Akemi Hisahide
Je n'aime pas les citations.
Informations générales
Nom :Hisahide
Prénom.s :Akemi
Âge :27 ans née le 06/12/2084
Genre :Femme
Origines : Japonaise
Activité :Adjudant au sein de la troisième division de lutte contre le crime organisé.
Sexualité :Demisexuelle
Avatar :Mikasa Ackerman - Shingeki No Kiyojin.
Réglement : - bah tu vois
- Ollie
CheminOn m'a implicitement forcé à revenir.
Autre :/
Prénom.s :Akemi
Âge :27 ans née le 06/12/2084
Genre :Femme
Origines : Japonaise
Activité :Adjudant au sein de la troisième division de lutte contre le crime organisé.
Sexualité :Demisexuelle
Avatar :Mikasa Ackerman - Shingeki No Kiyojin.
Réglement : - bah tu vois

CheminOn m'a implicitement forcé à revenir.
Autre :/
Histoire
Hisahide Akemi, vingt sept ans, cent soixante dix centimètres, soixante huit kilos, sait compter deux par deux et lacer ses chaussures. Elle est née dans la capitale dans une famille assez aisée et n’en est jamais vraiment sorti. Son père est un haut fonctionnaire de police et sa mère est dans les affaires. Peu présents au domicile familiale elle a majoritairement été éduquée par des nourrices avant que la gouvernante ne prenne le relai. Ce mode de vie l’a poussée à devenir débrouillarde assez vite mais également, n’ayant pas de parents à qui partager ses joies et ses peines, à tout garder pour elle.
A l’école elle était un peu teigneuse et se bagarrait parfois avec les garçons ou jouait au ballon avec eux, les filles ne l’intéressaient pas tant et elle n’appréciait d’ailleurs pas leur compagnie. Au collège et au lycée cependant elle n’eut pas tant le choix puisque sa mère décida de l’inscrire dans des écoles pour filles, choix auquel elle se conforma sans faire de vague il faut le dire, ce n’est pas son genre et sa mère savait sûrement très bien ce qu’elle faisait. Si elle mit du temps à se faire des amies elle y parvint tout de même et passa même une bonne partie de sa scolarité dans le même groupe d’amis.
Après l’obtention de son certificat, elle intégra l’école militaire où elle se découvrit une passion débordante pour le fait de se dépenser. Étant une fille dans un milieu grandement masculin, elle dû se faire sa place et conserver son petit bout d’espace face à quelques moqueries et répliques déplacées qu’un coup de tête magistral eu tôt fait d’en faire taire l’auteur. Si ses résultats théoriques restaient dans la moyenne, ses résultats physiques parvinrent à la maintenir dans le haut du panier, ce qui lui donnerait à terme un choix.
Alors qu’elle intégrait le quartier général de Police de la capitale en tant que recrue, plusieurs de ses amies, presque coup sur coup recevaient la fameuse lettre. Certaines furieuses, d’autre enjouée. Elle ne savait pas trop comment réagir de son côté ni même quand cela allait arriver. Aussi décida t’elle simplement de ne pas y penser et d’aviser lorsque le moment serait venu de se conformer aux voeux de l’incontestable. Mais dans l’ensemble, tout ce manège la laissait de marbre.
Une fois pleinement engagée, elle s’orienta d’abord vers la division chargée des enquêtes criminelle, cependant il fut bien vite notifié que son profil ne correspondait pas au besoin de la branche et ce fut à ce moment qu’elle fut transféré au sein de la branche de lutte contre le crime organisé. Si elle chercha d’abord, elle trouva bien vite son compte dans l'adrénaline que procurent, les descentes ou encore les arrestations groupées, aussi rejoignit elle la troisième division, plus communément appelée anti-gang. Démanteler des réseaux était une activité dangereuse et chronophage, il lui arrive souvent de ne pas compter ses heures, mais cela lui plaît tant qu’elle n’oserait jamais s’en plaindre.
N'étant ni pour l'incontestable, ni contre lui elle se contenta simplement de suivre les mouvements des incontrôlables sur les réseaux sociaux lorsque celui-ci se déclara sans jamais avoir vraiment d'opinion sur le sujet. Après tout chaque être humain est différent et possède sa propre opinion du système, aussi considérait elle cette révolutions comme légitime sans pour autant affirmer que le contraire ne l'était pas. Ce mouvement cependant ne tarda pas à prendre de l'ampleur au point de se manifester dans les rues de la capitale où les opposant à l'ordinateur tentaient de se faire entendre. Manifestation qui tourna au drame, laissant la jeune femme se demander ce qui pourrait se passer ensuite. Cependant elle n'en était nullement effrayée quand bien même elle dû prendre son poste ce jour là, elle ne fit que son travail. Sans se poser de questions.
Encore une année après, ces mêmes incontrôlables lancèrent le festival d'Ansuburu, Akemi se demanda simplement s'ils n'étaient pas inconscients. Quand bien même ils ne faisaient rien de mal, les événements de l'année passée étaient encore présents dans son esprit. Mais comme toujours, elle ne prit pas parti et laissa les événement se dérouler comme ils le devaient. De toute façon elle n'y avait pas mis les pieds préférant de loin la compagnie d'une fauteuil et de sa tablette sur laquelle elle passait parfois ses soirées à lire ou à jouer à quelques jeux de réflexion. Ce fut sans grande surprise qu'elle apprit quelques mois plus tard que le groupe avait finalement été dissout suite à l’arrestation des leaders du mouvement. Pour le bien de tous, sans doute.
Octobre 2109 une catastrophe naturelle de grande ampleur frappe le pays. Akemi passe ce qui pourrait être ses derniers moments avec sa famille à l'écoute des informations et consignes qui pouvaient être diffusées. Elle fut cependant bien vite amenée à rejoindre les forces de polices sur le terrain pour porter secours aux victimes mais également pour assister aux procédures d'identification des personnes ayant malheureusement perdues la vie. Elle ne vit pas le temps passer car celui ci était consommé par une charge de travail dantesque qui la tenait parfois éveillée plusieurs nuit d'affilée. Et ce bug de l'incontestable, elle n'eut heureusement pas à en subir les conséquences, contrairement a ses parents qui se retrouvèrent mariés à un autre couple. Situation peu enviable certes, mais ses parents lui demandèrent de ne pas s'en préoccuper et que tout finirait par s'arranger. Elle n'en avait de toute façon pas l'intention, elle avait beaucoup de travail.
Si elle eu vent du fameux projet social, ce ne fut qu'à son issue. En effet ses amis en avaient sans doute parlé mais étant toujours célibataire, elle ne jugea pas utile de conserver l'information de ce qui lui semblait-être une simple panne de moniteur. Encore un bug de l'incontestable, sûrement. L'histoire d'épidémie en revanche, ce fut une autre histoire. Encore une fois la police fut plus ou moins mise en contribution pour s'assurer de l'application et du respect des normes sanitaires, encore une fois, du travail et encore du travail. Mais en respectant toujours les gestes barrières et la distanciation sociale, bien évidemment.
Après six mois plutôt calme, ce fut au tour des puces, de faiblir et de s'éteindre pour certaine déclarant leur porteur mort, tout simplement. Incompréhension et panique planaient sur la ville et les forces de l'ordre comme la milice furent débordés de nouveau le temps que tout rentre dans l'ordre et que les puces soient remplacées. Sûrement le gouvernement devrait il tenter d'améliorer son matériel, il y avait eu plus d'accidents en quelques années qu'en plusieurs décennies et cela semblait en laisser beaucoup d'autant plus perplexe. Mais tout allait bien pour la jeune femme. Son père n'était pas vraiment mort au moins. Sauf si mort signifie siroter une bière dans son fauteuil favori.
Finalement tous ces événement prirent fin et aujourd'hui Akemi a pris un peu de galon, récompense de son travail acharné ainsi que de sa fiabilité, de quoi diriger un peloton d’intervention, mais pas trop de responsabilités non plus. Elle a parfois l’impression de déjà être bien trop mise en avant par rapport à ses hommes ou à d’autres collègues et même si ce n’est pas le cas elle le ressent ainsi. Mais elle ne pouvait pas non plus vivre du simple salaire d’un officier de police et dépendre de l’argent de papa et maman a vie. C’est donc ce désir de s’émanciper qui l’a poussée à grimper un peu, mais pas trop et pouvoir voler de ses propres ailes sans inquiéter personne. Sauf qu’avec son métier, elle en inquiète bien du monde. Et c’est souvent qu’on lui demande si elle quittera la police lorsqu’elle aura un mari. Sa réponse ? Vous devrez attendre qu’on ai décidé de son sort pour la connaître.
A l’école elle était un peu teigneuse et se bagarrait parfois avec les garçons ou jouait au ballon avec eux, les filles ne l’intéressaient pas tant et elle n’appréciait d’ailleurs pas leur compagnie. Au collège et au lycée cependant elle n’eut pas tant le choix puisque sa mère décida de l’inscrire dans des écoles pour filles, choix auquel elle se conforma sans faire de vague il faut le dire, ce n’est pas son genre et sa mère savait sûrement très bien ce qu’elle faisait. Si elle mit du temps à se faire des amies elle y parvint tout de même et passa même une bonne partie de sa scolarité dans le même groupe d’amis.
Après l’obtention de son certificat, elle intégra l’école militaire où elle se découvrit une passion débordante pour le fait de se dépenser. Étant une fille dans un milieu grandement masculin, elle dû se faire sa place et conserver son petit bout d’espace face à quelques moqueries et répliques déplacées qu’un coup de tête magistral eu tôt fait d’en faire taire l’auteur. Si ses résultats théoriques restaient dans la moyenne, ses résultats physiques parvinrent à la maintenir dans le haut du panier, ce qui lui donnerait à terme un choix.
Alors qu’elle intégrait le quartier général de Police de la capitale en tant que recrue, plusieurs de ses amies, presque coup sur coup recevaient la fameuse lettre. Certaines furieuses, d’autre enjouée. Elle ne savait pas trop comment réagir de son côté ni même quand cela allait arriver. Aussi décida t’elle simplement de ne pas y penser et d’aviser lorsque le moment serait venu de se conformer aux voeux de l’incontestable. Mais dans l’ensemble, tout ce manège la laissait de marbre.
Une fois pleinement engagée, elle s’orienta d’abord vers la division chargée des enquêtes criminelle, cependant il fut bien vite notifié que son profil ne correspondait pas au besoin de la branche et ce fut à ce moment qu’elle fut transféré au sein de la branche de lutte contre le crime organisé. Si elle chercha d’abord, elle trouva bien vite son compte dans l'adrénaline que procurent, les descentes ou encore les arrestations groupées, aussi rejoignit elle la troisième division, plus communément appelée anti-gang. Démanteler des réseaux était une activité dangereuse et chronophage, il lui arrive souvent de ne pas compter ses heures, mais cela lui plaît tant qu’elle n’oserait jamais s’en plaindre.
N'étant ni pour l'incontestable, ni contre lui elle se contenta simplement de suivre les mouvements des incontrôlables sur les réseaux sociaux lorsque celui-ci se déclara sans jamais avoir vraiment d'opinion sur le sujet. Après tout chaque être humain est différent et possède sa propre opinion du système, aussi considérait elle cette révolutions comme légitime sans pour autant affirmer que le contraire ne l'était pas. Ce mouvement cependant ne tarda pas à prendre de l'ampleur au point de se manifester dans les rues de la capitale où les opposant à l'ordinateur tentaient de se faire entendre. Manifestation qui tourna au drame, laissant la jeune femme se demander ce qui pourrait se passer ensuite. Cependant elle n'en était nullement effrayée quand bien même elle dû prendre son poste ce jour là, elle ne fit que son travail. Sans se poser de questions.
Encore une année après, ces mêmes incontrôlables lancèrent le festival d'Ansuburu, Akemi se demanda simplement s'ils n'étaient pas inconscients. Quand bien même ils ne faisaient rien de mal, les événements de l'année passée étaient encore présents dans son esprit. Mais comme toujours, elle ne prit pas parti et laissa les événement se dérouler comme ils le devaient. De toute façon elle n'y avait pas mis les pieds préférant de loin la compagnie d'une fauteuil et de sa tablette sur laquelle elle passait parfois ses soirées à lire ou à jouer à quelques jeux de réflexion. Ce fut sans grande surprise qu'elle apprit quelques mois plus tard que le groupe avait finalement été dissout suite à l’arrestation des leaders du mouvement. Pour le bien de tous, sans doute.
Octobre 2109 une catastrophe naturelle de grande ampleur frappe le pays. Akemi passe ce qui pourrait être ses derniers moments avec sa famille à l'écoute des informations et consignes qui pouvaient être diffusées. Elle fut cependant bien vite amenée à rejoindre les forces de polices sur le terrain pour porter secours aux victimes mais également pour assister aux procédures d'identification des personnes ayant malheureusement perdues la vie. Elle ne vit pas le temps passer car celui ci était consommé par une charge de travail dantesque qui la tenait parfois éveillée plusieurs nuit d'affilée. Et ce bug de l'incontestable, elle n'eut heureusement pas à en subir les conséquences, contrairement a ses parents qui se retrouvèrent mariés à un autre couple. Situation peu enviable certes, mais ses parents lui demandèrent de ne pas s'en préoccuper et que tout finirait par s'arranger. Elle n'en avait de toute façon pas l'intention, elle avait beaucoup de travail.
Si elle eu vent du fameux projet social, ce ne fut qu'à son issue. En effet ses amis en avaient sans doute parlé mais étant toujours célibataire, elle ne jugea pas utile de conserver l'information de ce qui lui semblait-être une simple panne de moniteur. Encore un bug de l'incontestable, sûrement. L'histoire d'épidémie en revanche, ce fut une autre histoire. Encore une fois la police fut plus ou moins mise en contribution pour s'assurer de l'application et du respect des normes sanitaires, encore une fois, du travail et encore du travail. Mais en respectant toujours les gestes barrières et la distanciation sociale, bien évidemment.
Après six mois plutôt calme, ce fut au tour des puces, de faiblir et de s'éteindre pour certaine déclarant leur porteur mort, tout simplement. Incompréhension et panique planaient sur la ville et les forces de l'ordre comme la milice furent débordés de nouveau le temps que tout rentre dans l'ordre et que les puces soient remplacées. Sûrement le gouvernement devrait il tenter d'améliorer son matériel, il y avait eu plus d'accidents en quelques années qu'en plusieurs décennies et cela semblait en laisser beaucoup d'autant plus perplexe. Mais tout allait bien pour la jeune femme. Son père n'était pas vraiment mort au moins. Sauf si mort signifie siroter une bière dans son fauteuil favori.
Finalement tous ces événement prirent fin et aujourd'hui Akemi a pris un peu de galon, récompense de son travail acharné ainsi que de sa fiabilité, de quoi diriger un peloton d’intervention, mais pas trop de responsabilités non plus. Elle a parfois l’impression de déjà être bien trop mise en avant par rapport à ses hommes ou à d’autres collègues et même si ce n’est pas le cas elle le ressent ainsi. Mais elle ne pouvait pas non plus vivre du simple salaire d’un officier de police et dépendre de l’argent de papa et maman a vie. C’est donc ce désir de s’émanciper qui l’a poussée à grimper un peu, mais pas trop et pouvoir voler de ses propres ailes sans inquiéter personne. Sauf qu’avec son métier, elle en inquiète bien du monde. Et c’est souvent qu’on lui demande si elle quittera la police lorsqu’elle aura un mari. Sa réponse ? Vous devrez attendre qu’on ai décidé de son sort pour la connaître.
Physique
Partant du haut, plutôt haut pour une femme puisque la demoiselle est au mètre soixante-dix, ni plus, ni moins. Ses cheveux coupés courts sont de jais et raides à souhait. Elle est après tout japonaise. Son visage est très joli et légèrement rond, une petite poupée en somme, ses yeux sont en amande et tirent plus sur le gris que le noir. Elle a le nez petit et légèrement remonté, une mignonne petite trompette il va sans dire. Ses lèvres sont élégamment fort bien dessiné et rien qu'à l'oeil, il est fort possible de dire qu'elles sont douces. Sa peau est pâle, peut-être un peu trop, mais tout va bien mémé n'a pas encore essayé de la ranger avec sa porcelaine. Si elle a l'air d'être une poupée, elle illustre également le terme son visage ne laissant jamais paraître plus que nécessaire ce qu'elle peut ressentir. Sauf la colère, la colère la rend vraiment très moche. Et un peu effrayante. Mais surtout moche. Après avoir vu cela on pourrait facilement se dire que tout est du même acabit et que vraiment tout est mignon sous cette face de patate douce. Mais non. Messieurs accrochez vous car la demoiselle pourrait bien ruiner vos rêves de summer body si vous veniez à la croiser sur le sable fin d'une plage bordée d'eau turquoise en effet ses muscles saillants et merveilleusement dessinés, fruits d'un entraînement assidu, vous donnerons sans doute l'envie de remettre en question la fierté éprouvée après vos heures passées à soulever de la fonte. Ce n'est pas tellement femme, mais l'ensemble reste tout de même harmonieux et agréable à regarder pour peu qu'on apprécie les femmes musclées. Sa garde robe est toujours des plus rudimentaire et elle ne porte jamais de bijoux ou accessoires, ne désirant pas se faire remarquer, elle optera toujours pour la sobriété ainsi que la simplicité.
Caractère
Discrète de nature, elle n'a jamais apprécié se mettre ou être mise en avant, préférant de loin rester dans l'ombre, tranquille. Elle n'est pas très bavarde et peu expressive au point d'avoir parfois l'air complètement désintéressée, ce qui n'est pourtant pas le cas, elle peut très bien être intéressée et l'est même souvent, simplement elle préfère se contenter du nécessaire plutôt que de se perdre dans d'interminables conversation qui n'aboutirons à rien. Elle n'a pas beaucoup d'amis, mais elle en a quand même preuve qu'elle n'est pas la marginale que l'on peut apercevoir si l'on ne prend pas quelques minutes pour en apprendre plus. Elle ne sourit pas beaucoup, mais cela lui arrive parfois. Elle sait pleurer aussi, même si comme beaucoup elle préfère éviter. Cependant elle fait très bien savoir quand elle est courroucée, d'abord parce qu'elle devient moche. Et puis ce regard noir, le genre de regard à venir vous hanter dans vos pires cauchemars. Cependant malgré ce recul volontaire, elle n'est pas du genre à se laisser faire où écraser de quelque manière que ce soit, alors méfiez vous car si elle ne parle pas beaucoup, sa capacité à décocher un bourre-pif inattendu est assez impressionnante. Oui un bourre-pif, car elle vous le dira sans doute elle même si vous y venez un jour, la gifle, c'est un truc de fillette. Travailleuse et très organisée, elle vit sa vie de célibataire sans mal, comblant ses temps libres au dojo ou à la bibliothèque. Son travail reste sa priorité et la division dans laquelle elle exerce fait qu'elle ne peut ignorer un appel, aussi se peut-il que parfois elle vous laisse en plan sans rien dire, s'éloignant tout en portant son téléphone à son oreille avant de revenir quelques instant après vous indiquant naturellement que, c'était sa mère en vérité.
Généré avec le formulaire