— Just Married —
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11/02/2022
Les plus du perso :
Je suis: neutre.
Époux/se : célibataire
Autre: lev parle russe, anglais et japonais en #8fb8d4
Lev Seragaki

lev seragaki
there lived a certain man in russia long ago
Informations générales

Nom : Seragaki
Prénom.s : Lev
Âge : 22 ans (22.08.2091)
Genre : masculin (he/him)
Origines : russe & japonais
Activité : étudiant à la fac d'histoire et mythologie gréco-romaine, tiktoker et twittos certifié.
Sexualité : omnivore
Avatar : childe/tartaglia - genshin impact
Règlement : Validé - Ari
Chemin je commence à connaître le chemin
Autre : de retour pour vous (plus) de mauvais tours
Prénom.s : Lev
Âge : 22 ans (22.08.2091)
Genre : masculin (he/him)
Origines : russe & japonais
Activité : étudiant à la fac d'histoire et mythologie gréco-romaine, tiktoker et twittos certifié.
Sexualité : omnivore
Avatar : childe/tartaglia - genshin impact
Règlement : Validé - Ari
Chemin je commence à connaître le chemin
Autre : de retour pour vous (plus) de mauvais tours
he was big and strong, in his eyes a flaming glow
Tu n'as pas toujours été Seragaki.
Comme tu n'as pas toujours été Lucifer.
Tu es né Aslanov, d'une mère en partie japonaise et d'un père uniquement russe, entouré par la toundra et les températures glaciales de Sibérie. Le second d'une fratrie de six dont vous avez tous hérité des cheveux et des yeux de votre géniteur, des traits lisses et fins de votre mamochka. La violence du premier, l'amour et la tendresse de la deuxième. Effet clair-obscur, encore à l'heure actuelle tu n'as jamais saisi comment et pourquoi tes parents s'étaient mis ensemble. Tu crus comprendre que l'une souhaitait fuir son pays et sa société totalitaire tandis que l'autre y avait trouvé l'opportunité d'épouser une femme aussi magnifique que docile afin d'assouvir un fétichisme malsain.
Andrej Aslanov était aussi beau qu'il était cruel. Aussi beau qu'il était malade.
Tu te souviens encore de son ombre projetée sur le vieux parquet quand il se tenait dans l'encadrement de la porte, ses yeux visibles malgré l'obscurité tant ils luisaient. Une lueur qu'aucun de vous n'avait jamais su interpréter, à mi-chemin entre la haine et le sadisme. C'est ce qu'il était. Sadique. Lui se disait perfectionniste.
Il n'avait pas besoin d'alcool ou de malheur pour tenter de justifier son comportement. Il était ce qu'il était. Un peintre. Un marionnettiste. Non. Un sculpteur. Il voulait façonner à sa guise sa famille, la formater dans son idéal imaginaire. Une femme au foyer parfaite, des enfants parfaits. Des coups de poinçon, de râpe ou de rifloir pour donner -et redonner, encore et encore- forme à la pierre, même la plus dure. Sous la roche, des effusions de sang.
De l’extérieur, une image de famille exemplaire. Vous étiez beaux, tous si beaux. Des petites têtes blondes et rousses, de grands yeux clairs intelligents, d’émeraude et de lapis. À l’école, des notes au-dessus de la moyenne. Toujours bien habillés. Une chance d’habiter dans un pays si froid, les manches longues les trois quarts de l’année cachaient les ecchymoses pour ne pas soulever de questions. Quand venait l’été, Andrej se montrait toujours créatif pour ne pas laisser de marques trop visibles. Trop évidentes. Quand il taillait, c’était toujours avec minutie, et si besoin était, ne se limitait pas qu’au physique.
De vous tous -ses oeuvres-, tu étais celui avec la pire composition. Pourtant tu essayais. Tu te souviens de comme tu essayais. Mais ce n’était jamais assez bien. C’est pas ce que maman disait. L’aîné conforme à son créateur, les autres trop jeunes -trop fragiles- pour se défouler pleinement dessus, c’est toi par dépit qui encaissait le plus. Et ça te convenait. Tant que ce n’était pas tes petits frères, tes petites sœurs ou pire. Maman. La voir pleurer te déchirait le cœur. Tu préférais que ça soit toi. Et cette simple idée te soulageait tellement que tu finissais par sourire sous l’averse qui s’abattait sur toi.
Dans ces moments, tu te surprenais à penser que t’en voulais plus à ton frère aîné qu’à ton géniteur, rangé du mauvais côté par lâcheté et se sauver tout seul. Aux yeux des autres et des tiens, c’est toi qui endossait le mieux le rôle de grand frère et tu sais qu’à cette époque, et aujourd’hui encore, t’aurais pu tuer pour assurer ton rôle.
Et inconsciemment, c’est ce que t’as essayé de faire.
T’avais 17 ans. Maman vous en avait parlé, un soir d’été. Tu ne savais pas si c’était l’espoir ou le ciel et sa robe pleine d’étoiles qui avait fait naître cette lueur au fond de ses grands yeux noirs. Vous alliez partir loin d’ici, juste tous les sept, sans lui. Sans Andrej. T’avais voulu hurler. De soulagement et de peur. T’étais terrifié. Et tu as compris plus tard à quel point ta peur était justifiée. T’avais emmené Anya et Mika, les deux derniers, ramasser du bois. La suite te parait flou. Une aquarelle mélangeant le blanc de la neige qui allait servir de linceul et le rouge écarlate qui avait jaillit juste après. Souvenir lointain d’un cri déchirant qui te hante toujours encore et celui de la douleur dans tes poumons après avoir couru jusqu’à la maison. Ton créateur se tenait devant ta mère et les autres enfants, bloquant la porte. Je sais tout, je sais tout. Il répétait ces mêmes mots en boucle et la vue du couteau dans sa main t’avait coupé le souffle. C’est quand il osa s’avancer de la fratrie que t’as arrêté pour la première fois de réfléchir. Tes bras s'étaient enroulés brusquement autour de lui pour le retenir de commettre le pire et tu y as mis tellement de force Levioshoka, tellement de force pour les défendre, tellement de force tant tu avais peur que vous vous êtes retrouvés à terre. Un fracas assourdissant et ce fut un liquide chaud et poisseux qui vint t'accueillir en premier, rajoutant un peu plus de rouge à tes cheveux, un peu plus d’effroi dans tes yeux.
Andrej à terre, le métal enfoncé tout près de sa colonne.
19 ans. La maison de correction t’as enlevé un peu de bleus dans tes iris et sur ta peau, un peu de ton sourire. L’étoile est morte, éteinte. Tu sais plus comment le couteau s’est retrouvé logé dans son dos alors qu’il le tenait devant lui. Quand tu y penses encore, ça te rend fou. Tu sais pas si, sur un coup de folie, c’est toi qui l’a mis là. Ou si c'était le hasard qui s’était joué de toi. À cause de cet élément, la légitime défense n’a pas été reconnue. Andrej a survécu, avec un handicap, et n'a jamais porté plainte. Il ne vous a plus jamais approché. Sûrement plus pour se sauver lui, de ses méfaits, que pour te sauver toi. Quand t’es revenu, les traits renforcés, les yeux grimés d’auréoles pourpres, une légère barbe sur tes pommettes parsemées, tu t’es rendu compte à quel point le reflet dans le miroir était semblable au sien. À quel point ces deux dernières années t’avaient éloigné de Lev pour te rapprocher de Andrej. Même libéré de ton bourreau, tout te ramenait à lui, à ta vie d’avant. T’as changé de nom, pris celui de ta mère et sur un coup tête; pris également un billet pour son pays à elle. Pour te changer les idées. Que tu avais dit.
T’es pas rentré.
T’as 20 ans quand t'atterris au Japon. Tu sais pas ce que tu fous ici ni ce que tu vas faire. Tu trouves une résidence étudiante, t’inscris dans une fac internationale en ramenant sous le bras le peu de vocabulaire que ta mère a pu t’enseigner lors de ton enfance, quand elle ne voulait pas qu’il -lui-, comprenne vos arcanes échangées dans le creux de l’oreille. T’écoutes des bribes de ce qui se passe, t’en comprends la moitié, d’ce qui se raconte sur l’Incontestable. T’as pas d’avis sur lui, ni sur cette politique. Ça t’échappe, tu t’dis que c’est toujours mieux que la dictature que t’as subi pendant 17 ans de ta vie.
L’étoile a recommencé à émettre une faible lumière, mais il lui faudra du temps avant de briller à nouveau complètement. Pour le moment, elle ramasse ses fragments toujours éparpillés. Ça lui arrive encore d’exploser. Elle a du mal à se contrôler, asservie à la frénésie et aux véhémences passées. Y’a quelque chose en elle qui est cassé depuis le jour de l’accident et ces mois de pénitence.
Aujourd’hui t’as 22 ans mais pas toutes tes dents. T’en as perdu une ou deux dans des bagarres de couloir, dans tes séances de sabotage. Tes études, c’est pour te faire passer le temps, les réseaux pour flatter ton égo. À l’école, tu es Gaikokujin, sur internet et dehors, t’es solnishka. Tu trouves ça un peu hypocrite mais ça te va. Ta différence plaît plus qu’elle n’est détestée et ta belle gueule d’ange t’aide à te trouver une place dans la société nippone alors que tu t’es lancé juste pour t’amuser. T’as jamais pris ça au sérieux mais ça marche, tu prends ce qui te tombe sous la main de toute façon. T’as toujours pas de projet ni de philosophie de vie, Lev. C’est pas ta priorité, pour l’instant tu veux juste rattraper tes années perdues à trembler de froid et de peur et vivre enfin l’enfance que le petit garçon endormi en toi a toujours rêvé.
Comme tu n'as pas toujours été Lucifer.
Tu es né Aslanov, d'une mère en partie japonaise et d'un père uniquement russe, entouré par la toundra et les températures glaciales de Sibérie. Le second d'une fratrie de six dont vous avez tous hérité des cheveux et des yeux de votre géniteur, des traits lisses et fins de votre mamochka. La violence du premier, l'amour et la tendresse de la deuxième. Effet clair-obscur, encore à l'heure actuelle tu n'as jamais saisi comment et pourquoi tes parents s'étaient mis ensemble. Tu crus comprendre que l'une souhaitait fuir son pays et sa société totalitaire tandis que l'autre y avait trouvé l'opportunité d'épouser une femme aussi magnifique que docile afin d'assouvir un fétichisme malsain.
Andrej Aslanov était aussi beau qu'il était cruel. Aussi beau qu'il était malade.
Tu te souviens encore de son ombre projetée sur le vieux parquet quand il se tenait dans l'encadrement de la porte, ses yeux visibles malgré l'obscurité tant ils luisaient. Une lueur qu'aucun de vous n'avait jamais su interpréter, à mi-chemin entre la haine et le sadisme. C'est ce qu'il était. Sadique. Lui se disait perfectionniste.
Il n'avait pas besoin d'alcool ou de malheur pour tenter de justifier son comportement. Il était ce qu'il était. Un peintre. Un marionnettiste. Non. Un sculpteur. Il voulait façonner à sa guise sa famille, la formater dans son idéal imaginaire. Une femme au foyer parfaite, des enfants parfaits. Des coups de poinçon, de râpe ou de rifloir pour donner -et redonner, encore et encore- forme à la pierre, même la plus dure. Sous la roche, des effusions de sang.
De l’extérieur, une image de famille exemplaire. Vous étiez beaux, tous si beaux. Des petites têtes blondes et rousses, de grands yeux clairs intelligents, d’émeraude et de lapis. À l’école, des notes au-dessus de la moyenne. Toujours bien habillés. Une chance d’habiter dans un pays si froid, les manches longues les trois quarts de l’année cachaient les ecchymoses pour ne pas soulever de questions. Quand venait l’été, Andrej se montrait toujours créatif pour ne pas laisser de marques trop visibles. Trop évidentes. Quand il taillait, c’était toujours avec minutie, et si besoin était, ne se limitait pas qu’au physique.
De vous tous -ses oeuvres-, tu étais celui avec la pire composition. Pourtant tu essayais. Tu te souviens de comme tu essayais. Mais ce n’était jamais assez bien. C’est pas ce que maman disait. L’aîné conforme à son créateur, les autres trop jeunes -trop fragiles- pour se défouler pleinement dessus, c’est toi par dépit qui encaissait le plus. Et ça te convenait. Tant que ce n’était pas tes petits frères, tes petites sœurs ou pire. Maman. La voir pleurer te déchirait le cœur. Tu préférais que ça soit toi. Et cette simple idée te soulageait tellement que tu finissais par sourire sous l’averse qui s’abattait sur toi.
Dans ces moments, tu te surprenais à penser que t’en voulais plus à ton frère aîné qu’à ton géniteur, rangé du mauvais côté par lâcheté et se sauver tout seul. Aux yeux des autres et des tiens, c’est toi qui endossait le mieux le rôle de grand frère et tu sais qu’à cette époque, et aujourd’hui encore, t’aurais pu tuer pour assurer ton rôle.
Et inconsciemment, c’est ce que t’as essayé de faire.
T’avais 17 ans. Maman vous en avait parlé, un soir d’été. Tu ne savais pas si c’était l’espoir ou le ciel et sa robe pleine d’étoiles qui avait fait naître cette lueur au fond de ses grands yeux noirs. Vous alliez partir loin d’ici, juste tous les sept, sans lui. Sans Andrej. T’avais voulu hurler. De soulagement et de peur. T’étais terrifié. Et tu as compris plus tard à quel point ta peur était justifiée. T’avais emmené Anya et Mika, les deux derniers, ramasser du bois. La suite te parait flou. Une aquarelle mélangeant le blanc de la neige qui allait servir de linceul et le rouge écarlate qui avait jaillit juste après. Souvenir lointain d’un cri déchirant qui te hante toujours encore et celui de la douleur dans tes poumons après avoir couru jusqu’à la maison. Ton créateur se tenait devant ta mère et les autres enfants, bloquant la porte. Je sais tout, je sais tout. Il répétait ces mêmes mots en boucle et la vue du couteau dans sa main t’avait coupé le souffle. C’est quand il osa s’avancer de la fratrie que t’as arrêté pour la première fois de réfléchir. Tes bras s'étaient enroulés brusquement autour de lui pour le retenir de commettre le pire et tu y as mis tellement de force Levioshoka, tellement de force pour les défendre, tellement de force tant tu avais peur que vous vous êtes retrouvés à terre. Un fracas assourdissant et ce fut un liquide chaud et poisseux qui vint t'accueillir en premier, rajoutant un peu plus de rouge à tes cheveux, un peu plus d’effroi dans tes yeux.
Andrej à terre, le métal enfoncé tout près de sa colonne.
19 ans. La maison de correction t’as enlevé un peu de bleus dans tes iris et sur ta peau, un peu de ton sourire. L’étoile est morte, éteinte. Tu sais plus comment le couteau s’est retrouvé logé dans son dos alors qu’il le tenait devant lui. Quand tu y penses encore, ça te rend fou. Tu sais pas si, sur un coup de folie, c’est toi qui l’a mis là. Ou si c'était le hasard qui s’était joué de toi. À cause de cet élément, la légitime défense n’a pas été reconnue. Andrej a survécu, avec un handicap, et n'a jamais porté plainte. Il ne vous a plus jamais approché. Sûrement plus pour se sauver lui, de ses méfaits, que pour te sauver toi. Quand t’es revenu, les traits renforcés, les yeux grimés d’auréoles pourpres, une légère barbe sur tes pommettes parsemées, tu t’es rendu compte à quel point le reflet dans le miroir était semblable au sien. À quel point ces deux dernières années t’avaient éloigné de Lev pour te rapprocher de Andrej. Même libéré de ton bourreau, tout te ramenait à lui, à ta vie d’avant. T’as changé de nom, pris celui de ta mère et sur un coup tête; pris également un billet pour son pays à elle. Pour te changer les idées. Que tu avais dit.
T’es pas rentré.
T’as 20 ans quand t'atterris au Japon. Tu sais pas ce que tu fous ici ni ce que tu vas faire. Tu trouves une résidence étudiante, t’inscris dans une fac internationale en ramenant sous le bras le peu de vocabulaire que ta mère a pu t’enseigner lors de ton enfance, quand elle ne voulait pas qu’il -lui-, comprenne vos arcanes échangées dans le creux de l’oreille. T’écoutes des bribes de ce qui se passe, t’en comprends la moitié, d’ce qui se raconte sur l’Incontestable. T’as pas d’avis sur lui, ni sur cette politique. Ça t’échappe, tu t’dis que c’est toujours mieux que la dictature que t’as subi pendant 17 ans de ta vie.
L’étoile a recommencé à émettre une faible lumière, mais il lui faudra du temps avant de briller à nouveau complètement. Pour le moment, elle ramasse ses fragments toujours éparpillés. Ça lui arrive encore d’exploser. Elle a du mal à se contrôler, asservie à la frénésie et aux véhémences passées. Y’a quelque chose en elle qui est cassé depuis le jour de l’accident et ces mois de pénitence.
Aujourd’hui t’as 22 ans mais pas toutes tes dents. T’en as perdu une ou deux dans des bagarres de couloir, dans tes séances de sabotage. Tes études, c’est pour te faire passer le temps, les réseaux pour flatter ton égo. À l’école, tu es Gaikokujin, sur internet et dehors, t’es solnishka. Tu trouves ça un peu hypocrite mais ça te va. Ta différence plaît plus qu’elle n’est détestée et ta belle gueule d’ange t’aide à te trouver une place dans la société nippone alors que tu t’es lancé juste pour t’amuser. T’as jamais pris ça au sérieux mais ça marche, tu prends ce qui te tombe sous la main de toute façon. T’as toujours pas de projet ni de philosophie de vie, Lev. C’est pas ta priorité, pour l’instant tu veux juste rattraper tes années perdues à trembler de froid et de peur et vivre enfin l’enfance que le petit garçon endormi en toi a toujours rêvé.
Physique

Ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Ces quidams ingénus qui t’acclament comme si t’étais sur scène. C’est comme si, n’est-ce pas solnishka ? T’es sur le podium des réseaux, tous les spots lumineux tournés vers toi; une photo de ta belle gueule et t’as toute l’attention. L’exultation défendue, tu regardes les statistiques qui surpassent déjà les précédentes et ne cessent d’accroître ton ego imbécile. Ton pouce glisse sur l’écran pour les fermer et ta photo réapparaît sous tes yeux. Tu la contemples à nouveau, examinant chaque détail minutieusement calculé, de ta pose élancée à ton expression éloquente.
Depuis petit, on te l’a toujours dit, tu es beau. Un visage séraphin aux traits délicats enluminé de deux iris céruléennes, deux océans bleus si bleus qu’on s’y noie dedans volontiers. Tu as hérité du charme hyperboréen, blond vénitien et yeux clairs, corps fin et svelte, l’esthétique russe dans toute sa magnificence. Tes cheveux en fils d’or surplombent ton portrait comme une auréole en barda sur ta tête, illuminant ta peau opaline parsemée de petites étoiles rousses sur la nervure de ton nez. Droit, anguleux et court, il souligne tes joues creusées et tes lèvres fines peintes avec de l’Agate rose. Tu ressembles à un ange, solnishka. Un ange céleste à qui on aurait arraché les ailes pour l’envoyer sur terre mais qui a su conserver toute la pureté de ses apparats. Mais la réalité est bien plus sépulcrale.
Archange déchu. Tu n’es pas un saint, t’es juste malsain.
Mais ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Et rien ne t'apporte plus que ta propre gloire.
Tu te lèves, étire ton mètre quatre-vingt-huit, ta satisfaction assouvie. Dernier coup d'œil dans le miroir, t'inspectes ton corps aussi fin que athlétique et passe tes mains graciles sur ton torse subtilement dessiné où s’échouent encore d’autres constellations. Il y en avait plus, enfant. Pas des rousses, ni des brunes. C’était des améthystes, des Pléiades pourpres sur une toile blême. Tes doigts passent sur ces souvenirs fantômes qui ornaient autrefois ton corps et leurs vestiges imprimés à jamais. Tu finis par te rhabiller d’un sweat ample pour les occulter. Dans ta poche, ton portable n’arrête pas de s’affoler sous les notifications.
Ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Ces quidams ingénus qui t’acclament comme si t’étais sur scène. C’est comme si, n’est-ce pas solnishka ? T’es sur le podium des réseaux, tous les spots lumineux tournés vers toi; une photo de ta belle gueule et t’as toute l’attention. L’exultation défendue, tu regardes les statistiques qui surpassent déjà les précédentes et ne cessent d’accroître ton ego imbécile. Ton pouce glisse sur l’écran pour les fermer et ta photo réapparaît sous tes yeux. Tu la contemples à nouveau, examinant chaque détail minutieusement calculé, de ta pose élancée à ton expression éloquente.
Depuis petit, on te l’a toujours dit, tu es beau. Un visage séraphin aux traits délicats enluminé de deux iris céruléennes, deux océans bleus si bleus qu’on s’y noie dedans volontiers. Tu as hérité du charme hyperboréen, blond vénitien et yeux clairs, corps fin et svelte, l’esthétique russe dans toute sa magnificence. Tes cheveux en fils d’or surplombent ton portrait comme une auréole en barda sur ta tête, illuminant ta peau opaline parsemée de petites étoiles rousses sur la nervure de ton nez. Droit, anguleux et court, il souligne tes joues creusées et tes lèvres fines peintes avec de l’Agate rose. Tu ressembles à un ange, solnishka. Un ange céleste à qui on aurait arraché les ailes pour l’envoyer sur terre mais qui a su conserver toute la pureté de ses apparats. Mais la réalité est bien plus sépulcrale.
Archange déchu. Tu n’es pas un saint, t’es juste malsain.
Mais ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Et rien ne t'apporte plus que ta propre gloire.
Tu te lèves, étire ton mètre quatre-vingt-huit, ta satisfaction assouvie. Dernier coup d'œil dans le miroir, t'inspectes ton corps aussi fin que athlétique et passe tes mains graciles sur ton torse subtilement dessiné où s’échouent encore d’autres constellations. Il y en avait plus, enfant. Pas des rousses, ni des brunes. C’était des améthystes, des Pléiades pourpres sur une toile blême. Tes doigts passent sur ces souvenirs fantômes qui ornaient autrefois ton corps et leurs vestiges imprimés à jamais. Tu finis par te rhabiller d’un sweat ample pour les occulter. Dans ta poche, ton portable n’arrête pas de s’affoler sous les notifications.
Ils t’aiment.
Regarde comme ils t’aiment.
Caractère
Il te déteste.
Regarde comme il te déteste.
T’as grandi en te regardant dans le reflet de ses yeux haineux, tu t’es bâti sur cette illusion factice, persuadé d’être la succube qu’il décrivait, criait. Il a peint sur toi des astres indélébiles, des sillons dans ta peau, dans le cerveau. Maman t’as toujours dit, t’es un ange, son ange, solnishka. Sa lumière, Phébus sa déité soleil. Pour lui, t’es Icare qui s’est brûlé les ailes, grisé par son propre égoïsme et a tout entraîné dans sa chute. T’as toujours trouvé ses sermons plus convaincants que les prêches de ta matrice, peut-être parce qu’il les écrivait sur ton petit corps pour pas que tu les oublies. Alors t’es devenu ce qu’il dénonçait, en antithèse avec ta figure séraphique. On dit que les êtres spirituels les plus beaux sont en réalité des démons déguisés d’artifices.
T’es pas quelqu’un de bien, tu le sais sans le savoir. Ou tu préfères juste ne pas le voir. Mettre tes vices sur le compte de ton enfance fracturée serait trop facile car t’as jamais eu l’intention de changer. Mais malgré ce brouillard funeste qui plane au-dessus de ta tête, tu restes le petit solnishka; t’es rayonnant en surface, t’inonde ton monde de tes rayons incandescents. Tu portes constamment un masque souriant, d’la malice plein les iris, plein les mots. Tu fais rire, t’arraches des sourires, t’es drôle et vivant, tellement vivant. S’ils savaient. À quel point t’es mort là-dedans.
Une couronne dissimulée, t’es le despote de la vanité. Depuis que tu as brisé tes chaînes, tu ne vis que pour toi. Ô comme tu lui ressembles, Lev. Tu reproduis ce que tu as subi avec juste moins de tyrannie, avec une violence divergente. T’en as rien à foutre des autres, on s’est pas soucié de toi, tout petit, alors pourquoi tu te soucierais d’eux ? C’est aux parents d’inculquer l’empathie chez les enfants tandis que toi, on ne t’a inculqué que des coups que tu t’amuses à rendre. Mais tu sais jamais quand t’arrêter. La terreur mutée en un fantasme défendu, tu te rappelles plus exactement du moment où t’as réalisé que t’aimais juste ça. T’as juste perdu pied, sans jamais réussir à t’arrêter de couler, sinistré par le ressac de la frénésie.
Et plus tu t’enfonces, plus t’en raffoles. T’enchaines les bagarres inutiles, les situations dangereuses, tu t’autosabotes. Détruire, détruire, tout détruire. Te détruire. Tu comptes plus les fois où t’as failli y passer mais t’es comme un camé, addict à l’adrénaline, addict au danger. Faire le mal, avoir mal. C’est ancré dans tes veines depuis ta naissance, même après t’être extirpé des griffes de ton créateur, tu t’es senti obligé de continuer.
Hormis tes penchants immoraux, t’attires étrangement les autres comme un aimant. T’es de ceux qui réunissent les autres autour de soi, t’es cette petite source de chaleur vers qui on se tourne instinctivement et t’adores ça, Lev. Ce complexe de supériorité malsain, que tu camoufles sous tes beaux sourires, sous tes belles paroles, sous tes jolis illusions. T’es un séducteur, qu’est-ce que t’aimes ça, l’attention, les déclarations en l’air - t’envoyer en l’air.
Tant qu’on ne creuse pas plus loin, qu’on ne regarde pas ce sang qu’il y a sur tes mains, ces ecchymoses sur ton corps, t’as l'air d'un ange, solnishka.
Derrière l'étoile du démon, y'a un enfant qui dort.
Regarde comme il te déteste.
T’as grandi en te regardant dans le reflet de ses yeux haineux, tu t’es bâti sur cette illusion factice, persuadé d’être la succube qu’il décrivait, criait. Il a peint sur toi des astres indélébiles, des sillons dans ta peau, dans le cerveau. Maman t’as toujours dit, t’es un ange, son ange, solnishka. Sa lumière, Phébus sa déité soleil. Pour lui, t’es Icare qui s’est brûlé les ailes, grisé par son propre égoïsme et a tout entraîné dans sa chute. T’as toujours trouvé ses sermons plus convaincants que les prêches de ta matrice, peut-être parce qu’il les écrivait sur ton petit corps pour pas que tu les oublies. Alors t’es devenu ce qu’il dénonçait, en antithèse avec ta figure séraphique. On dit que les êtres spirituels les plus beaux sont en réalité des démons déguisés d’artifices.
T’es pas quelqu’un de bien, tu le sais sans le savoir. Ou tu préfères juste ne pas le voir. Mettre tes vices sur le compte de ton enfance fracturée serait trop facile car t’as jamais eu l’intention de changer. Mais malgré ce brouillard funeste qui plane au-dessus de ta tête, tu restes le petit solnishka; t’es rayonnant en surface, t’inonde ton monde de tes rayons incandescents. Tu portes constamment un masque souriant, d’la malice plein les iris, plein les mots. Tu fais rire, t’arraches des sourires, t’es drôle et vivant, tellement vivant. S’ils savaient. À quel point t’es mort là-dedans.
Une couronne dissimulée, t’es le despote de la vanité. Depuis que tu as brisé tes chaînes, tu ne vis que pour toi. Ô comme tu lui ressembles, Lev. Tu reproduis ce que tu as subi avec juste moins de tyrannie, avec une violence divergente. T’en as rien à foutre des autres, on s’est pas soucié de toi, tout petit, alors pourquoi tu te soucierais d’eux ? C’est aux parents d’inculquer l’empathie chez les enfants tandis que toi, on ne t’a inculqué que des coups que tu t’amuses à rendre. Mais tu sais jamais quand t’arrêter. La terreur mutée en un fantasme défendu, tu te rappelles plus exactement du moment où t’as réalisé que t’aimais juste ça. T’as juste perdu pied, sans jamais réussir à t’arrêter de couler, sinistré par le ressac de la frénésie.
Et plus tu t’enfonces, plus t’en raffoles. T’enchaines les bagarres inutiles, les situations dangereuses, tu t’autosabotes. Détruire, détruire, tout détruire. Te détruire. Tu comptes plus les fois où t’as failli y passer mais t’es comme un camé, addict à l’adrénaline, addict au danger. Faire le mal, avoir mal. C’est ancré dans tes veines depuis ta naissance, même après t’être extirpé des griffes de ton créateur, tu t’es senti obligé de continuer.
Hormis tes penchants immoraux, t’attires étrangement les autres comme un aimant. T’es de ceux qui réunissent les autres autour de soi, t’es cette petite source de chaleur vers qui on se tourne instinctivement et t’adores ça, Lev. Ce complexe de supériorité malsain, que tu camoufles sous tes beaux sourires, sous tes belles paroles, sous tes jolis illusions. T’es un séducteur, qu’est-ce que t’aimes ça, l’attention, les déclarations en l’air - t’envoyer en l’air.
Tant qu’on ne creuse pas plus loin, qu’on ne regarde pas ce sang qu’il y a sur tes mains, ces ecchymoses sur ton corps, t’as l'air d'un ange, solnishka.
Derrière l'étoile du démon, y'a un enfant qui dort.
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Lev Seragaki

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Kaori Mogami

Re-bienvenu et bon courage pour ta fiche ! o/

Kao râle en #9900ff
Kaori Mogami

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Invité

C quoi cette fiche horriblement vide 
On veut de la matière, de la bouffe à se mettre sous la dent lô
Vite, vite, vite
Allez bon courage pour la rédaction babe

On veut de la matière, de la bouffe à se mettre sous la dent lô

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Alex Shinogami

Re bienvenue ! Ce choix d'avatar, juste génial, j'adore ! Maintenant j'ai hâte de voir la fiche
Alex Shinogami

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Rebienvenue à toi
Bon courage pour la suite de la rédac', on ouvre l'
ici.

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Lev Seragaki

Kaori > merci beaucoup !!
Rei > désolé mon chéri, voilà de quoi te sustenter un peu en attendant la suite
merci rei-boo 
Alex > quelqu'un de goût purée...merci beaucoup !
Nao > merci beau gosse
en vue de mon emploi du temps *tousse* est-ce que ça serait possible de demander quelques jours de rab pour que je termine mon histoire s'il vous plait ? [insert puppy eyes]
Rei > désolé mon chéri, voilà de quoi te sustenter un peu en attendant la suite


Alex > quelqu'un de goût purée...merci beaucoup !
Nao > merci beau gosse

en vue de mon emploi du temps *tousse* est-ce que ça serait possible de demander quelques jours de rab pour que je termine mon histoire s'il vous plait ? [insert puppy eyes]
Lev Seragaki

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Ajout d'une semaine supplémentaire 
Bon courage !

Bon courage !


Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits

- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit
:
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment
:
- Le plus beau compliment
- Merci Karlito
:
- Merci Oz
:
- Ce qu'ils ont dit
Makoto Nanase

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Jocasta Otsuka

Bonne nouvelle tête, Lev!
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Lev Seragaki

merci!!! 
désolé j'abuse trop mais je pensais pas avoir autant de travail cette semaine, tout devrait être posté au plus tard dimanche !

désolé j'abuse trop mais je pensais pas avoir autant de travail cette semaine, tout devrait être posté au plus tard dimanche !
Lev Seragaki

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Makoto Nanase

Délai dépassé du coup !
Ajout de trois jours supplémentaires.
Attention c'est le dernier délai
Ajout de trois jours supplémentaires.
Attention c'est le dernier délai


Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits

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- Ce qu'ils ont dit
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- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
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Makoto Nanase

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Lev Seragaki

enfin terminééé
et pas satisfait avec cette histoire et sa syntaxe mais j'abandonne
vu que lev est arrivé après les "gros évènements" je n'en ai pas parlé. dites moi si je dois inclure plus de contenu par rapport à l'incontestable et les events passés !


vu que lev est arrivé après les "gros évènements" je n'en ai pas parlé. dites moi si je dois inclure plus de contenu par rapport à l'incontestable et les events passés !
Lev Seragaki

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Arisa Koyama

Hello et rebienvenue parmi nous!
S'il est né en août 2092, il n'a pas encore 22 ans.Étant donné sa situation, je peux concevoir qu'il n'ait pas été plus que ça au courant des événements.
Du coup penses juste à modifier l'âge !
Sinon rien à dire ~

Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !

• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
Arisa Koyama

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