— ♕ —

Messages postés :
9980
Inscrit.e le :
22/11/2013
Les plus du perso :
Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Une petite chèvre. BHÊÊÊ. ♫
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Épreuve 6 ;;
Entorse au règlement
Entorse au règlement
Afin qu'il trouve la rédemption suite à ses crimes, Eurysthée, roi de Tyranthe, a donné douze travaux à faire à son cousin Hercule. Celui-ci les a acceptés sans broncher. Néanmoins, c'était sans compter sa maladresse légendaire. En effet, le voilà qui s'est fait une méchante entorse au poignet et ne peut donc plus faire ce qu'on attend de lui. Heureusement, vous êtes là et votre bon coeur vous pousse à lui venir en aide. Quel bon samaritain vous faites !
Nous ne sommes pas sadiques et nous ne vous demanderons pas de faire les 12 travaux d'Hercule. Ce serait trop éreintant. Alors les Moires en ont choisi un pour vous. Respectez leur choix si vous ne souhaitez pas baigner dans les eaux du Styx.
✗ L'épreuve se termine au bout de 24 heures, soit ce soir, le 29 mai, à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 1500 mots maximum.
Contrainte
Nous ne sommes pas sadiques et nous ne vous demanderons pas de faire les 12 travaux d'Hercule. Ce serait trop éreintant. Alors les Moires en ont choisi un pour vous. Respectez leur choix si vous ne souhaitez pas baigner dans les eaux du Styx.
Voler les bœufs de Géryon
Rappel des règles
✗ L'épreuve se termine au bout de 24 heures, soit ce soir, le 29 mai, à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 1500 mots maximum.
Invité
Gabriella Barrossa


- Contexte KHS + présentation du personnage:
- Kobe High School a un contexte à tendance réaliste school life qui se passe au Japon en 2017 dans la ville de Kobe. Le lycée et l'université (situés sur le même campus) sont de renommée internationale, la culture japonaise se mêle donc aux cultures des autres pays via les différentes nationalités présentes sur le campus. Le slogan de l'université de Kobe ? Faire naître le meilleur en chacun de nous !
Gabriella Barrossa est une ado pleine de vie de 16 ans. Elle est venue d’Espagne (son pays d’origine), où elle vivait avec sa mère, pour rejoindre son frère et ses papas au Japon, à Kobe en mars 2017. Sa famille a toujours été “atypique”, en effet, les parents de Gabriella ont divorcé quand elle était encore petite. Elle est restée avec sa mère, tandis que son frère aîné est parti vivre avec leur père et son mari japonais. Gabriella a grandi séparée de son frère mais ils sont malgré tout très proches. Niveau caractère, Gaby est une princesse capricieuse et fourbe, elle ne voit que son confort et suit ses envies du moment que ça plaise ou non.
La chaleur de l’Espagne, de son foyer maternel avait terriblement manqué à Gabriella, malgré ce qu’elle avait dit à ses amis au Japon. Elle se sentait bien et à sa place de retour dans la maison où elle avait grandi pour les vacances d’été. L’heure de la sainte sieste avait sonné. Elle se laissa donc aller dans le pays des rêves et des petits poneys.
Elle était en train de se balader sur la côte de Gibraltar, à plus de 200 km de Grenade, sa ville d’origine. D’un côté de la route, la mer, de l’autre des champs. Tout était paisible. Elle se promenait gaiement en direction du village le plus proche quand elle tomba sur un beau jeune homme. Sociable et intriguée, elle ne tarda pas à l'accoster.
“Ola !!!”
Bel inconnu : “Bien le bonjour voyageuse. J’aurais besoin d'aide, pouvez-vous m’accorder un moment de votre temps ?”
Une quête ? Voilà qui l’intriguait ! Avec enthousiasme, elle s’empressa de répondre :
“Bien sûr ! Que puis-je faire pour vous ?”
Bel inconnu : “Alors, voilà, je me suis tordu le poignet, hélas, j’ai une mission à accomplir ! Je dois ramener des bœufs en Grèce.”
La jeune Espagnole n’eut pas le temps de trouver cela étrange qu’il continua :
Bel inconnu : “Ils sont gardés par l’homme le plus fort du monde, un molosse énorme et un dragon à 7 têtes !”
“A 7 têtes ?! Dios míos !! Et comment je suis censée t’aider ? Parce que ok le mec le plus fort du monde, c’est gérable mais le reste ? T’as vu mes bras ? Et mes petites jambes ??” dit-elle en montrant la faible épaisseur de ses bras. Même si elle était une danseuse accomplie, elle restait fine et fragile.
Bel inconnu : “Il faut convenir d’un plan évidemment…”
Alors, elle accepta, car c’était une fille généreuse et pleine de bonté, et elle se mit à cogiter. Au bout de cinq minutes, elle leva les bras en l’air, ayant eu une illumination.
“Je sais ! Toi, tu fais diversion en t’occupant du type barraqué, du dragon et du toutou. Moi, je m’occupe des bœufs en sortant mes plus beaux skills de corrida ! Sans la partie mortelle à la fin.”
Le jeune homme n’avait pas l’air convaincu, alors, elle continua :
“De toute façon, tu n’as pas le choix, je ne peux pas faire la partie diversion pour des raisons évidentes ! Alors, on fait comme ça. Sans moi, tu ne peux pas y arriver señor. Pas de Gabriella, pas de vol. Pas de vol, pas de bœuf. Pas de bœuf… pas de steak. Ou je ne sais pas ce que tu veux faire avec en rentrant chez toi !”
Elle tendit la main et demanda:
“Marché conclu ?”
Le beau jeune homme n’avait pas vraiment le choix, alors il accepta. Ils mirent le plan en route.
Tout d’abord, il montra à Gaby la pâture du bétail. Elle trouva celui-ci bien trop gros et eut quelques hésitations mais c’était trop tard pour reculer. Ensuite, ils convinrent d’un plan. Enfin, ils se fixèrent rendez-vous à un autre endroit, facile d’accès pour la jeune fille et un troupeau de bêtes.
Ils se séparèrent et Gaby attendit patiemment que le suicidaire fasse son job. Elle fantasmait déjà sur ce qu’elle pourrait réclamer en échange de ce petit service. Dommage qu’elle était contre l’exploitation des animaux pour la mode, sinon, elle imaginait déjà la magnifique veste en cuir qu’elle pourrait avoir ou encore des bottes en cuir véritable. Ou un petit sac à main.
Elle fut tirée de sa rêverie modesque par des bruits monstrueux et un hurlement de sauvage. Le beau Grec avait donc rempli sa part. Elle se mit donc en route vers l’enclos et ouvrit le portail discrètement. Ceci fait, elle se mit à faire le tour de l’enclos pour se retrouver derrière les animaux. Elle enclencha une vidéo youtube de chien de berger qui aboient sur son téléphone.
Comme prévu, le bétail prit peur et partit en courant par l’entrée de l’enclos. Elle se mit à courir à son tour pour les “guider” vers la direction convenue. Bien sûr, son plan n’était pas infaillible et bien vite, les bêtes la semèrent. Elles allaient dans la bonne direction, c’était tout ce qui comptait.
Que le beau jeune homme les récupère toutes ou pas, ce n’était pas son problème. Elle avait accepté de voler, c’était fait, mission accomplie ! Les conséquences lui importaient peu. Après tout, ce n’était qu’un rêve. Un songe qu’elle avait hâte de raconter à son frère au réveil.
Elle était en train de se balader sur la côte de Gibraltar, à plus de 200 km de Grenade, sa ville d’origine. D’un côté de la route, la mer, de l’autre des champs. Tout était paisible. Elle se promenait gaiement en direction du village le plus proche quand elle tomba sur un beau jeune homme. Sociable et intriguée, elle ne tarda pas à l'accoster.
“Ola !!!”
Bel inconnu : “Bien le bonjour voyageuse. J’aurais besoin d'aide, pouvez-vous m’accorder un moment de votre temps ?”
Une quête ? Voilà qui l’intriguait ! Avec enthousiasme, elle s’empressa de répondre :
“Bien sûr ! Que puis-je faire pour vous ?”
Bel inconnu : “Alors, voilà, je me suis tordu le poignet, hélas, j’ai une mission à accomplir ! Je dois ramener des bœufs en Grèce.”
La jeune Espagnole n’eut pas le temps de trouver cela étrange qu’il continua :
Bel inconnu : “Ils sont gardés par l’homme le plus fort du monde, un molosse énorme et un dragon à 7 têtes !”
“A 7 têtes ?! Dios míos !! Et comment je suis censée t’aider ? Parce que ok le mec le plus fort du monde, c’est gérable mais le reste ? T’as vu mes bras ? Et mes petites jambes ??” dit-elle en montrant la faible épaisseur de ses bras. Même si elle était une danseuse accomplie, elle restait fine et fragile.
Bel inconnu : “Il faut convenir d’un plan évidemment…”
Alors, elle accepta, car c’était une fille généreuse et pleine de bonté, et elle se mit à cogiter. Au bout de cinq minutes, elle leva les bras en l’air, ayant eu une illumination.
“Je sais ! Toi, tu fais diversion en t’occupant du type barraqué, du dragon et du toutou. Moi, je m’occupe des bœufs en sortant mes plus beaux skills de corrida ! Sans la partie mortelle à la fin.”
Le jeune homme n’avait pas l’air convaincu, alors, elle continua :
“De toute façon, tu n’as pas le choix, je ne peux pas faire la partie diversion pour des raisons évidentes ! Alors, on fait comme ça. Sans moi, tu ne peux pas y arriver señor. Pas de Gabriella, pas de vol. Pas de vol, pas de bœuf. Pas de bœuf… pas de steak. Ou je ne sais pas ce que tu veux faire avec en rentrant chez toi !”
Elle tendit la main et demanda:
“Marché conclu ?”
Le beau jeune homme n’avait pas vraiment le choix, alors il accepta. Ils mirent le plan en route.
Tout d’abord, il montra à Gaby la pâture du bétail. Elle trouva celui-ci bien trop gros et eut quelques hésitations mais c’était trop tard pour reculer. Ensuite, ils convinrent d’un plan. Enfin, ils se fixèrent rendez-vous à un autre endroit, facile d’accès pour la jeune fille et un troupeau de bêtes.
Ils se séparèrent et Gaby attendit patiemment que le suicidaire fasse son job. Elle fantasmait déjà sur ce qu’elle pourrait réclamer en échange de ce petit service. Dommage qu’elle était contre l’exploitation des animaux pour la mode, sinon, elle imaginait déjà la magnifique veste en cuir qu’elle pourrait avoir ou encore des bottes en cuir véritable. Ou un petit sac à main.
Elle fut tirée de sa rêverie modesque par des bruits monstrueux et un hurlement de sauvage. Le beau Grec avait donc rempli sa part. Elle se mit donc en route vers l’enclos et ouvrit le portail discrètement. Ceci fait, elle se mit à faire le tour de l’enclos pour se retrouver derrière les animaux. Elle enclencha une vidéo youtube de chien de berger qui aboient sur son téléphone.
Comme prévu, le bétail prit peur et partit en courant par l’entrée de l’enclos. Elle se mit à courir à son tour pour les “guider” vers la direction convenue. Bien sûr, son plan n’était pas infaillible et bien vite, les bêtes la semèrent. Elles allaient dans la bonne direction, c’était tout ce qui comptait.
Que le beau jeune homme les récupère toutes ou pas, ce n’était pas son problème. Elle avait accepté de voler, c’était fait, mission accomplie ! Les conséquences lui importaient peu. Après tout, ce n’était qu’un rêve. Un songe qu’elle avait hâte de raconter à son frère au réveil.
758 mots
Gabriella Barrossa

Si t'es sage, t'auras un badge
|
|