Constance Kurosawa
Sorry not sorry for being the best
Informations générales

Nom : Kurosawa
Prénom.s : Constance
Âge : 28 ans || 24 novembre 2084
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Avocate
Sexualité : Narcissique
Avatar : Aria Roscente de The Villainess Reverses the Hourglass
Règlement : -
Chemin Reboot~
Autre : Je suis désolée... ou pas
Prénom.s : Constance
Âge : 28 ans || 24 novembre 2084
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Avocate
Sexualité : Narcissique
Avatar : Aria Roscente de The Villainess Reverses the Hourglass
Règlement : -
Chemin Reboot~

Autre : Je suis désolée... ou pas

Histoire - So call out my name
Tout a commencé en 2075 quand Masahiko Kurosawa fut marié à Rie Fujiwara. Lui, est le fils d’un grand entrepreneur, il avait décidé de prouver sa valeur en créant lui-même son entreprise. Elle, est une rédactrice d’un grand magazine de mode. Ayant tout de suite accroché, le couple s’entendait à merveille dès le départ. Ils se soutenaient l’un l’autre et s’aimaient comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Au fil des années, tout semblait bien se passer. Les affaires de Masahiko étaient florissantes au point que son entreprise devint connue dans tout le pays. Rie, quant à elle, fut nommée rédactrice en chef du magazine. Tout leur réussissait et rien ne pouvait gâcher ce bonheur qu’ils avaient construit de leurs mains. Seulement voilà, un problème régnait, Rie ne pouvait pas tomber enceinte. Bien qu’amoureux, cela restait un, si ce n’est le, sujet de dispute entre eux. Et plus les années passèrent, plus l’envie d’avoir un enfant devenait grande. Alors, en décembre 2083, ils décidèrent de faire appel à une mère porteuse. Cette femme s’appelait Mathilde Durant, une française de 24 ans qui adulait l’Incontestable et qui avait décidé de prendre la nationalité japonaise. Elle avait accepté de divulguer son identité au couple mais elle refusa catégoriquement de garder contact avec eux une fois la grossesse terminée. Sa seule demande fut de choisir le prénom de l’enfant. Reconnaissants envers elle, ils acceptèrent. Tout le long de la grossesse, ils entretinrent une relation plus que bonne avec Mathilde, ce qui rendit plus facile le choix de la laisser nommer l’enfant. Puis, le 24 novembre 2084, naquit une merveilleuse fille, moi. Comme le voulait ma mère biologique, ils m’appelèrent Constance.
Mon enfance était assez calme. J’étais la fille unique de deux parents incroyables. Gâtée comme pas possible, on me répétait sans cesse que je n’étais pas faite pour un monde aussi violent. Ma mère, qui avait peur que je doute de son amour pour moi, me répétait sans cesse que j’étais sa princesse, son ange tombé du ciel. Mon esprit de petite fille se mit alors en marche. Je demandais tout le temps à être habillée en robe, je demandais à avoir tout et n’importe quoi jusqu’à devenir capricieuse. En parallèle, mes parents embauchèrent quelqu’un pour m’apprendre à faire du piano et du violon, considérant que c’était les bases à apprendre pour une fille de la haute société. Ils voulaient que je fasse bonne impression face aux autres familles. Mais mon comportement les dissuadait petit à petit. Me rendant compte de cela, j’ai commencé à agir comme une fille exemplaire. Mais, mon caractère habituel était déjà ancré au fond de moi, je me retenais parfois de faire des caprices ou de m’énerver pour quelque chose qui était considéré comme futile.
J’arrivais au lycée après avoir passé le concours d’entrée et j’étais la meilleure élève qui arrivait dans l'établissement. Les gens m’admiraient et mon ego gonflait. J’avais une fierté que je ne voulais en aucun cas voir brisé par des idiots. J’étais rarement embêtée. Généralement, quelques jaloux pestaient contre moi dans mon dos, mais j’étais rapidement mise au courant et je les laissais jalouser dans leur coin, riant de leur stupidité. Au bout de ma deuxième année, on me proposa de rentrer dans le conseil des élèves ce que j’acceptais avec joie. Je devenais de plus en plus influente, rien ne pouvait me faire plus plaisir.
En dehors de tout cela, je me faisais apprécier par les gens de la haute société par mon charisme et mes capacités qui, il faut le dire, surpassaient les attentes qu’ils avaient envers moi. Je me créais un réseau de personnes en me liant d’amitié avec leurs enfants au point que l’on souhaitait parfois que l’Incontestable me choisisse comme future mariée. Comme si je méritais d’être liée par le mariage à leur rejeton.
Quand l’heure fut venue de penser à mes études supérieures, je décidais de me diriger vers la branche juridique afin de devenir avocate. Je réussis à entrer dans une université réputée et surtout privée.
Plus je grandissais, plus je me rendais compte que la haute société était remplie de mensonges et faux-semblants. Que ce que disaient les gens en face de moi pouvait être très différent quand je n’étais pas là. Tout cela me permit de ne pas réfréner mon vrai moi mais simplement de le cacher. Si les gens avaient décidé de montrer leurs vrais visages quand la personne qu’ils critiquent n’est pas là, moi j’avais l’idée de tous leur faire croire que j’étais adorable et gentille pour mieux les utiliser plus tard. Je pensais que tout cela serait compliqué, mais en réalité je maîtrisais bien l’art de la comédie et de la manipulation. Au collège j’étais beaucoup appréciée, j’avais des amis, je riais et en plus de ça j’avais de bonnes notes. Mais ce qu’ils ne savaient pas c’est que je les utilisais contre ceux qui osaient m’offenser ne serait-ce qu’un peu. J’exerçais un pouvoir sur les autres qui procurait une jouissance inouïe. En dehors de tout cela, je tentais d’exceller scolairement pour rendre mes parents fiers et surtout pour moi puisque j’avais déjà des idées de métiers dont celui que j’exerce aujourd’hui.
Le droit me passionnait, en plus d’être une branche assez prestigieuse, je n’avais pas vraiment de motivation première, mon intérêt me suffisait amplement. Je ne trouvais pas mes études si compliquées, loin de là. De plus, les stages que j’avais effectués en tant qu’étudiante me confortaient dans mon choix. À mes yeux, il était évident que j’avais toutes les qualifications requises pour faire une bonne avocate. Je me voyais jouer les super-héroïnes pour une personne qui le méritait ou non. Coupable ou non, cela n’avait pas d’importance, tant que je faisais mon travail et qu’il me rapportait de l’argent.
Je n’avais pas réellement vu mes années universitaires passer. Avoir mon diplôme n’était pas si compliqué que cela finalement. J’entrais dans un cabinet d’avocat avec une réputation moyenne, rêvant de créer mon propre cabinet dans le futur. Mes parents étaient heureux de me voir m’investir autant dans un tel domaine, bien qu’ils me parlaient de financer la création de mon cabinet, je refusais, souhaitant me débrouiller seule. Je me plaisais beaucoup là où je me trouvais, j’avais même hésité à y rester tout simplement. Mais ma conscience me disait de poursuivre mon rêve.
Deux ans plus tard, je devenais assez confiante pour me dire de vivre enfin seule. Je pris mon premier appartement encore une fois sans l’aide de personne. De leur côté, mes parents se demandaient et attendaient avec impatience que je me marie, ils trouvaient d’ailleurs que ça n’allait pas assez vite. Mais je comprenais totalement. Après tout, c’est difficile de trouver quelqu’un d’aussi parfait que moi. Peu de temps après mon déménagement, une manifestation anti-Incontestable que l’on appelle le Big Bang Kiss fit du bruit aux informations. Trop concentrée sur mon travail, et trouvant d’ailleurs cette manifestation plus que débile, j’ignorais cet événement.
En 2109, je créais enfin mon propre cabinet d’avocat. Le début était à la fois compliqué et en même temps non. Les personnes que j’aidais autrefois m’étaient resté fidèles et le bouche à oreille amena le reste de ma clientèle. Mais il fallut quand même un peu de temps avant que je me construise une réputation forte et inébranlable. Le tout perturbé par la catastrophe que je continue de maudire par moments: le Shukumei. Heureusement pour moi, les personnes que j’appréciais, mes parents quoi, ne furent pas blessés. Mon cabinet, par un miracle miraculeux, s’en est sorti indemne. J’avais pu reprendre une vie assez normale suite à cet événement qui a sûrement traumatisé beaucoup de personnes.
Je menais une vie luxueuse, mes affaires étaient florissantes, j’avais même déménagé dans un appartement qui me convenait plus que le précédent. Et si vous pensiez que mes habitudes au collège et au lycée avaient disparues, vous avez totalement tort. Je continuais de jouer avec les gens, la vie était devenue un spectacle de marionnettes et j’étais le marionnettiste de toute cette comédie. Et, mine de rien, je ressentais un plaisir immense à manipuler et voir ces gens aussi crédules me donnaient envie de les écraser. À mes yeux, ce n’était que des fourmis et j’étais leur reine. Et toute reine doit être accompagnée de son roi… C’était sans compter sans le projet Izanagi. Très honnêtement, cela ne me dérangeait pas plus que ça. Je m’en fichais. Le mariage ne m’intéressait pas bien que je me plierais aux règles si jamais la lettre rose arrivait dans ma boîte aux lettres. Je ne ressentais rien. Autant pour le system error que pour l’annonce que tout ceci était un piège. Au contraire, je pense que j’avais un peu d’admiration pour le gouvernement qui devait s’amuser autant que moi.
Pendant tout cela, je tombais malade pour le peu de fois que cela m’arrivait. Je pensais tout simplement que cela était dû à du surmenage, passant presque la totalité de mon temps à travailler.
Quelques mois plus tard, j’entendis parler des problèmes de la puce et de la fuite de certains. Une nouvelle fois, je perdais foi en ces personnes que je trouvais idiotes. Je ne voyais pas les problèmes qu’apportait l’Incontestable selon eux. Le mariage n’était qu’une banalité sans nom, l’amour était aussi inutile. Tant que la natalité remontait qu’y avait-il de mal à marier des gens à leur insu. Je n’attendais pas ce moment avec impatience mais je respecterais pour sûr le mariage et la personne qui sera mon conjoint.
Je pense avoir réussi ma vie. Je ne pouvais que la réussir de toute manière. Mais plus j’y pense, plus je me demande si la personne qui me sera choisi méritera de vivre à mes côtés...
Mon enfance était assez calme. J’étais la fille unique de deux parents incroyables. Gâtée comme pas possible, on me répétait sans cesse que je n’étais pas faite pour un monde aussi violent. Ma mère, qui avait peur que je doute de son amour pour moi, me répétait sans cesse que j’étais sa princesse, son ange tombé du ciel. Mon esprit de petite fille se mit alors en marche. Je demandais tout le temps à être habillée en robe, je demandais à avoir tout et n’importe quoi jusqu’à devenir capricieuse. En parallèle, mes parents embauchèrent quelqu’un pour m’apprendre à faire du piano et du violon, considérant que c’était les bases à apprendre pour une fille de la haute société. Ils voulaient que je fasse bonne impression face aux autres familles. Mais mon comportement les dissuadait petit à petit. Me rendant compte de cela, j’ai commencé à agir comme une fille exemplaire. Mais, mon caractère habituel était déjà ancré au fond de moi, je me retenais parfois de faire des caprices ou de m’énerver pour quelque chose qui était considéré comme futile.
J’arrivais au lycée après avoir passé le concours d’entrée et j’étais la meilleure élève qui arrivait dans l'établissement. Les gens m’admiraient et mon ego gonflait. J’avais une fierté que je ne voulais en aucun cas voir brisé par des idiots. J’étais rarement embêtée. Généralement, quelques jaloux pestaient contre moi dans mon dos, mais j’étais rapidement mise au courant et je les laissais jalouser dans leur coin, riant de leur stupidité. Au bout de ma deuxième année, on me proposa de rentrer dans le conseil des élèves ce que j’acceptais avec joie. Je devenais de plus en plus influente, rien ne pouvait me faire plus plaisir.
En dehors de tout cela, je me faisais apprécier par les gens de la haute société par mon charisme et mes capacités qui, il faut le dire, surpassaient les attentes qu’ils avaient envers moi. Je me créais un réseau de personnes en me liant d’amitié avec leurs enfants au point que l’on souhaitait parfois que l’Incontestable me choisisse comme future mariée. Comme si je méritais d’être liée par le mariage à leur rejeton.
Quand l’heure fut venue de penser à mes études supérieures, je décidais de me diriger vers la branche juridique afin de devenir avocate. Je réussis à entrer dans une université réputée et surtout privée.
Plus je grandissais, plus je me rendais compte que la haute société était remplie de mensonges et faux-semblants. Que ce que disaient les gens en face de moi pouvait être très différent quand je n’étais pas là. Tout cela me permit de ne pas réfréner mon vrai moi mais simplement de le cacher. Si les gens avaient décidé de montrer leurs vrais visages quand la personne qu’ils critiquent n’est pas là, moi j’avais l’idée de tous leur faire croire que j’étais adorable et gentille pour mieux les utiliser plus tard. Je pensais que tout cela serait compliqué, mais en réalité je maîtrisais bien l’art de la comédie et de la manipulation. Au collège j’étais beaucoup appréciée, j’avais des amis, je riais et en plus de ça j’avais de bonnes notes. Mais ce qu’ils ne savaient pas c’est que je les utilisais contre ceux qui osaient m’offenser ne serait-ce qu’un peu. J’exerçais un pouvoir sur les autres qui procurait une jouissance inouïe. En dehors de tout cela, je tentais d’exceller scolairement pour rendre mes parents fiers et surtout pour moi puisque j’avais déjà des idées de métiers dont celui que j’exerce aujourd’hui.
Le droit me passionnait, en plus d’être une branche assez prestigieuse, je n’avais pas vraiment de motivation première, mon intérêt me suffisait amplement. Je ne trouvais pas mes études si compliquées, loin de là. De plus, les stages que j’avais effectués en tant qu’étudiante me confortaient dans mon choix. À mes yeux, il était évident que j’avais toutes les qualifications requises pour faire une bonne avocate. Je me voyais jouer les super-héroïnes pour une personne qui le méritait ou non. Coupable ou non, cela n’avait pas d’importance, tant que je faisais mon travail et qu’il me rapportait de l’argent.
Je n’avais pas réellement vu mes années universitaires passer. Avoir mon diplôme n’était pas si compliqué que cela finalement. J’entrais dans un cabinet d’avocat avec une réputation moyenne, rêvant de créer mon propre cabinet dans le futur. Mes parents étaient heureux de me voir m’investir autant dans un tel domaine, bien qu’ils me parlaient de financer la création de mon cabinet, je refusais, souhaitant me débrouiller seule. Je me plaisais beaucoup là où je me trouvais, j’avais même hésité à y rester tout simplement. Mais ma conscience me disait de poursuivre mon rêve.
Deux ans plus tard, je devenais assez confiante pour me dire de vivre enfin seule. Je pris mon premier appartement encore une fois sans l’aide de personne. De leur côté, mes parents se demandaient et attendaient avec impatience que je me marie, ils trouvaient d’ailleurs que ça n’allait pas assez vite. Mais je comprenais totalement. Après tout, c’est difficile de trouver quelqu’un d’aussi parfait que moi. Peu de temps après mon déménagement, une manifestation anti-Incontestable que l’on appelle le Big Bang Kiss fit du bruit aux informations. Trop concentrée sur mon travail, et trouvant d’ailleurs cette manifestation plus que débile, j’ignorais cet événement.
En 2109, je créais enfin mon propre cabinet d’avocat. Le début était à la fois compliqué et en même temps non. Les personnes que j’aidais autrefois m’étaient resté fidèles et le bouche à oreille amena le reste de ma clientèle. Mais il fallut quand même un peu de temps avant que je me construise une réputation forte et inébranlable. Le tout perturbé par la catastrophe que je continue de maudire par moments: le Shukumei. Heureusement pour moi, les personnes que j’appréciais, mes parents quoi, ne furent pas blessés. Mon cabinet, par un miracle miraculeux, s’en est sorti indemne. J’avais pu reprendre une vie assez normale suite à cet événement qui a sûrement traumatisé beaucoup de personnes.
Je menais une vie luxueuse, mes affaires étaient florissantes, j’avais même déménagé dans un appartement qui me convenait plus que le précédent. Et si vous pensiez que mes habitudes au collège et au lycée avaient disparues, vous avez totalement tort. Je continuais de jouer avec les gens, la vie était devenue un spectacle de marionnettes et j’étais le marionnettiste de toute cette comédie. Et, mine de rien, je ressentais un plaisir immense à manipuler et voir ces gens aussi crédules me donnaient envie de les écraser. À mes yeux, ce n’était que des fourmis et j’étais leur reine. Et toute reine doit être accompagnée de son roi… C’était sans compter sans le projet Izanagi. Très honnêtement, cela ne me dérangeait pas plus que ça. Je m’en fichais. Le mariage ne m’intéressait pas bien que je me plierais aux règles si jamais la lettre rose arrivait dans ma boîte aux lettres. Je ne ressentais rien. Autant pour le system error que pour l’annonce que tout ceci était un piège. Au contraire, je pense que j’avais un peu d’admiration pour le gouvernement qui devait s’amuser autant que moi.
Pendant tout cela, je tombais malade pour le peu de fois que cela m’arrivait. Je pensais tout simplement que cela était dû à du surmenage, passant presque la totalité de mon temps à travailler.
Quelques mois plus tard, j’entendis parler des problèmes de la puce et de la fuite de certains. Une nouvelle fois, je perdais foi en ces personnes que je trouvais idiotes. Je ne voyais pas les problèmes qu’apportait l’Incontestable selon eux. Le mariage n’était qu’une banalité sans nom, l’amour était aussi inutile. Tant que la natalité remontait qu’y avait-il de mal à marier des gens à leur insu. Je n’attendais pas ce moment avec impatience mais je respecterais pour sûr le mariage et la personne qui sera mon conjoint.
Je pense avoir réussi ma vie. Je ne pouvais que la réussir de toute manière. Mais plus j’y pense, plus je me demande si la personne qui me sera choisi méritera de vivre à mes côtés...
Physique

Quand on manipule, le physique à une importance aussi grande que le comportement. En ce qui me concerne, je n’ai pas à me plaindre. En plus de maîtriser mes émotions comme je le souhaite, ma beauté accompagne et sublime le tout.
J’accorde une attention toute particulière à mon corps. Ma peau est aussi douce que celle d’un nourrisson, je fais d’ailleurs très attention aux imperfections qui peuvent se retrouver sur mon visage. Après tout, il est mon plus gros atout. Je pense d’ailleurs que mes yeux sont plus importants que le reste. Leur couleur d’un vert si clair qu’on aurait l’impression que j’ai de l’or à la place envoûte les gens. Mon regard les charme et les attire dans mes filets. Ils sont aussi ceux qui communiquent le mieux les expressions humaines. Mais surtout, ils mettent en valeur mon visage entier, s’accordant avec mes cheveux blonds et ondulés. Ainsi, je peux me permettre d’utiliser un maquillage très léger. Un petit coup de mascara et un rouge à lèvres clair suffisent. Et je peux même me permettre quelques folies en mettant des boucles d’oreilles.
Je suis quelqu’un de très grande, étant l’enfant d’une femme française cela me paraît plus que normal. J’ai d’ailleurs un physique plus français que japonais. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Je pourrais difficilement faire ce que je fais si je ressemblais à une banale japonaise. Du coup, niveau taille, j’avoisine les un mètre soixante-douze. Et l’avantage d’être grande, c’est que prendre un peu plus de poids, je fais donc soixante-dix kilos. Je ne suis pas une femme à grosse poitrine. Au contraire, je trouve que ça a un charme plus sensuel.
Je suis une fan incontestée des vêtements de marque. Parfois extravagante, parfois moins, je n’ai jamais eu de problème à ce niveau-là, généralement tout me va. Enfin, j’évite quand même de mettre les vêtements de pauvres qu’on achète trente euros, ils n’ont même pas l’étoffe de faire un bon essuie-tout.
En bref, si vous voulez retenir quelques mots de mon physique, alors je vous propose sublime, incroyable ou encore parfaite.
J’accorde une attention toute particulière à mon corps. Ma peau est aussi douce que celle d’un nourrisson, je fais d’ailleurs très attention aux imperfections qui peuvent se retrouver sur mon visage. Après tout, il est mon plus gros atout. Je pense d’ailleurs que mes yeux sont plus importants que le reste. Leur couleur d’un vert si clair qu’on aurait l’impression que j’ai de l’or à la place envoûte les gens. Mon regard les charme et les attire dans mes filets. Ils sont aussi ceux qui communiquent le mieux les expressions humaines. Mais surtout, ils mettent en valeur mon visage entier, s’accordant avec mes cheveux blonds et ondulés. Ainsi, je peux me permettre d’utiliser un maquillage très léger. Un petit coup de mascara et un rouge à lèvres clair suffisent. Et je peux même me permettre quelques folies en mettant des boucles d’oreilles.
Je suis quelqu’un de très grande, étant l’enfant d’une femme française cela me paraît plus que normal. J’ai d’ailleurs un physique plus français que japonais. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Je pourrais difficilement faire ce que je fais si je ressemblais à une banale japonaise. Du coup, niveau taille, j’avoisine les un mètre soixante-douze. Et l’avantage d’être grande, c’est que prendre un peu plus de poids, je fais donc soixante-dix kilos. Je ne suis pas une femme à grosse poitrine. Au contraire, je trouve que ça a un charme plus sensuel.
Je suis une fan incontestée des vêtements de marque. Parfois extravagante, parfois moins, je n’ai jamais eu de problème à ce niveau-là, généralement tout me va. Enfin, j’évite quand même de mettre les vêtements de pauvres qu’on achète trente euros, ils n’ont même pas l’étoffe de faire un bon essuie-tout.
En bref, si vous voulez retenir quelques mots de mon physique, alors je vous propose sublime, incroyable ou encore parfaite.
Caractère
Sora Kitajima - Femme de ménage des Kurosawa
Mademoiselle Constance est vraiment quelqu’un d’adorable. Je la connais depuis qu’elle est toute petite et, malgré le caractère qu’elle avait enfant, je trouve que c’est une femme qui a grandit, mais aussi mûri à une vitesse incroyable. Je la trouve très mature et gentille. Elle est le symbole même de la femme forte, capable de s’en sortir sans l’aide de personne. Le tout est renforcé par sa profession qui montre en plus de cela son intelligence et son éloquence. Elle est aussi très discrète ! Jamais elle ne parle de son métier ou de ses futurs projets. De plus, elle n’est pas très démonstrative selon la personne et garde souvent ses sentiments pour elle-même. J’aimerais pourtant tellement pouvoir la soutenir comme je le peux. En tout cas, je resterais entièrement dévouée à elle et ses parents. Ils m’ont accueilli à bras ouvert sous leur toit et je ne pourrais jamais les remercier comme il se doit.
Haruto Sato - Collègue de Constance Kurosawa
Mademoiselle Kurosawa est quelqu’un d’admirable. C’est une femme qui s’investit et prend énormément son travail au sérieux. Elle a toujours fait de son mieux et c’est en la regardant en action que l’on comprend sa renommée. Le seul défaut que je pourrais lui donner, c’est qu’elle ne se repose pas assez sur les autres et à tendance à tout gérer seule. Elle devrait apprendre un peu plus à communiquer avec ses collègues et déléguer de temps en temps.
Constance Kurosawa - The Queen Bitch
Jouer avec les gens est si facile. Comme quoi il n’y a que les apparences qui comptent dans la société. Je n’ai qu’à agir comme une femme douce et gentille et ils pensent tous que je suis ainsi. Ce sont des marionnettes que je dirige à ma guise sans même qu’ils s’en rendent compte. Des êtres qui pensent qu’ils peuvent se permettre de vivre à mes côtés comme si nous étions égaux alors qu’ils me lèchent les pieds comme des toutous.
Alors allez-y admirez-moi, tentez de me ressembler ou détestez moi. Peu importe qui est mon ennemi, rien ne m’empêchera de l’écraser comme une mouche. De toute façon, il est difficile pour les gens de devenir mon ennemi. Après tout, agir méchamment contre la magnifique et douce Constance Kurosawa attire des problèmes sur soi. En clair, je suis intouchable. Alors contentez-vous de me fusiller du regard, car c’est tout ce que vous pourrez faire.
Maintenant, allez dans vos loges, habillez-vous, maquillez-vous, devenez mes plus belles marionnettes et offrez-moi le plus beau spectacle du monde. Et surtout hâtez-vous, car je déteste attendre.
Mademoiselle Constance est vraiment quelqu’un d’adorable. Je la connais depuis qu’elle est toute petite et, malgré le caractère qu’elle avait enfant, je trouve que c’est une femme qui a grandit, mais aussi mûri à une vitesse incroyable. Je la trouve très mature et gentille. Elle est le symbole même de la femme forte, capable de s’en sortir sans l’aide de personne. Le tout est renforcé par sa profession qui montre en plus de cela son intelligence et son éloquence. Elle est aussi très discrète ! Jamais elle ne parle de son métier ou de ses futurs projets. De plus, elle n’est pas très démonstrative selon la personne et garde souvent ses sentiments pour elle-même. J’aimerais pourtant tellement pouvoir la soutenir comme je le peux. En tout cas, je resterais entièrement dévouée à elle et ses parents. Ils m’ont accueilli à bras ouvert sous leur toit et je ne pourrais jamais les remercier comme il se doit.
Haruto Sato - Collègue de Constance Kurosawa
Mademoiselle Kurosawa est quelqu’un d’admirable. C’est une femme qui s’investit et prend énormément son travail au sérieux. Elle a toujours fait de son mieux et c’est en la regardant en action que l’on comprend sa renommée. Le seul défaut que je pourrais lui donner, c’est qu’elle ne se repose pas assez sur les autres et à tendance à tout gérer seule. Elle devrait apprendre un peu plus à communiquer avec ses collègues et déléguer de temps en temps.
Constance Kurosawa - The Queen Bitch
Jouer avec les gens est si facile. Comme quoi il n’y a que les apparences qui comptent dans la société. Je n’ai qu’à agir comme une femme douce et gentille et ils pensent tous que je suis ainsi. Ce sont des marionnettes que je dirige à ma guise sans même qu’ils s’en rendent compte. Des êtres qui pensent qu’ils peuvent se permettre de vivre à mes côtés comme si nous étions égaux alors qu’ils me lèchent les pieds comme des toutous.
Alors allez-y admirez-moi, tentez de me ressembler ou détestez moi. Peu importe qui est mon ennemi, rien ne m’empêchera de l’écraser comme une mouche. De toute façon, il est difficile pour les gens de devenir mon ennemi. Après tout, agir méchamment contre la magnifique et douce Constance Kurosawa attire des problèmes sur soi. En clair, je suis intouchable. Alors contentez-vous de me fusiller du regard, car c’est tout ce que vous pourrez faire.
Maintenant, allez dans vos loges, habillez-vous, maquillez-vous, devenez mes plus belles marionnettes et offrez-moi le plus beau spectacle du monde. Et surtout hâtez-vous, car je déteste attendre.