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08/07/2021

Natsuki Kobayashi
Natsuki Kobayashi
Natsuki Tachibana
« Si ton cœur est ailleurs, le verre se brisera. »

Généralités
Nom ;; Tachibana
Prénom ;; Natsuki
Âge ;; 28 ans, née le 8 novembre 2085
Genre ;; Féminin
Origines ;; Japonaise
Activité ;; Manager, baby-sitter, préparatrice de café, livreuse, agent, comptable, secrétaire, banquière...
Assistante d'un réalisateur indépendant. Gère la vie d'un gamin de 30 ans.
Sexualité ;; Hétérosexuelle
Avatar ;; Nobara Kugisaki de Jujutsu Kaisen
Règlement ;; Validé - Ari
Chemin ;; TC 😭
Commentaire ;; Ca fait plus d'un an que je me tiens à deux comptes, il fallait bien que je finisse par craquer...
Histoire

Quelques vulgarités se sont glissées dans cette histoire. N'y faites pas attention et elles ne vous attaqueront pas !
-
Je remercie Zacharie pour son caméo dans mon histoire ♥

Vendredi 4 juin 2113 – 18:02

Quand la voiture s’arrête devant la porte de garage menant au sous-sol de l’immeuble, Natsuki en profite pour jeter un coup d’œil sur l’interface de la voiture, configurée sur son portable. Les messages envoyés au cours de la journée sont toujours affichés en « non lus » et elle tapote son volant du bout des doigts, légèrement agacée. Une fois la porte ouverte, elle enclenche la première vitesse et pénètre dans le bâtiment pour aller se garer à la place qui lui est réservée près d’une voiture familière. La jeune femme quitte l’habitacle, attrape son sac, un sachet de restaurant d’où s’élève une odeur alléchante et le costume enveloppé d’une housse qui se trouve à l’arrière. Tout en attendant l’ascenseur, elle regarde son portable et la notification indiquant pas moins de cinq messages de son frère. Hésitante, Natsuki finit par faire disparaître la notification sans même ouvrir le message et entre dans la cabine où elle appuie sur le bouton de l’étage souhaité.

***

Quand j’étais enfant, mon monde se réduisait à une simple boule de verre. Je pensais que rien ne pourrait jamais la briser. Que ce qui se trouvait à l’intérieur, ce qui composait mon univers, serait à jamais protégé du reste. Evidemment, je me trompais.

Je suis née à Miirihigashi, une ville minuscule se trouvant à une heure de route d’Hiroshima. Benjamine d’une fratrie de trois, je suis également l’unique fille de mes parents. La petite dernière qui faisait la fierté de mon père, complètement gaga dès que j’étais dans les parages. Du moins c’est ce que l’on m’a raconté, car je ne l’ai pas connu. Décédé dans un accident de voiture alors que je n’avais pas encore deux ans, il est devenu pour moi une ombre dans le tableau familial. Mes frères ont davantage souffert de sa disparition, ce qui est probablement la raison de leur investissement dans l’entreprise paternelle.

Mon père était souffleur de verre, tout comme mon grand-père avant lui, ainsi que mon arrière-grand-père et, je pense sans me tromper, que l’on peut remonter assez loin dans l’arbre généalogique. Souffler a toujours été une seconde nature dans la famille et les fours de l’atelier étaient très rarement éteints, si ce n’est jamais. Si mon père n’a malheureusement pas fait partie de ma vie et ne m’a pas enseigné son savoir, mon grand-père s’en est chargé à sa place. Dès que j’ai été en âge de marcher et de comprendre ce qui m’entourait, je me faufilais dans l’atelier pour observer Tachibana Uichi souffler le verre en compagnie de mes grands-frères. Ceux-ci étant plus âgés, l’entrée de l’atelier ne leur était pas interdite, contrairement à moi. La dangerosité du lieu n’était pas à prendre à la légère avec ses fours chauffant à plus de mille degrés et le verre en fusion qui était manipulé d’une main de maître. Discrètement, cachée dans un coin, j’observais avec fascination cette matière prendre des formes toutes plus magnifiques les unes que les autres. J’avais cette sensation d’assister à de la magie.

De leur côté, ma mère et ma grand-mère s’occupaient du magasin où étaient vendues les créations faites par mon grand-père et du konbini attenant. Ma vie a toujours été simple, tenant dans une simple boule de verre que je pensais incassable. Jusqu’au jour où j’ai appris que le verre ne restait pas éternellement en fusion et que, si on n’y prenait pas garde, il pouvait se briser.


***

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et Natsuki quitte la cabine pour s’avancer dans le couloir en cherchant ses clés dans son sac. Sans frapper ni sonner, elle pénètre dans le loft comme si elle était chez elle. Celui-ci est grand et prouve rapidement que le propriétaire des lieux a de l’argent. Elle sait pourtant qu’il n’est pas du genre à l’étaler mais plutôt à l’offrir au premier venu sans se soucier de savoir si c’est un profiteur ou une vraie personne dans le besoin. Si elle n’était pas là pour gérer ses dépenses, elle ne doute pas qu’il serait déjà à la rue. L’appartement est particulièrement silencieux et la porte ouverte de la chambre semble montrer la gueule béante d’une grotte. La jeune femme pose les sacs sur le plan de travail de la cuisine et la housse sur le dossier d’une chaise avant de se diriger vers la chambre d’un pas sûr.

Une odeur désagréable de renfermé l’assaille tandis qu’elle constate qu’il n’y a pas une mais deux silhouettes dans le lit. Elle s’empresse d’appuyer sur la télécommande des volets avant de d’ouvrir les rideaux pour faire entrer les derniers rayons de soleil de la journée. Dans le lit, des grognements se font entendre. Elle ignore la silhouette féminine qui s’éveille pour observer les cheveux blonds disparaître dans l’oreiller. Voyant qu’il ne réagit pas davantage, Natsuki s’approche du lit pour tirer sur le drap. Celui-ci est rapidement rattrapé par la conquête de la nuit qui s’agrippe à lui pour cacher sa nudité, outrée.

« Lève-toi Zach. Il est 18h passés. Tu as dix minutes pour sauter sous la douche avant que je n’amène la douche à toi. »
« Putain, dix minutes… J’aurai jamais l’temps, que la douche vienne, moi j’bouge pas. »


Elle a fait le tour du lit pour se mettre face à lui en allumant la lumière de la lampe de chevet et elle se fait avoir. Zacharie l’attrape par le poignet pour l’attirer à lui et l’enlacer. A moitié étalée sur le lit, la jeune femme jure entre ses dents.

« Puis on peut faire des choses bien plus intéressantes du temps restant… »
« Je t'ai déjà dit que les plans à trois c'était pas mon truc. »


Dit-elle après s’être extirpée de ses bras et lui avoir donné une claque sur la tête. Elle ignore son clin d’œil et tourne les talons pour quitter la pièce.

« Tu sais pas c’que tu rates ! Elle était plutôt pas mal ! »
« Bouge-toi. Je te jure que le seau d'eau froide est prêt. »
« For fuck's saké, not again ! C'est bon, j'me lève... T'es pas drôle ! »


Natsuki retourne dans la cuisine et attrape le sac du restaurant pour en sortir le contenu. Puis elle attrape une assiette dans un placard, sans aucune hésitation de l’endroit où elle est rangée. Elle verse le contenu de la boîte de ramens vegans achetés au restaurant préféré de Monsieur, avant de lever les yeux au plafond en entendant la question de Zach.

« Tu peux me préparer un truc à grailler ? J'ai une dalle monstre ! D'ailleurs... Qu'est-ce que tu fous là ? J'te manquais ? »
« Le gala Akinari commence dans moins de deux heures. Ton nom sera annoncé entre celui de Soetsu Okane et Hamasaki Shigenaga. Ton absence passerait donc difficilement inaperçue. »
« Shit, ouais. J’avais complètement zappé… Qu’est-ce que je ferais sans toi ? »
« Sans moi, tu serais probablement déjà mort au fond de la baie de Tokyo. »


Répond-elle depuis la cuisine. Elle sort deux verres d’un placard et les remplit d’eau. En disant cela, elle ne peut s’empêcher de repenser à l’époque où elle a rencontré Zach pour la première fois.

***

Quand Asahi a quitté la maison pour partir étudier les pratiques de soufflage en Europe, je n’avais pas encore treize ans. J’ai beaucoup pleuré le départ de mon grand-frère, ne comprenant pas les raisons qui le poussaient à s’éloigner de chez nous, mais la vie a très vite repris son cours. Du moins jusqu’à ce que l’année suivante, à la fin du lycée, Ugetsu ne fasse de même. A même pas quatorze ans, je me retrouvais seule et abandonnée par mes frères. Je leur en ai beaucoup voulu d’être partis, même s’ils appelaient régulièrement, donnant des nouvelles à la famille aussi souvent que possible. Asahi avait fait le tour de l’Europe avant de partir aux Etats-Unis et Ugetsu prenait le même chemin que notre aîné. Quant à moi, je vivais ma vie de collégienne de façon plutôt ordinaire.

Ni bonne ni mauvaise à l’école, je rapportais des notes correctes sans être exceptionnelles. Je passais du temps avec mes quelques amis, me bâtais parfois parce que j’avais tendance à être une petite teigne quand je le décidais, et aidais ma mère et ma grand-mère au magasin de temps en temps. Mes seules préoccupations étaient l’école, les copines, les déclarations d’amour à faire au garçon le plus populaire, les défis qu’on se lançait pour sauter dans la rivière ou attraper le chat du voisin et le verre, que je me mis à souffler à mon tour.

Je venais de fêter mes quatorze ans quand mon grand-père accepta enfin de m’apprendre à souffler le verre. Peut-être était-ce le fait que mes frères n’étaient plus là et que son envie d’enseigner était trop forte, ou bien était-ce simplement son envie de passer du temps avec moi, mais un jour il vint vers moi et me tendit sa canne. A partir du moment où je la pris, venir passer du temps dans l’atelier avec lui fut une nouvelle passion et les quelques brûlures sur mes bras des trophées que j’affichais fièrement. Cinq ans s’écoulèrent ainsi. Le collège se termina, puis les trois années du lycée passèrent. J’eus mon premier copain, suivie par ma première déception amoureuse. Ma mère m’offrit mon premier vrai salaire pour avoir passé du temps à travailler avec elle lors d’un été. Je vendis mon premier vase à un touriste de passage et mon grand-père me félicita. Je soufflais avec lui presque tous les jours, créant des objets sortis tout droit de mon imagination. Il y eut beaucoup d’échecs évidemment mais aussi quelques victoires. Mes frères continuaient de donner de leurs nouvelles par intermittence, encore peu décidés à rentrer, jusqu’à ce qu’ils en soient obligés.

A soixante-seize ans, mon grand-père mourut d’une crise cardiaque, après plus de soixante ans à manier le feu du bout de sa canne. Ma famille en fut dévastée, moi la première. Cet homme qui m’avait tant appris, que ce soit la patience et la rigueur, venait de s’éteindre comme les fours de l’atelier. Mes frères rentrèrent pour les funérailles. Je ne leur adressais pas un mot. Leur absence avait été vécue comme un coup de poignard entre les côtes et leur retour n’en était pas moins douloureux. Leurs larmes me paraissaient fausses, leurs excuses vides de sens. Furieuse contre le monde entier, j’attendis la fin des quarante-neuf jours de deuil et quittais Miirihigashi sans un regard en arrière, sans un mot, pour rejoindre Tokyo.

Deux mois après mon arrivée dans la capitale, Zacharie Morgan m’arrachait à un type que j’étais en train de tabasser dans un bar.


***

« On peut pas plutôt aller boire un coup ? ...fin tu vois ce que je veux dire. Ça a l’air fucking boring… »

Natsuki pose les verres et revient vers la chambre en attrapant la housse du costume au passage. Elle fronce les sourcils en voyant Zacharie toujours nu, près du lit. De son côté, la femme ne semble pas savoir où se mettre ou quoi faire, visiblement abasourdie d’être ainsi ignorée.

« Tsunematsu Hyobe sera là, ainsi que Urushido Aiko. C'est l'occasion rêvée de te présenter à eux et de tenter d'entrer dans leurs petits papiers. Donc non, nous n'irons pas boire un coup. Va te laver. Tu pues le rhum bon marché et le sexe de basse qualité. »
« Eh ! »
« Désolée Mademoiselle, mais vous n'êtes pas mieux. Il y a une autre douche dans la chambre d'amis, interdiction de le rejoindre. Il est déjà suffisamment en retard comme ça. »


Elle accroche le cintre de la housse sur la porte du dressing et l’ouvre pour laisser apparaître le costume rangé à l’intérieur. L’air de dégoût sur le visage de Zacharie la ferait presque rire.

« Non mais je vais pas mettre ça t'es dingue! J'vais être inconfortable toute la soirée en plus d'avoir l'air d'un con ! Si tu veux que je suce pour réussir laisse-moi au moins être à mon avantage, qu'ils se laissent éblouir par ma magnificence ! Et puis, j'ai pas bu, c'est elle. »
« Ce costume coûte 400 000 yens. Evidemment qu'il est inconfortable et que tu auras l'air d'un con. Mais c'est ce qu'on te demande dans ce genre de soirée. »


Ajoute-t-elle avant de voir sa mine déconfite. Natsuki le regarde un instant avant qu’il ne tourne les talons pour se diriger, enfin, vers la salle de bain en maugréant à propos du fait d’être un pantin et de se prostituer pour réussir. Elle sourit avant que ses yeux ne se posent sur la fille qui s’est décidée à quitter le lit, enveloppée dans son drap. La jeune femme ne doute pas que Zach ne soit pas celui qui ait bu hier soir. Elle fait signe à la conquête du jour de quitter la chambre pour rejoindre l’autre salle d’eau du loft.

***

Je peux dire sans me tromper que ma rencontre avec Zach a littéralement changé ma vie. Ce type bizarre, souriant et sociable, que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam a décidé du jour au lendemain qu’il ne me lâcherait plus. Au début, je l’ai évidemment repoussé. Malgré les logements vétustes et les maigres repas que je parvenais à me faire, je refusais d’obtenir la charité de qui que ce soit, surtout pas d’un type qui me collait aux basques dès qu’il me voyait. Pourtant, j’ignore pourquoi, j’ai fini par apprécier passer du temps avec lui, à l’écouter parler, encore et encore. Il a tenté de me draguer au début mais il a fini par comprendre qu’il n’aurait rien de ma part. Et puis, un jour, alors que j’avais fini par accepter qu’il m’héberge après avoir été mise à la porte de mon dernier hôtel, il m’a fait une proposition que je n’ai pas pu refuser : me payer mes études afin de devenir son assistante dans sa future carrière de producteur.

J’ai refusé.

Du moins les trois premiers mois. Ignorant quoi faire de ma vie et ayant appris à aimer ce type bizarre comme s’il était mon propre frère – bien que la comparaison avec les miens pose problème – j’ai fini par accepter. Management, gestion, administratif… Mes quatre années de fac ont été bien remplies. Le projet de Zach était grand et je me suis surprise à mettre en lui toute ma confiance. J’ai appris tout ce que je devais savoir pour l’aider au mieux dans ses projets. Je me suis tournée vers des options liées au cinéma, pour découvrir toutes les ficelles du métier, connaître les termes du milieu et savoir dans quoi j’allais mettre les pieds. Moi qui n’avais jamais porté grand intérêt à l’école, je me suis plongée corps et âme dans mes études jusqu’à obtenir une double licence en management et administration.

Quatre années de dur labeur qui ont fini par payer. Quatre ans durant lesquels j’ai étudié, je suis sortie, j’ai eu des aventures, je me suis amusée et j’ai découvert la vie tokyoïte, bien loin de celle que j’avais à la campagne. Je me suis davantage construite durant ces années que durant toutes celles passées dans ma famille. J’ai observé de loin les manifestations liées aux Incontrôlables sans réellement m’en soucier, bien que leurs revendications me paraissent en partie justes. J’ai grandi, mûri et ai commencé à devenir la femme que je suis aujourd’hui, grâce au regard protecteur de celui qui est devenu mon meilleur ami, mon patron, mon frère et mon fils, en quelque sorte. Malgré ses défauts, dès que mes études se sont terminées, je l’ai rejoint aux Etats-Unis pour finaliser ma formation et mes connaissances.

Nous étions de l’autre côté du Pacifique quand l’océan a déferlé sur le Japon et malgré mes contacts moindres avec ma famille, mon inquiétude a été suffisamment grande pour que je les appelle afin de m’assurer que tout le monde allait bien. C’était le cas. Je ne suis revenue au pays que sept mois plus tard avant de repartir en Nouvelle-Zélande avec Zach. A notre retour un mois après, ce dernier lançait officiellement sa boite et je restais à ses côtés. Avec les années, notre amitié est devenue plus forte. Chacun de nous offrant sa confiance à l’autre. Je peux dire qu’il m’a littéralement confié sa vie et que je la gère comme si c’était la mienne. Et même nos différends, comme celui concernant sa naturalisation pour un mec, n’a pas pu nous séparer.


***

Assise sur l’un des tabourets de la cuisine, Natsuki grignote des chips aux crevettes en trainant sur sa tablette quand Zacharie sort enfin de la douche pour la rejoindre, toujours aussi nu en dehors d’une serviette sur la tête. Elle ignore sa nudité, loin de s’offusquer de son manque de pudeur à force d’y être habituée, et pousse l’assiette de ramens vers lui.

« C’est encore chaud. »
« Tu gères ! »
« Oh, et ta conquête est partie. Elle avait l’air contrarié. »
« C'est pas comme si je comptais la revoir, j't'ai dit qu'elle était pas mal, pas exceptionnelle. »


Répond-il en haussant les épaules avant d’attraper ses baguettes pour commencer à manger dès qu’il s’est installé face à elle.

« Navrée d’être unique. »
« Indeed, si je te perdais je ne pourrais pas m'en remettre. »


Natsuki récupère sa tablette pour vérifier quelque chose tout en souriant avant de reprendre.

« Je peux savoir ce que tu as fait hier pour avoir du mal à émerger à cette heure-ci ? Tu ne devais pas seulement aller en boite avec Shoichi ? »
« Hm ? »


La jeune femme regarde Zacharie refaire le cours de sa soirée, observant les différentes émotions passer sur les traits de son visage. L’avantage d’avoir arrêté de boire lui permet de ne pas avoir trop de difficultés à se souvenir de tout.

« Ouais, puis on a rencontré des meufs qui voulaient visiter Tokyo de nuit, on a fait la tournée des bars, fini avec les survivants par aller faire du sport... Puis j'ai passé la journée à continuer mon sport dans la chambre, au final, j'ai pas beaucoup pioncé. »

Le sourire rempli de fierté qu’il affiche l’amuse et elle se demande s’il a lieu d’être. Vu la contrariété affichée par la fille en partant, la question se pose. Quoique vu l’odeur qu’elle avait au réveil, Natsuki doute qu’elle se souvienne réellement des événements de la journée et de la nuit.

« Et bien c’est parfait. Après tout ce sport, tu vas être en forme pour faire des courbettes et des sourires. »
« C'est pas parce que j'ai passé la nuit à lécher des culs que j'ai envie de continuer… »


Il termine de manger et elle attrape l’assiette pour la mettre dans le lave-vaisselle, tout en ignorant sa remarque.

« Va t'habiller. Tu vas être en retard. Oh ! Et je t'ai dit que Teruya Noriyuki serait là aussi finalement ? Il avait décliné mais il semblerait qu'apprendre ta présence l'ait convaincu de se rendre disponible à son tour. »
« Again ? J'vais finir par croire qu'il a un crush sur moi. »


Le mépris de Zach à la mention du réalisateur est plus que perceptible. Présenté parfois comme son rival, leurs face-à-face commencent à faire parler.

« Okay then, j'refuse jamais un défi. Pis ça peut être fun de le voir s'faire écraser par ma supériorité. He's no match for me, il doit être maso. »

Zacharie se lève et retourne dans la chambre. Natsuki affiche un petit sourire satisfait face à cette nouvelle motivation. Elle tait le fait qu’il s’est lui-même fait piquer des contacts plus d’une fois en faisant passer ça pour une gentillesse de sa part. Son ego ne passe pas toujours les portes. Elle attend un peu en vérifiant les dernières infos sur sa tablette, que ce soit au niveau des invités du gala ou de l’agenda de son ami. Son regard passe sur la date du jour et son cœur se serre.

***

En bonne japonaise élevée, mon avis sur l’Incontestable a toujours été plutôt neutre, voire bon. Mes grands-parents ont fait partie des premiers couples mariés par cet ordinateur, puis mes parents après eux et aucun ne s’en est jamais plaint. Leurs mariages étaient heureux et leur famille également. J’ai baigné dans la propagande et je n’ai jamais contesté l’Incontestable. Alors quand j’ai reçu ma lettre rose, presque deux mois après la remise en marche de l’ordinateur gouvernemental et pendant que l’épidémie faisait encore des morts, j’ai davantage été ennuyée par le fait de devoir adapter mon emploi du temps à cette nouvelle contrainte que par le mariage en lui-même.

Tomoda Yashiro avait trente-cinq, huit de plus que moi. Il était grand, brun, les yeux noirs, typiquement japonais. Il aimait manger du natto le matin, se réveiller au gazouillis des oiseaux qu’il mettait sur son portable, manger un carré de chocolat avant de se coucher et entortiller mes cheveux autour de ses doigts. Il était comptable pour une petite maison d’éditions et ça lui convenait. Notre mariage a été tout ce qu’il y a de plus tranquille. Passées les premières semaines à nous apprivoiser, une relation agréable s’est installée entre nous. Nous nous entendions bien, le respect était présent, chacun acceptait l’autre sans concession ou presque. Evidemment nous avons eu nos disputes puis nos réconciliations. Il a été terrorisé quand mon profil ATAI m’a annoncé comme morte et il a débarqué en courant dans la salle de bain pour vérifier par lui-même. J’ai été tellement surprise que j’ai manqué de me casser une jambe en glissant dans la baignoire. Au final, nous en avons beaucoup ri. Yashiro est rapidement devenu une nouvelle constante dans ma vie déjà bien remplie. Il a fallu que je m’y habitue mais sa présence m’est devenue aussi naturelle que tout le reste. Il s’entendait bien avec Zacharie qui a toujours pris l’habitude de rentrer chez moi comme dans un moulin et si Yashiro en a d’abord été très perturbé, il a fini par s’y faire. Nos soirées passées ensemble étaient des moments de partage bienvenus.

Je me trouvais sur un lieu de tournage avec Zach quand j’ai reçu un appel m’annonçant que mon mari venait de faire un infarctus. Le temps que j’arrive à l’hôpital, il n’était déjà plus de ce monde. J’entends encore la voix du médecin m’expliquer que dix à trente pourcents des morts subites cardiaques concernent les moins de quarante ans. Aujourd’hui encore, je hais ces probabilités.

Je suis retournée voir ma famille, ressentant le besoin de les voir. Quelques années plus tôt, lorsque j’avais commencé mes études, mes frères m’avaient rejoint à Tokyo pour me convaincre de revenir. Je les avais envoyés promener. Par la suite, Ugetsu était revenu pour un événement de soufflage à Tokyo et m’avait emmené dans un atelier pour essayer de me pousser à reprendre la pratique. J’avais refusé. Nos relations n’ont jamais été très fusionnelles mais après le décès de Yashiro, j’ai voulu les voir. Deux ans plus tôt, Ugetsu avait eu une fille avec sa copine, hors mariage, faisant grimacer notre mère et notre grand-mère, même si ma nièce est devenu un rayon de soleil dans leur vie. Asahi était marié depuis quatre ans déjà et travaillait à l’atelier, ayant récupéré la place de notre grand-père. Comme à chaque fois que nous nous retrouvions ensemble, et même s’ils ont essayé de me soutenir dans mon deuil, nous étions trop différents pour que les choses se terminent bien. Ils ont de nouveau tenté de me dire que c’était le moment pour moi de revenir vivre avec eux, dans ce village qui m’avait vu grandir. Je suis repartie à Tokyo avec davantage de ressentiments qu’en arrivant.


***

Natsuki ferme l’agenda et se lève pour rejoindre la chambre à son tour. Quand elle arrive, Zacharie a enfilé son costume. Elle l’observe un instant, se faisant la réflexion que ce genre de vêtements lui va bien, même si le concerné n’aime pas ça.

« Au fait, tu dois rencontrer deux potentiels acteurs pour ton prochain film demain matin à 9h. »

Elle s’approche de lui pour remettre son col correctement et il relève le menton pour la laisser faire.

« Donc si tu as prévu une autre séance de sport cette nuit, fais en sorte de la remettre à plus tard. »
« Oh Fuck ! Pourquoi si tôt... Tu sais que j'ai horreur de me réveiller... Tu veux que je crève de fatigue c'est ça ? J'te préviens, t'es pas encore sur mon testament. »


Maugréé-t-il en attrapant la cravate qu’il se passe autour du cou. La jeune femme récupère les deux côtés de l’accessoire pour commencer à faire le nœud. Il ne lui faut pas plus de quelques secondes pour le faire puis elle ajuste le tout.

« Je pourrai m'être ajoutée moi-même sur ton testament que tu ne serais même pas au courant Zach. Alors sois sage et sois frais et dispo demain matin à 8h30, tu veux ? Je viendrais te chercher. »
« Je n’en attends pas moins de toi.  On va finir par se rendre compte que tu abuses de moi si tu continues à être aussi tyrannique... Je ne suis qu'une vache à lait pour toi. »


Ajoute-t-il après lui avoir embrassé le front. Elle sourit, flattée par le baiser, avant de se reprendre et de lui tapoter la joue.

« Evidemment que tu l’es. »

Elle remet ses cheveux blonds en place et jette un coup d’œil à l’heure avant de lui faire un grand sourire.

« Incroyable. Nous sommes à l'heure. Dépêche-toi, je te ferai un rappel des personnes présentes sur le chemin. »

Dix minutes plus tard, ils sont tous les deux dans la voiture et prennent la direction du gala où doit se présenter Zacharie.

Caractère
La plupart des gens qui connaissent Natsuki la décriront comme une femme forte et caractérielle. Ils n’auraient pas foncièrement tort. La jeune femme sait ce qu’elle veut à n’en point douter. Elle n’a jamais eu peur de foncer dans le tas, au sens propre comme au figuré. Dès son plus jeune âge, elle savait comment se faire respecter et faire regretter à ceux qui l’embêtaient de l’avoir cherché. Parfois décrite comme un « garçon manqué », elle a toujours détesté cette expression, se demandant pourquoi le fait de se battre faisait d’elle un garçon. Féministe sur les bords, elle déteste recevoir des attentions simplement parce qu’elle « est une femme ». Si elle est dans un mauvais jour, le simple fait de lui tenir la porte pourrait vous valoir un regard meurtrier et une réflexion bien cinglante. Cela ne l’empêche pas d’apprécier des petites attentions dans le cadre d’une relation de couple par exemple, mais seulement en privé dans ce cas-là. Sanguine, elle démarre au quart de tour quand quelque chose ne lui plait pas. N’ayant pas la langue dans sa poche, elle est d’une franchise un peu trop directe ce qui l’a parfois mise dans des positions délicates. Bien que ça ne l’ait jamais vraiment dérangé. Natsuki assume ses actes et ses paroles jusqu’au bout et, même si elle est nature butée, elle sait également quand elle est allée trop loin afin de s’excuser – bien que ce soit souvent en serrant les dents.

Natsuki est une girouette en plus d’être un caméléon. Elle est incapable de s’intéresser à quelque chose plus de quelques semaines. Elle peut très bien être passionnée d’émissions culinaires pendant quelques temps, enregistrer tout ce qui passe à la télé, tester de nouvelles recettes, puis du jour au lendemain, supprimer tous les enregistrements, se remettre aux plats tout faits et changer son abonnement au câble pour se tourner vers un sport de combat. L’activité qu’elle a pratiquée le plus longtemps a été le tir à l’arc pendant presque deux mois complets avant de finalement se tourner vers le coloriage de mandalas. Elle a constamment l’esprit en ébullition, incapable de s’arrêter une seule seconde de sa journée. Organisée, parfois beaucoup trop, elle refuse l’imprévu. Son emploi du temps est réglé à la minute près, surtout quand on sait qu’elle ne gère pas seulement le sien. La spontanéité ne lui plait pas car cela brise son programme millimétré et dans son travail, la rigueur est obligatoire. Autoritaire et inflexible, Natsuki sait se faire entendre et obéir. Si elle a un certain charisme naturellement, elle a également appris à le travailler pour ne jamais être ignorée, sauf si elle le décide.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la jeune femme ne fait pas partie de ces gens durs en apparence et doux intérieurement. Non, bien au contraire. Que ce soit dans la vie ou dans l’intimité, elle ne se laisse pas faire. Si elle sait être attentionnée et passionnée en amour, elle n’est pas du genre à vouloir se laisser protéger sans rien dire. Il est certain qu’un psychologue pourrait trouver beaucoup à redire sur son attitude, mais Natsuki a une confiance en elle inébranlable. Elle se sait belle et charismatique, ce qui est à la fois un défaut et une qualité, bien qu’elle ne soit pas du genre à se mettre trop en avant. Elle a conscience de ses atouts et sait les mettre en pratique. Alors, oui, dans le fond – mais vraiment tout au fond – il lui arrive de souffrir de l’éloignement avec sa famille mais elle se rappelle bien vite qu’elle n’a jamais eu besoin d’eux pour avancer.

Plutôt sociable, Natsuki aime sortir et profiter de la vie. Elle reste une jeune femme de vingt-huit ans et assume pleinement ses envies. Si elle fait encore le deuil de son mari un an après son départ, elle fait en sorte de ne pas s’apitoyer sur son sort car elle sait qu’il ne l’aurait pas voulu. Alors elle sort, fait des rencontres, profite de ses amis, gère son meilleur ami et patron, et continue d’avancer comme elle l’a toujours fait : la tête haute et les yeux fixés sur l’horizon.

Physique
Ceux qui connaissent Natsuki diraient qu’elle est un caméléon. D’une semaine à l’autre, d’un jour à l’autre, son allure varie aussi sûrement que les couleurs de ce reptile. Punk, rock, classique, working-girl, féminin, masculin, sexy, négligée… Elle alterne les styles extrêmement facilement. Il est parfois difficile de se dire que c’est la même personne que la veille que vous avez face à vous. Si elle veut être discrète, vous ne la remarquerez pas. Si elle souhaite qu’on la voie, alors vous la verrez. Sa garde-robe n’a rien à envier à certaines stars : robes, jupes, shorts, pantalons, joggings, tailleurs… Des couleurs vives ou ternes, des escarpins, baskets, compensées, sandales. Il y a de tout dans ses placards et elle sait parfaitement ce qu’elle possède. Ne vous avisez pas de lui emprunter quelque chose sans lui demander, car elle saura ce qu’il manque d’un simple coup d’œil. Le dessus de sa commode est également recouvert de bijoux en tout genre, allant de simples boucles d’oreilles discrètes à des choses beaucoup plus voyantes comme de grands anneaux, des piercings qu’elle alterne au gré de ses envies, des colliers et des bagues. Autant dire que sa trousse à maquillage est davantage un tiroir entier, et qu’elle joue du pinceau et de l’eye-liner comme personne. Elle adore également les tatouages temporaires qu’elle aime se mettre sur la peau à l’occasion.

Pas très grande, Natsuki mesure tout juste un mètre soixante et pèse cinquante-six kilos. Si elle aurait aimé, comme beaucoup de monde, être le genre de personne à pouvoir manger ce qu’elle veut sans prendre un gramme, c’est l’inverse pour elle. La jeune femme a plutôt tendance à prendre trois kilos dès qu’elle regarde un menu McDo de travers. Etant donné sa passion pour la nourriture, autant dire que c’est extrêmement frustrant. Alors elle fait du sport régulièrement et fait de son mieux pour s’entretenir. Si son travail lui permet de bouger énormément et de courir un peu partout, cela ne l’empêche pas d’aller nager une fois par semaine et d’enchaîner les cours de zumba, fitness, aquagym et autres sports selon ses envies. Toutefois, même si elle ne supporte pas de prendre de poids, Natsuki n’a aucun problème avec son corps. Elle a confiance en elle et cela se voit. Elle sait mettre ses formes en valeur et peu importe qu’elle ait un petit ventre et des petites poignées d’amour, cela lui convient et elle ne complexe pas dessus. Sa poitrine est également là pour qu’on la voit et les décolletés sont monnaie courante pour mettre son bonnet C en valeur. Néanmoins, elle reste humaine et cela ne l’empêche pas de grimacer face à ses genoux qu’elle trouve trop noueux, ses doigts trop longs, ses lèvres trop fines ou les petites cicatrices de brûlures qui parsèment ses mains et ses bras.

Si sa famille est japonaise depuis plusieurs générations, du sang étranger s’est glissé quelque part dans l’arbre généalogique. De ce fait, ses cheveux sont d’une jolie couleur rousse, héritée de sa grand-mère maternelle qu’elle connait très peu. Coupés aux carrés, Natsuki n’aime pas avoir les cheveux trop longs car s’il y a bien un domaine où elle n’est pas douée, c’est la coiffure. Pas besoin de se prendre la tête avec une coupe courte. Ses yeux sont d’un marron si clair qu’on a tendance à penser qu’il tend vers l’orange. Elle se demande souvent si quelqu’un de sa famille n’a pas fait une modification génétique sans l’assumer. Souriante, la jeune femme fait rarement la tête, bien au contraire. Ses expressions sont chaleureuses et avenantes. Pourtant, si vous la mettez en colère, elle peut se fermer violemment. Rares sont les personnes parvenant à déclencher une telle réaction. Toutefois, c’est une jeune femme très expressive et au quotidien il est facile de savoir ce qu’elle pense ou ressent. Du moins, si elle ne souhaite pas cacher quelque chose.

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Natsuki Kobayashi
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ahh le feat
quel plaisir vraiment, elle est si perf

jsp c qui mais j'ai fortement hâte de lire la suite et de voir la (suite?? j'allais dire la même chose en fait)
et bref le physique appelle à la suite, que je need très fortement... rebienvenue en tt cas ✨
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Hold me close and I won't leave || Natsuki 3488335006 honte à moi, je ne suis pas venu poster ici et j'ai même loupé le first com Hold me close and I won't leave || Natsuki 501520050
Je t'ai déjà fait part de tout mon amour pour elle en PV 😌 ♥ Elle est géniale, cette fiche est super agréable à lire et j'ai hâte de lire la suite et de la voir validée Hold me close and I won't leave || Natsuki 3473897349 Rebienvenue et bon courage pour la suite ! Hold me close and I won't leave || Natsuki 1362171446

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Tomie > Nobara la meilleure 😌 Merci en tout cas, j'essaie de me dépêcher pour te donner la suite ² 👀

Zach > C'est scandaleux, je t'en veux beaucoup de ne pas avoir été le premier Hold me close and I won't leave || Natsuki 3912395661 Mais c'est pas grave, je te priverai seulement d'argent de poche le mois prochain Hold me close and I won't leave || Natsuki 3473897349 Merci à toi aussi ♥
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Oh, la voilà ! Hold me close and I won't leave || Natsuki 2432113367

Rebienvenue. Quelle beauté ! Quelle prestance ! Hold me close and I won't leave || Natsuki 3766924225
Hâte de lire la suite, bonne rédac' ✨
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Mademoiselle, je sens que nous allons devoir travailler ensemble pour notre bien commun.

À très vite 👀
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J'ai une Arisa qui voudrait lui toucher deux mots à propos du fameux gamin qu'elle surveille. Hold me close and I won't leave || Natsuki 3385346026
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Jamais deux sans trois comme on dit.

Re hellcome ^w^
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Leandro > Merci, merci Hold me close and I won't leave || Natsuki 3901106482

Kintaro > Effectivement, il va falloir que nous en discutions Hold me close and I won't leave || Natsuki 3385346026

Toni > Aucun souci, je la case dans mon agende 😌

Tsubaki > Merci beaucoup ♥


Et j'annonce que j'ai terminé ma fiche dans les temps ! Hold me close and I won't leave || Natsuki 1362171446 C'était pas gagné Hold me close and I won't leave || Natsuki 128457956
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Hello et rebienvenue o/

une micro faute - avant de d'ouvrir
et "de grands anneaux" - est-ce que tu voulais dire créoles ? 👀

Sinon fiche très chouette à lire, j'ai particulièrement aimé la narration de son histoire personnelle, il y a quelque chose de très appréciable ! Hold me close and I won't leave || Natsuki 4115966937 Elle a du mordant, hâte de la voir en rp.
On remercie Zacharie pour son caméo, toujours fidèle à lui-même Hold me close and I won't leave || Natsuki 3766924225

Amuses-toi bien Hold me close and I won't leave || Natsuki 2984341854
Pré-validation par Arisa
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
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Hold me close and I won't leave || Natsuki 716243026

Tu es validé(e) !

Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !

N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.
• De réserver votre avatar ; Réservation avatars si le code n'a pas été ajouté à la fin de votre fiche
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici ! ♥
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites. ♥

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

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Hold me close and I won't leave || Natsuki Makoto%20-%20signature
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits Hold me close and I won't leave || Natsuki 1647638966

Spoiler:
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Natsuki Kobayashi
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Merci beaucoup Hold me close and I won't leave || Natsuki 1362171446

Arisa, peut-être arriverai-je un jour à le faire changer 😌
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