Mariko Aoki
"À chacun sa normalité"

![]() | Généralités Nom ;; Aoki Prénoms ;; Mariko ge ;; 26 ans, née le 27 Février 2086 Genre ;; Féminin Origines ;; Japonaise Activité ;; Fabricante de peluche Sexualité ;; Bisexuelle Avatar ;; Lulu - Final Fantasy X Règlement ;; Chemin ;; Je suis un petit tournesol et un petit poulpe. Commentaire ;; Je me fatigue moi-même parfois ![]() |
Histoire
Mariko est née le 27 février 2086 par l’intermédiaire d’une mère porteuse. Ses parents sont Shin et Yui Aoki et ils tombèrent tout de suite sous le charme de la petite. Les deux hommes ayant un travail prenant, ils s’arrangèrent malgré tout pour passer beaucoup de temps avec leur fille. Et quand ils ne pouvaient pas s’occuper de Mariko, la petite était confiée aux parents de Yui, qui ne vivent pas bien loin de chez eux. Mais globalement les parents arrivèrent à installer une routine : Yui se chargeait de la petite le matin jusqu’au moment où il devait partir travailler, puis il la confiait à ses parents à lui jusqu’au soir où Shin venait récupérer la petite. Mariko grandit bien et passait beaucoup de temps avec ses parents. Yui avait juste tendance à surprotéger la petite depuis le jour où elle s’est tordu une cheville en chutant dans un escalier.
L’année de sa rentrée à l’école scolaire resta marquante pour Mariko, parce que pour la première fois, cette année-là, elle verra ses parents se déchirer. Mariko, malgré toute sa bonne volonté, possédait des résultats scolaires médiocres, au mieux. Shin, professeur de sciences dans un lycée et papa un peu trop inquiet pour l’avenir de son unique fille, commença à se dire qu’il s’était peut-être montré trop laxiste et commença à durcir le ton. Il blâma Mariko pour chacune de ses erreurs et la fit grandement culpabiliser jusqu’à parfois la faire pleurer, mais jamais il n’usa de violence physique. Et ce ne fut pas du goût de son mari qui prenait systématiquement la défense de leur fille. C’est ainsi que les premiers désaccords apparurent au sein du couple, en dix ans de mariage. Puis, la première dispute du couple éclata, les deux hommes manquant de peu d’en venir aux mains devant une Mariko complètement terrorisée. Dès lors, les disputes devinrent récurrentes au sein du couple, Shin et Yui se disputaient parfois devant Mariko, des fois dans son dos.
Mariko avait dix ans quand elle dut faire face au plus grand choc de sa vie. Après une énième dispute, particulièrement violente, avec Yui, Shin quitta son domicile dans un énorme ras-le-bol. Il ne rentra pas de la journée et passa la nuit chez un proche à lui. Le lendemain, Yui fut emmené en cellule de redressement et confia Mariko à ses parents. La petite fille fut extrêmement choquée dans un premier temps puis, elle prit peur. Elle avait l’impression que son monde s’effondrait et elle se mit à se blâmer, parce qu’elle était persuadée que ses parents ne se disputeraient pas sans elle. Dans sa crise de panique, elle s’était mise à hurler, tout en se grattant frénétiquement le visage et d’autres parties de son corps, parfois jusqu’à sang. Ses grands-parents ne savaient pas quoi faire pour la rassurer, ils ne savaient même pas si leur fils et leur gendre reviendraient, c’est qu’ils étaient fâchés depuis de nombreuses années.
Finalement, Mariko passa trois semaines chez ses grands-parents, avant que ses parents ne viennent la récupérer après leur enfermement. Ils reconnurent à peine leur fille. Amaigrie, mutilée, elle semblait avoir perdu le sourire qu’elle essayait jusque-là de garder au visage, et la moindre pression ou remontrance semblait la faire pleurer voire paniquer dans ses plus mauvais jours. Mariko avait peur que ses parents fussent encore emportés s’ils se disputaient encore. C’est ainsi qu’un cercle vicieux s’installa. Plus le couple se disputait, plus Mariko était tendue et cédait à la panique. Plus Mariko paniquait, plus le couple se disputait, se rejetant mutuellement la faute. Et la gamine passa le reste de sa croissance dans ce cercle vicieux.
Cependant, quelque chose semblait l’apaiser : les peluches. Depuis petite, Mariko adorait les peluches. Et même en grandissant, son adoration ne s'effaça pas. C’est ainsi que vers ses treize ans, elle décida d’apprendre à coudre afin de créer par la suite ses propres peluches. Ses parents l’encouragèrent grandement de cette passion et la soutenaient, l’aidant à s’acheter ses nécessaires de coutures ou tout le tissu dont elle avait besoin.
Vers ses 15 ans, Mariko, toujours en proie à de nombreuses crises de panique très régulièrement, consulta un médecin, sur l’idée de ses parents. Ce dernier, pour l’aider à calmer ses paniques, lui prescrivit des anxiolytiques. Elle en développa une dépendance plus tard.
Elle a 20 ans lorsque Mariko crée sa propre entreprise de fabrication de peluche. Ses parents l’aidèrent à s’acheter un local avec un atelier. Elle travaillait à son rythme mais réussissait à fabriquer des peluches qui plaisent. Quelques mois après, elle décida d’adopter un chien pour se sentir moins seule.
Lors des attentats de 2108, Mariko s’était contentée d’observer de loin les événements. Elle n’avait jamais été contre l’Incontestable. Mais une chose était sûre, elle avait été très choquée par les nouvelles ce matin-là.
Mais plus que tout, Shukumei bouleversa sa vie. Mariko travaillait sur une peluche quand une vague survint et détruit son atelier. Par chance, Mariko fut légèrement blessée, quelques plaies sans gravité obtenues ici et là par des débris. Elle se réveilla à l'hôpital, ne se souvenant plus trop de ce qu’elle faisait là, Mariko fit une crise de panique et peine à être maîtrisée. Heureusement, ses parents lui expliquèrent tout ce qui lui était arrivé. Mariko fut autorisée à sortir après une série d’examens. Ayant perdu ses locaux et l’atelier, dans lequel elle logeait, Mariko retourne chez ses parents après avoir récupéré son chien. Ayant perdu beaucoup de matériaux dans la catastrophe naturelle, Mariko produisit moins de peluches.
Il lui fallut plusieurs mois pour récupérer son magasin et son atelier. Ses parents l’aidèrent à remettre de l’ordre dans les affaires. Cette période fut très éprouvante pour elle, émotionnellement, et elle fit beaucoup de crises de panique.
L’année de ses 25 ans l’a aussi beaucoup marquée. L’épidémie qui toucha le Japon, les nombreux autres problèmes annoncés aux infos l’inquiétèrent. Entre des citoyens annoncés décédés, comme ce fut le cas pour Shin, le recensement des humains et la chasse à l’homme, Mariko ne savait plus où donner de la tête. Elle avait l'impression que les JT apportaient chaque jour un nouveau malheur et finalement, les jours ne se ressemblaient plus tant que ça. Elle s’échina cependant à poursuivre sa vie et sa routine et ne prit pas parti d’un quelconque camp. Cependant, elle savait que ses parents aidaient des gens à se cacher et s’enfuir.
Heureusement pour Mariko, tout ça finit par réellement se tasser et elle peut faire sa petite vie tranquille.
L’année de sa rentrée à l’école scolaire resta marquante pour Mariko, parce que pour la première fois, cette année-là, elle verra ses parents se déchirer. Mariko, malgré toute sa bonne volonté, possédait des résultats scolaires médiocres, au mieux. Shin, professeur de sciences dans un lycée et papa un peu trop inquiet pour l’avenir de son unique fille, commença à se dire qu’il s’était peut-être montré trop laxiste et commença à durcir le ton. Il blâma Mariko pour chacune de ses erreurs et la fit grandement culpabiliser jusqu’à parfois la faire pleurer, mais jamais il n’usa de violence physique. Et ce ne fut pas du goût de son mari qui prenait systématiquement la défense de leur fille. C’est ainsi que les premiers désaccords apparurent au sein du couple, en dix ans de mariage. Puis, la première dispute du couple éclata, les deux hommes manquant de peu d’en venir aux mains devant une Mariko complètement terrorisée. Dès lors, les disputes devinrent récurrentes au sein du couple, Shin et Yui se disputaient parfois devant Mariko, des fois dans son dos.
Mariko avait dix ans quand elle dut faire face au plus grand choc de sa vie. Après une énième dispute, particulièrement violente, avec Yui, Shin quitta son domicile dans un énorme ras-le-bol. Il ne rentra pas de la journée et passa la nuit chez un proche à lui. Le lendemain, Yui fut emmené en cellule de redressement et confia Mariko à ses parents. La petite fille fut extrêmement choquée dans un premier temps puis, elle prit peur. Elle avait l’impression que son monde s’effondrait et elle se mit à se blâmer, parce qu’elle était persuadée que ses parents ne se disputeraient pas sans elle. Dans sa crise de panique, elle s’était mise à hurler, tout en se grattant frénétiquement le visage et d’autres parties de son corps, parfois jusqu’à sang. Ses grands-parents ne savaient pas quoi faire pour la rassurer, ils ne savaient même pas si leur fils et leur gendre reviendraient, c’est qu’ils étaient fâchés depuis de nombreuses années.
Finalement, Mariko passa trois semaines chez ses grands-parents, avant que ses parents ne viennent la récupérer après leur enfermement. Ils reconnurent à peine leur fille. Amaigrie, mutilée, elle semblait avoir perdu le sourire qu’elle essayait jusque-là de garder au visage, et la moindre pression ou remontrance semblait la faire pleurer voire paniquer dans ses plus mauvais jours. Mariko avait peur que ses parents fussent encore emportés s’ils se disputaient encore. C’est ainsi qu’un cercle vicieux s’installa. Plus le couple se disputait, plus Mariko était tendue et cédait à la panique. Plus Mariko paniquait, plus le couple se disputait, se rejetant mutuellement la faute. Et la gamine passa le reste de sa croissance dans ce cercle vicieux.
Cependant, quelque chose semblait l’apaiser : les peluches. Depuis petite, Mariko adorait les peluches. Et même en grandissant, son adoration ne s'effaça pas. C’est ainsi que vers ses treize ans, elle décida d’apprendre à coudre afin de créer par la suite ses propres peluches. Ses parents l’encouragèrent grandement de cette passion et la soutenaient, l’aidant à s’acheter ses nécessaires de coutures ou tout le tissu dont elle avait besoin.
Vers ses 15 ans, Mariko, toujours en proie à de nombreuses crises de panique très régulièrement, consulta un médecin, sur l’idée de ses parents. Ce dernier, pour l’aider à calmer ses paniques, lui prescrivit des anxiolytiques. Elle en développa une dépendance plus tard.
Elle a 20 ans lorsque Mariko crée sa propre entreprise de fabrication de peluche. Ses parents l’aidèrent à s’acheter un local avec un atelier. Elle travaillait à son rythme mais réussissait à fabriquer des peluches qui plaisent. Quelques mois après, elle décida d’adopter un chien pour se sentir moins seule.
Lors des attentats de 2108, Mariko s’était contentée d’observer de loin les événements. Elle n’avait jamais été contre l’Incontestable. Mais une chose était sûre, elle avait été très choquée par les nouvelles ce matin-là.
Mais plus que tout, Shukumei bouleversa sa vie. Mariko travaillait sur une peluche quand une vague survint et détruit son atelier. Par chance, Mariko fut légèrement blessée, quelques plaies sans gravité obtenues ici et là par des débris. Elle se réveilla à l'hôpital, ne se souvenant plus trop de ce qu’elle faisait là, Mariko fit une crise de panique et peine à être maîtrisée. Heureusement, ses parents lui expliquèrent tout ce qui lui était arrivé. Mariko fut autorisée à sortir après une série d’examens. Ayant perdu ses locaux et l’atelier, dans lequel elle logeait, Mariko retourne chez ses parents après avoir récupéré son chien. Ayant perdu beaucoup de matériaux dans la catastrophe naturelle, Mariko produisit moins de peluches.
Il lui fallut plusieurs mois pour récupérer son magasin et son atelier. Ses parents l’aidèrent à remettre de l’ordre dans les affaires. Cette période fut très éprouvante pour elle, émotionnellement, et elle fit beaucoup de crises de panique.
L’année de ses 25 ans l’a aussi beaucoup marquée. L’épidémie qui toucha le Japon, les nombreux autres problèmes annoncés aux infos l’inquiétèrent. Entre des citoyens annoncés décédés, comme ce fut le cas pour Shin, le recensement des humains et la chasse à l’homme, Mariko ne savait plus où donner de la tête. Elle avait l'impression que les JT apportaient chaque jour un nouveau malheur et finalement, les jours ne se ressemblaient plus tant que ça. Elle s’échina cependant à poursuivre sa vie et sa routine et ne prit pas parti d’un quelconque camp. Cependant, elle savait que ses parents aidaient des gens à se cacher et s’enfuir.
Heureusement pour Mariko, tout ça finit par réellement se tasser et elle peut faire sa petite vie tranquille.
Caractère
La première caractéristique de Mariko est son angoisse, et son inquiétude quotidienne. Elle n’aime pas quand quelque chose n’est pas comme d’habitude. À ce propos, elle s’est fait un planning pour rythmer ses journées, et elle le suit scrupuleusement. Quand Mariko fait une crise d’angoisse, elle devient destructrice, que ce soit envers elle ou son mobilier.
Elle démontre d’une certaine difficulté à communiquer avec les autres, surtout les inconnus. Elle restera généralement très en retrait dans les conversations à plusieurs et elle ne va jamais engager la conversation avec quelqu’un. Si Mariko n’a pas beaucoup d’amis, c’est surtout qu’elle dit ce qu’elle pense, même ce qui ne se dit pas parfois. Et parfois, elle est vulgaire au grand dam de son entourage. Soit elle va jurer pour la forme, soit elle va jurer de colère.
Mariko est une personne lunatique. Elle passe d’une émotion à une autre très facilement, parfois trop facilement. Elle ne comprend pas souvent ce qui se passe avec ses émotions et elle ne les maîtrise pas toujours.
Mais, malgré ça, elle reste une personne très ordonnée et organisée dans sa vie. Chaque chose a sa place et chaque chose doit rester à sa place, sinon, ça ne lui va pas, et elle va tout lâcher pour remettre la chose à sa place. Une autre de ses manies est de compter scrupuleusement ce qu’elle a. Plusieurs fois par jour. Elle entretient un cahier où elle recense les objets qu’elle possède, et ce dont elle a besoin, ce qu’elle doit acheter ou jeter, etc..
Malgré ses nombreux défauts, Mariko est une personne très professionnelle. Elle sait se montrer souriante, douce et très à l’écoute de sa clientèle. Et c’est probablement ce qui fait que ça marche si bien. Mais dans le privé, elle s'efface, elle ne s’exprime pas ou peu sur ses goûts, ses opinions. Il faut vraiment lui tirer les vers du nez. Elle n’aime pas débattre. Et pour éviter un débat, on ne déballe pas son avis et ses opinions. Remarquez qu’elle n’aime ni les cris ni les bagarres, non plus.
Elle démontre d’une certaine difficulté à communiquer avec les autres, surtout les inconnus. Elle restera généralement très en retrait dans les conversations à plusieurs et elle ne va jamais engager la conversation avec quelqu’un. Si Mariko n’a pas beaucoup d’amis, c’est surtout qu’elle dit ce qu’elle pense, même ce qui ne se dit pas parfois. Et parfois, elle est vulgaire au grand dam de son entourage. Soit elle va jurer pour la forme, soit elle va jurer de colère.
Mariko est une personne lunatique. Elle passe d’une émotion à une autre très facilement, parfois trop facilement. Elle ne comprend pas souvent ce qui se passe avec ses émotions et elle ne les maîtrise pas toujours.
Mais, malgré ça, elle reste une personne très ordonnée et organisée dans sa vie. Chaque chose a sa place et chaque chose doit rester à sa place, sinon, ça ne lui va pas, et elle va tout lâcher pour remettre la chose à sa place. Une autre de ses manies est de compter scrupuleusement ce qu’elle a. Plusieurs fois par jour. Elle entretient un cahier où elle recense les objets qu’elle possède, et ce dont elle a besoin, ce qu’elle doit acheter ou jeter, etc..
Malgré ses nombreux défauts, Mariko est une personne très professionnelle. Elle sait se montrer souriante, douce et très à l’écoute de sa clientèle. Et c’est probablement ce qui fait que ça marche si bien. Mais dans le privé, elle s'efface, elle ne s’exprime pas ou peu sur ses goûts, ses opinions. Il faut vraiment lui tirer les vers du nez. Elle n’aime pas débattre. Et pour éviter un débat, on ne déballe pas son avis et ses opinions. Remarquez qu’elle n’aime ni les cris ni les bagarres, non plus.
Physique
Mariko est une femme rachitique et à la peau plutôt pâle, au premier coup d’oeil. Elle est petite et pas bien grosse, détail qu’elle tient de sa mère génétique. Elle n’arrive pas à prendre de poids, même dans les jours où elle mange avec appétit. Parce que Mariko n’est pas une grosse mangeuse, en plus.
Son visage est rond, plus précisément, la forme et l'ossature du visage donnent une impression de rondeur. Il est entouré d’une longue chevelure noire et ondulée, qu’elle s’attache en tresse quand elle travaille. Une frange lui cache le front et surmonte ses yeux bruns en amande. Son petit nez est en trompette et ses lèvres sont petites et fines. Mais si on regarde de plus près, on peut constater qu’elle possède des cicatrices sur les joues. Des vieilles cicatrices.
De sa petite corpulence, Mariko n’a pas une grosse carrure, ni poitrine par ailleurs. Ses bras sont maigrelets et avec des bandages à certains endroits. Dessous, on trouvera de vieilles cicatrices aussi. Ses mains possèdent de longs doigts bien souvent couverts de pansements ainsi que des ongles coupés bien courts. Malgré sa maîtrise de l’aiguille et de la machine à coudre, il arrive souvent à Mariko de se couper ou se piquer le doigt. Concernant ses jambes, elles sont normales, il n’y a rien à dire dessus.
Concernant son style vestimentaire, il est basique. Mariko aime les vêtements qui collent au corps et surtout sans manches. Elle a déjà cousu une manche par accident, et elle ne veut pas recommencer. Elle possède une collection impressionnante de débardeurs de toutes couleurs et tout motif. Sinon, en hiver, elle mettra des t-shirts. Mariko ne craint pas le froid. Elle apprécie aussi beaucoup de porter des jupes. Son seul problème, c’est qu’elle ne sait pas associer les couleurs, ni même les vêtements, lui donnant un style… douteux.
Son visage est rond, plus précisément, la forme et l'ossature du visage donnent une impression de rondeur. Il est entouré d’une longue chevelure noire et ondulée, qu’elle s’attache en tresse quand elle travaille. Une frange lui cache le front et surmonte ses yeux bruns en amande. Son petit nez est en trompette et ses lèvres sont petites et fines. Mais si on regarde de plus près, on peut constater qu’elle possède des cicatrices sur les joues. Des vieilles cicatrices.
De sa petite corpulence, Mariko n’a pas une grosse carrure, ni poitrine par ailleurs. Ses bras sont maigrelets et avec des bandages à certains endroits. Dessous, on trouvera de vieilles cicatrices aussi. Ses mains possèdent de longs doigts bien souvent couverts de pansements ainsi que des ongles coupés bien courts. Malgré sa maîtrise de l’aiguille et de la machine à coudre, il arrive souvent à Mariko de se couper ou se piquer le doigt. Concernant ses jambes, elles sont normales, il n’y a rien à dire dessus.
Concernant son style vestimentaire, il est basique. Mariko aime les vêtements qui collent au corps et surtout sans manches. Elle a déjà cousu une manche par accident, et elle ne veut pas recommencer. Elle possède une collection impressionnante de débardeurs de toutes couleurs et tout motif. Sinon, en hiver, elle mettra des t-shirts. Mariko ne craint pas le froid. Elle apprécie aussi beaucoup de porter des jupes. Son seul problème, c’est qu’elle ne sait pas associer les couleurs, ni même les vêtements, lui donnant un style… douteux.