ton statut, ton rang, il est normal pour toi, d'avoir reçu une très bonne éducation. Tu as une très bonne culture que ce soit au niveau des livres, que des peintures, par exemple. On t'avait tellement bercé dans l'art, depuis que tu pouvais lire et écrire en vrai. Tes parents t'ont même forcé à apprendre à jouer d'un instrument. Il voulait que tu sois parfait, étant leur seul enfant. Sauf qu'à vouloir te mettre sur un piédestal, tu avais fini par choper un peu la grosse tête et d'autre chose que nous allons voir par la suite !
Habile : Maintenant parlons de tes mains qui sont d'ailleurs d'une valeur inestimable, tu en prends soin qui plus est ! Après tout c'était ton outil de travail. Tu savais faire beaucoup de choses, que ce soit jouer du piano, le fameux instrument imposé par les parents, mais aussi maquiller et manipuler les membres de certaines personnes. Si un jour il arrivait quoi que ce soit à ces merveilles, je pense que ta vie serait foutue littéralement.
Organisé : D'ailleurs ta vie est organisée d'une main de fer. Chaque minute, chaque heure est étudiée pour que tu puisses faire le plus de choses possibles, tu avais une sainte horreur de ne rien faire de ton temps. C'est pour ça que chaque soir, dans ton lit, tu prépares ton petit planning du lendemain et quand tu es motivé et pas trop fatigué, tu fais même celui de la semaine. C'est limite presque un tic, tic que tu n'arrives pas à effacer.
Protecteur : Même si au fond tu es un gros connard, on ne va pas se mentir, quand tu tiens à quelque chose, à une personne, tu fais tout pour la protéger, quitte à risquer ta vie. Tu prends soin de la personne, tu es au petit soin... En même temps, avec tout ce que tu lui fais subir, vaut mieux en prendre soin... Il ne faut pas lui en vouloir, il est très maladroit, il a peut-être l'air d'être sûr de lui, mais il lui arrive de ne pas savoir comment se comporter dans les situations inhabituelles.
Apathie : Tu es incapable d'être ému, d'avoir de la compassion, de ressentir de la pitié ou autre. On peut le dire tu es un pisse froid ! Et pourtant tu ne l'as pas toujours été. Tu es comme tout le monde après tout, un être humain, avec des sentiments, alors qu'est-ce qui a fait que maintenant, à l'heure d'aujourd'hui, tu es indifférent au monde qui t'entoure ?
Brutal : Quand on te voit, surtout lorsque tu travailles, car ça doit être le seul endroit où tu es calme, silencieux, on est loin de se douter qu'au fond de toi se cache un être brutal, un vrai animal. Et plus on te cherche et plus tu perds le contrôle et sans t'en rendre compte, tu peux étrangler la personne qui se trouve en face de toi, peu importe si tu es un homme ou une femme. Et au lit... Eh bien, au vu de l'état du corps de Tybalt, des marques, cicatrices, je pense que c'est un bon exemple de ce qu'il peut faire.
Jaloux : De base tu es loin de l'être, vraiment, au fond tu es tellement en mode rien à foutre. Et pourtant au sujet d'une certaine personne, tu l'es énormément. Pourquoi ? Et bien parce qu'il est à toi, il l'a toujours été, dès que ton regard s'est posé sur lui, c'est lui que tu voulais. Alors, de savoir qu'on aurait pu le toucher, le draguer, ça te met en rogne facilement... Et pour ce qui est de la suite... Ahem, voir le défaut juste au-dessus pour comprendre.
Possessif : Je pense que c'est le pire défaut que tu puisses avoir... Comme ta possessivité est d'une violence... A tel point que ça peut faire flipper, puisque tu es le genre de personne à demander toutes les cinq minutes par message ou même en face à face des nouvelles, tu n'as aucune honte d'afficher cet énorme défaut, ce que la personne fait, où elle va, avec qui elle est. La confiance ? Tu ne connais pas, tu n'as jamais fait confiance à qui que ce soit pour l'instant et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver.
Sadique : Et pour finir, tu prends un plaisir limite malsain à faire subir certaines choses à certaines personnes. De voir les gens souffrir, limite ça t'excite et si jamais celle-ci te supplie, c'est encore mieux, c'est la cerise sur le gâteau, la route vers le 7eme ciel. Par contre, je vous vois venir avec son travail et tout, il est très respectueux envers les morts et donc lorsqu'il doit disloquer les membres pour habiller la personne, il ne bande point ! Surtout qu'étant morts, ils ne réagissent pas. Il ne faut pas croire, ce n'est pas parce que tu es méchant que forcément, tu as zéro respect, au contraire, tu respectes beaucoup de choses, juste, que tu ne le montres pas forcément.
Habile : Maintenant parlons de tes mains qui sont d'ailleurs d'une valeur inestimable, tu en prends soin qui plus est ! Après tout c'était ton outil de travail. Tu savais faire beaucoup de choses, que ce soit jouer du piano, le fameux instrument imposé par les parents, mais aussi maquiller et manipuler les membres de certaines personnes. Si un jour il arrivait quoi que ce soit à ces merveilles, je pense que ta vie serait foutue littéralement.
Organisé : D'ailleurs ta vie est organisée d'une main de fer. Chaque minute, chaque heure est étudiée pour que tu puisses faire le plus de choses possibles, tu avais une sainte horreur de ne rien faire de ton temps. C'est pour ça que chaque soir, dans ton lit, tu prépares ton petit planning du lendemain et quand tu es motivé et pas trop fatigué, tu fais même celui de la semaine. C'est limite presque un tic, tic que tu n'arrives pas à effacer.
Protecteur : Même si au fond tu es un gros connard, on ne va pas se mentir, quand tu tiens à quelque chose, à une personne, tu fais tout pour la protéger, quitte à risquer ta vie. Tu prends soin de la personne, tu es au petit soin... En même temps, avec tout ce que tu lui fais subir, vaut mieux en prendre soin... Il ne faut pas lui en vouloir, il est très maladroit, il a peut-être l'air d'être sûr de lui, mais il lui arrive de ne pas savoir comment se comporter dans les situations inhabituelles.
Apathie : Tu es incapable d'être ému, d'avoir de la compassion, de ressentir de la pitié ou autre. On peut le dire tu es un pisse froid ! Et pourtant tu ne l'as pas toujours été. Tu es comme tout le monde après tout, un être humain, avec des sentiments, alors qu'est-ce qui a fait que maintenant, à l'heure d'aujourd'hui, tu es indifférent au monde qui t'entoure ?
Brutal : Quand on te voit, surtout lorsque tu travailles, car ça doit être le seul endroit où tu es calme, silencieux, on est loin de se douter qu'au fond de toi se cache un être brutal, un vrai animal. Et plus on te cherche et plus tu perds le contrôle et sans t'en rendre compte, tu peux étrangler la personne qui se trouve en face de toi, peu importe si tu es un homme ou une femme. Et au lit... Eh bien, au vu de l'état du corps de Tybalt, des marques, cicatrices, je pense que c'est un bon exemple de ce qu'il peut faire.
Jaloux : De base tu es loin de l'être, vraiment, au fond tu es tellement en mode rien à foutre. Et pourtant au sujet d'une certaine personne, tu l'es énormément. Pourquoi ? Et bien parce qu'il est à toi, il l'a toujours été, dès que ton regard s'est posé sur lui, c'est lui que tu voulais. Alors, de savoir qu'on aurait pu le toucher, le draguer, ça te met en rogne facilement... Et pour ce qui est de la suite... Ahem, voir le défaut juste au-dessus pour comprendre.
Possessif : Je pense que c'est le pire défaut que tu puisses avoir... Comme ta possessivité est d'une violence... A tel point que ça peut faire flipper, puisque tu es le genre de personne à demander toutes les cinq minutes par message ou même en face à face des nouvelles, tu n'as aucune honte d'afficher cet énorme défaut, ce que la personne fait, où elle va, avec qui elle est. La confiance ? Tu ne connais pas, tu n'as jamais fait confiance à qui que ce soit pour l'instant et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver.
Sadique : Et pour finir, tu prends un plaisir limite malsain à faire subir certaines choses à certaines personnes. De voir les gens souffrir, limite ça t'excite et si jamais celle-ci te supplie, c'est encore mieux, c'est la cerise sur le gâteau, la route vers le 7eme ciel. Par contre, je vous vois venir avec son travail et tout, il est très respectueux envers les morts et donc lorsqu'il doit disloquer les membres pour habiller la personne, il ne bande point ! Surtout qu'étant morts, ils ne réagissent pas. Il ne faut pas croire, ce n'est pas parce que tu es méchant que forcément, tu as zéro respect, au contraire, tu respectes beaucoup de choses, juste, que tu ne le montres pas forcément.
Physique
On peut dire que la nature a été généreuse avec toi, tu te considères même comme un être parfait, un dieu avec aucune imperfection. Alors que tu es loin de l'être, le physique ne fait pas tout mon cher ! Tu es certes, encore jeune, n'ayant que 25 ans, mais il arrivera un jour, où les rides vont apparaître et enlaidir ton si beau visage. Quant à ta taille, on peut dire que tu es dans bien plus que dans la moyenne, vue tes origines, tu ne peux en aucun cas mesurer deux mètres et pourtant, la nature a été généreuse avec toi, mesurant 1m90, c'était le chiffre parfait, un chiffre rond qui plus est ! Niveau masse graisseuse, pas un pète de grammes, que du muscle ! Comme je l'ai dit, tu prends énormément soin de ton physique ! Tu ne passes pas une seule journée sans avoir fait au moins deux heures de sport. Que, lorsque, tu te lèves le matin, tu as comme manie de faire tes pompes, destiné à la fois pour te réveiller, mais aussi pour te booster pour la journée, c'était limite une drogue.
Parlons de ton joli minois ! L'arme fatale qui en fait craquer plus d'un car oui tout se passe à cet endroit. Tu possèdes un visage assez fin, lisse tel une peau de bébé. Tu n'avais aucun bouton, aucune cicatrice et voire même aucun grain de beauté. C'est fou ça ! Comment peut-on réussir à naître totalement blanc avec zéro tâches. En vrai je suis sûr que tu ne nous dis pas tout, que tu nous caches quelques petites marques sous du maquillage. Enfin bref, je m'égare, donc, je disais, ton teint est d'une couleur rosé accompagné généralement d'un petit coup de crayon autour de tes yeux, pour accentuer ton regard. Tu avais aussi l'habitude de dessiner tes sourcils pour qu'ils soient parfaits et pas une forêt broussailleuse. Tu n'avais aucune honte à te maquiller, après tout, le temps et les gens avaient évolué. Le monde était plus ouvert d'esprits. L'aspect de ton visage changeait, selon la situation, tu peux être aussi bien souriant que froid. Même si la plupart du temps on a l'impression que tu tires la tronche, il t'arrive de te montrer doux. Et puis, c'est dans ton caractère, on ne peut pas vraiment t'en vouloir, d'avoir ce côté mystérieux, c'est un peu, une protection que tu t'es mis, une sorte de coquille.
Passons au reste, tu possèdes une longue chevelure toute lisse de couleur noire, toujours attacher en chignon, maintenu avec une broche qui se donnait dans ta famille depuis des générations, montrant ton statut. Il était très rare que tu les laisses détacher à part quand tu prenais ta douche. Et lorsque tu sortais, te rendais au travail, tu préférais faire une queue de cheval, ce qu'il y a de plus basique. Tu ne voulais en aucun cas perdre ou salir la broche qui vaut quand même une certaine somme. Tu n'avais jamais coupés tes cheveux et ceux depuis tout petit. C'était une interdiction dans ta famille et je ne blague pas. Que si un jour tu te ramenais avec les cheveux courts, tu étais renié, bizarre venant de la personne qui avait lui même, les cheveux courts. Et ce n'est pas avec ton regard, ton air de chien battu que ça te sauverait. Tu as d'ailleurs cette petite étincelle dans tes yeux, ce regard qui en disait long, tu arrivais à faire passer tes mots, ce que tu ressentais, seulement avec ça. Tu n'avais pas besoin de parler, tes yeux faisaient le travail à ta place.
Et pour finir, le reste du corps, ça sera du vite fait cette fois-ci, car le plus important a été dit. Tu as des épaules larges, carrées assez pour porter le nom de ta famille et leur histoire, non c'est surtout grâce aux sports que tu pratiques. Tes mains sont fines, douces, merci les crèmes. Non, mais il y a des fois où je me demande si tu n'es pas une femme au fond de toi, à prendre soin de ta peau. Ta démarche quant à elle, est simple, vive. Tu n'es pas du genre à marcher majestueusement, tu n'es pas le genre de personne à te la pété, enfin si, mais plus discrètement. Tu n'as jamais vraiment compris ces gens qui affichaient leur fortune, limite te le claquer en pleine poire. On t'a toujours appris à faire profil bas pour éviter tout problème.
Parlons de ton joli minois ! L'arme fatale qui en fait craquer plus d'un car oui tout se passe à cet endroit. Tu possèdes un visage assez fin, lisse tel une peau de bébé. Tu n'avais aucun bouton, aucune cicatrice et voire même aucun grain de beauté. C'est fou ça ! Comment peut-on réussir à naître totalement blanc avec zéro tâches. En vrai je suis sûr que tu ne nous dis pas tout, que tu nous caches quelques petites marques sous du maquillage. Enfin bref, je m'égare, donc, je disais, ton teint est d'une couleur rosé accompagné généralement d'un petit coup de crayon autour de tes yeux, pour accentuer ton regard. Tu avais aussi l'habitude de dessiner tes sourcils pour qu'ils soient parfaits et pas une forêt broussailleuse. Tu n'avais aucune honte à te maquiller, après tout, le temps et les gens avaient évolué. Le monde était plus ouvert d'esprits. L'aspect de ton visage changeait, selon la situation, tu peux être aussi bien souriant que froid. Même si la plupart du temps on a l'impression que tu tires la tronche, il t'arrive de te montrer doux. Et puis, c'est dans ton caractère, on ne peut pas vraiment t'en vouloir, d'avoir ce côté mystérieux, c'est un peu, une protection que tu t'es mis, une sorte de coquille.
Passons au reste, tu possèdes une longue chevelure toute lisse de couleur noire, toujours attacher en chignon, maintenu avec une broche qui se donnait dans ta famille depuis des générations, montrant ton statut. Il était très rare que tu les laisses détacher à part quand tu prenais ta douche. Et lorsque tu sortais, te rendais au travail, tu préférais faire une queue de cheval, ce qu'il y a de plus basique. Tu ne voulais en aucun cas perdre ou salir la broche qui vaut quand même une certaine somme. Tu n'avais jamais coupés tes cheveux et ceux depuis tout petit. C'était une interdiction dans ta famille et je ne blague pas. Que si un jour tu te ramenais avec les cheveux courts, tu étais renié, bizarre venant de la personne qui avait lui même, les cheveux courts. Et ce n'est pas avec ton regard, ton air de chien battu que ça te sauverait. Tu as d'ailleurs cette petite étincelle dans tes yeux, ce regard qui en disait long, tu arrivais à faire passer tes mots, ce que tu ressentais, seulement avec ça. Tu n'avais pas besoin de parler, tes yeux faisaient le travail à ta place.
Et pour finir, le reste du corps, ça sera du vite fait cette fois-ci, car le plus important a été dit. Tu as des épaules larges, carrées assez pour porter le nom de ta famille et leur histoire, non c'est surtout grâce aux sports que tu pratiques. Tes mains sont fines, douces, merci les crèmes. Non, mais il y a des fois où je me demande si tu n'es pas une femme au fond de toi, à prendre soin de ta peau. Ta démarche quant à elle, est simple, vive. Tu n'es pas du genre à marcher majestueusement, tu n'es pas le genre de personne à te la pété, enfin si, mais plus discrètement. Tu n'as jamais vraiment compris ces gens qui affichaient leur fortune, limite te le claquer en pleine poire. On t'a toujours appris à faire profil bas pour éviter tout problème.