— Just Married —
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Min Ki Park

Min Ki Choi
민기최
민기최
Since when has evil ever been so attractive ?

![]() | The gift, the curse Nom ;; Choi Prénoms ;; Min Ki Age ;; 8 novembre 2085. 29 ans. Genre ;; Masculin Origines ;; Coréen & Japonais Activité ;; Je suis chanteur et acteur, anciennement idole d'un boyband, lorsque j'étais encore en Corée du Sud. Il ne faut pas vous surprendre si vous me voyez dans plusieurs sphères de l'industrie du divertissement: il faut travailler pour ce faire du blé. Puisque je ne suis pas con non plus, j'ai investi dans un café et un immeuble résidentiel à Séoul que j'ai offert à ma mère pour qu'elle puisse être autosuffisante et vivre sa vie tranquille. Je n'en reste pas moins le propriétaire. Si l’envie me prend, il suffit d’un claquement de doigts et je reprends le tout. Sexualité ;; Kittyosexuelle (Non, pas Kitty dans le sens des chats.) Avatar ;; Min Gi Song du groupe Ateez Règlement ;; Validé - Michiko Chemin ;; Google Commentaire ;; Je voulais seulement faire une petite parenthèse, ici. La personne sur mon avatar s'appelle Min Gi dans la vraie vie. J'ai trouvé l'avatar après avoir choisi le nom de mon personnage. J'ai utilisé le nom Min Ki, parce que c'est un nom que j'adore, alors il s'agit d'une grosse coïncidence que les deux aient le même nom. Mis à part le nom et l'occupation qu'ils partagent (chanteurs),le reste est entièrement issu de mon imagination |
나의 주문에 춤춰
''Fais-moi un enfant.
Un garçon… qui aura ta mâchoire, tes épaules larges ou ton regard perçant.
Ou bien une fille… qui aura ton sourire, ta peau laiteuse ou la douceur de ta voix
Fais-moi un enfant pour que je puisse chérir notre amour, même lorsqu'ils t'arracheront à moi.''
C'est ce qu'avait dit Dan-Bi à Ji-yong alors qu'ils marchaient le long de la rivière Han. Le temps se faisait doux à Séoul, bien que l'été ait levé le voile pour laisser place à l'automne. Ji-yong regardait la rivière d'un air hagard, sa main resserrée sur celle de sa douce. Sa mère n'eût pas été japonaise, Ji-yong n'aurait pas hésité, pas une seule seconde. Le problème étant; avoir un enfant avec cette femme, c'était condamner ce petit être au même destin que le sien. Cette décision n'avait rien de facile. Or… Comment pouvait-il résister Dan-Bi ? Bien qu'il se sache égoïste, il voulait solidifier cette union entre eux, tout autant qu'elle. La jeune femme n'était pas dupe. Elle connaissait la profondeur de leurs sentiments et fit l'usage de ses charmes pour finalement convaincre son amant. Les nuits de passion se succédèrent, tout comme les mois. Ce n'est que lorsque les arbres furent en fleurs que Dan-Bi annonça la bonne nouvelle à Ji-Yong. Ils allaient être parents.
Deux ans. C'est le temps que leur avait accordé l'Incontestable après la naissance de leur fils pour profiter de leur nid d'amour. Deux merveilleuses années qui s'écoulèrent trop vite. Leur quotidien vacillant du jour au lendemain à la réception de la lettre rose. Sans préavis, elle venait leur annoncer la fin de ce rêve. Ji-Yong, qui savait très bien que ce jour viendrait, fit ses bagages rapidement pour retourner au Japon. Les adieux furent brefs et déchirants. D'autant plus que le couple avait pris la décision de couper les ponts complètement au moment venu. Ils avaient conclu qu'il était plus sage de ne pas jouer avec le feu. Ils ne voulaient pas que leur amour puisse entraîner des tentations qui puissent être fatales pour Ji-Yong. Le seul réconfort qu'ils avaient, c'était Min Ki: la preuve incarnée de leurs sentiments, leur trésor.
Je me souviens du moment exact où j'ai cessé d'être heureux. C'était en mars de mes sept ans. Date qui concorde avec mon début de scolarité.
J'ai eu une enfance bercée dans la tendresse. J'étais le centre de l'univers pour ma mère monoparentale. Inversement, elle était pour moi un pilier, une force tranquille et mon idole. Nous étions inséparables et les jours se succédaient dans les rires et la joie. Mille fois, nous avons dansé dans le salon de notre appartement. Mille fois, nous avons chanté devant notre téléviseur lors de soirées karaoké improvisées. Mon cerveau d'enfant croyait que la vie, ce serait toujours ainsi.
Puis, l'école a commencé et le monde tel que je le connaissais a basculé. De jour, c'était les cours réguliers succédés par une heure de cours particuliers le soir. Danse, chant, piano et japonais s'enchaînaient tout au long de la semaine. Ma mère me disait que c'était important de façonner mes talents et qu'il fallait que je m'occupe autrement qu'avec l'école. J'étais trop jeune à ce moment-là pour comprendre. Tout ce que je voulais, c'est la rendre heureuse. Qu'elle soit fière de moi. De toute façon, les cours étaient plaisants. Ça me rappelait ma douce jeunesse à ses côtés… mais l'idée que je ne puisse plus vivre ces moments-là autant que je le voulais avec elle me laissait un goût amer dans la bouche.
Les années se sont succédées sans que je puisse établir une réelle connexion avec mes camarades de classe. Préoccupé par mes cours et désirant passer le reste du temps en compagnie de ma mère, j’avais vite compris qu’il fallait faire des concessions. Jamais je n’avais douté de mon train de vie. En Corée, il n’est pas rare pour un enfant d’avoir des cours périscolaires. Je n’étais pas une exception. Mon dévouement était toujours largement récompensé. Ma mère me couvrait de compliments à la première occasion. Son affection pour moi n’avait pas de limite, la chaleur de ses bras était réconfortante. Pour elle, j’aurais tout fait.
Avec le temps, mes talents se sont affinés. De charbon, je suis devenu diamant. Lorsque j'eus atteint treize ans, ma mère me fit passer des auditions pour plusieurs compagnies de K-pop. Cette année-là, je devins trainee* pour l'une des plus grosses compagnies de la Corée du Sud.
Pendant six ans, je me suis entraîné d'arrache-pied. Si je croyais avoir été occupé lors de mon enfance, j'ai vite compris que j'étais loin de la plaque. Tout ce que j'avais fait auparavant, ce n'était rien comparativement à la vie au sein d'une compagnie de divertissement. Je dansais pour survivre, je chantais pour survivre. Parmi la centaine de candidats choisis en tant que trainee, seuls quelques-uns d'entre nous finiraient par percer dans le domaine. Et j'allais définitivement être l'un d'entre eux, pour ma mère.
Mère que je ne voyais plus vraiment. Elle qui pourtant, avait toujours agi comme si j'étais le plus grand des trésors… Dans mes moments de faiblesse, j'imaginais son visage bienveillant me susurrer des mots rassurants. Elle était toujours ma force, mais peu à peu, je le sentais, quelque chose changeait entre nous.
Les réponses vinrent à moi lorsque j'atteignis mes 18 ans. Âge qui marquait mes débuts en tant que leader au sein du groupe TLT, acronyme pour le groupe The last tigers. Nous étions cinq. Puisque nous avions passé les dernières années à nous entraîner ensemble, nous n'étions pas étrangers les uns des autres. Au contraire, nous avions un lien solide qui nous avait permis d'attirer l'attention du public presque instantanément sous le regard satisfait de notre compagnie. Ce fut une année exigeante, mais fructueuse. Nous étions partout. À la télévision, à la radio, sur les réseaux sociaux. La compagnie pour laquelle j'avais été engagée avait créé des personnalités qu'ils nous avaient imposés et visiblement ils avaient visé juste puisque le peuple n'était jamais las d'entendre parler de TLT. J'étais fier de mon accomplissement et je devinais ma mère tout aussi satisfaite. Je ne m'étais jamais douté de la conversation que je m'apprêtais à avoir avec elle juste avant mon départ pour une tournée internationale en Asie.
‘’Min Ki, pose-toi là pour que l’on discute. Ça fait longtemps que j’aurais dû t’en parler, mais je n’ai jamais trouvé le courage de le faire.’’
Tout avait été dévoilé ce soir-là. Son histoire d’amour, mon père, le Japon, le destin qui m’attendait… Moi qui n’avais jamais jugé pertinent de connaître les détails d’un père non présent, voilà que son existence faisait chavirer la mienne.
- Tu es en train de me dire que ça fait deux ans que je pourrais recevoir une lettre qui m’unit à quelqu’un que je ne connais pas et tu n’as pas pensé un seul instant que ce serait pertinent de m’avertir ?
- Je… ne savais pas comment te l’annoncer.
- Et à la veille d’une tournée internationale a été ta conclusion ? Bravo !
- Min Ki… Je peux comprendre que tu sois choqué, c’est beaucoup à prendre d’un seul coup… Tu sais, puisque tu as la nationalité japonaise, tu n’auras pas besoin de faire les deux ans de services militaires…
- Deux ans de ma vie contre une dictature ! m’étais-je époumoné à lui crier dessus. Pourquoi faire de moi une idole si je dois finir au Japon de toute manière !?
- Je voulais que Ji-Yong voit ce que notre magnifique enfant est devenu. Je voulais… qu’il te reconnaisse à l’écran et qu’il voie que notre amour a fleuri.
- Que.. Votre amour a fleuri ? Si tu l’aimais tant que ça ce putain de mec, pourquoi tu n'es pas allée au Japon te faire naturaliser, hun ?
- Ce n’est pas si simple, Min Ki…
- Si votre amour était si fort, pourquoi tu n’as pas fait confiance à cette soi-disant machine, hein !? Clairement, si votre amour en valait tant la peine elle aurait bien fini par vous marier ! la coupais-je. Comment oses-tu me forcer à ce futur quand tu n’es pas foutu de faire de même !
Rage. Indignation. Trahison. Ce sont les sentiments que j'avais ressentis en ce moment précis. Qui était cette femme devant moi ? Ma mère ou l'ombre d'un mensonge ? M'avait-elle aimé ne serait-ce qu'un instant ou aimait-elle seulement l'idée de ce que je représentais ? Depuis l'enfance, j'avais été conditionné à être ce que j'étais. Les jours à danser dans le salon… À chanter avec elle. Était-ce seulement son plan, tout ce temps ? Faire de moi une vedette pour que son petit amour interdit puisse se poursuivre à distance ? J'avais voulu tout lâcher. À la veille d'une tournée internationale j'étais passé proche de briser mon contrat qui me liait à ma compagnie. Je me fichais bien des conséquences. Le seul problème, c'est que cette vie-là, c'est tout ce que je connaissais. Je n'avais aucune identité. On m'avait pris alors que je n'étais qu'un amas d'argile et l'on m'avait manipulé pour que je prenne la forme qu'ils voulaient. J'étais un pantin. Sans cette vie, je n'étais rien de plus qu'un enfant perdu à la veille de sa vie adulte.
J’ai donc poursuivi ma carrière d'idole, mais quelque chose en moi c’était fragmenté. J’avais travaillé si fort, je m’étais donné corps et âme. Le monde me paraissait soudainement bien terne et moi, je me sentais bien seul. Peu à peu, le jeune homme plein de vie que j’avais été laissait place à un monstre aigri. Devant les caméras, j’étais le rêve de ces dames. Derrière, j’étais un cauchemar. Mon professionnalisme m’empêchait de pousser les limites trop loin. En tant que leader, je me devais de tenir les rênes pour la réussite de notre groupe, mais peu à peu, je me distançais des membres que j’avais autrefois considéré mes amis. Notre relation n’en était qu’une purement professionnelle. Après tout, ils avaient été élevés comme moi. Ils avaient appris à être faux, à jouer un personnage. Comment pouvais-je leur faire confiance ? Si ma propre mère pouvait me manipuler et me cacher des secrets aussi lourds, qui me dit qu’eux ne le pourraient pas ? J’en voulais au monde entier. Je ne sais pas si la faute reposait entièrement sur ma mère ou s’il s’agissait seulement d’une boîte de pandore qui s'était ouverte. Ces années de dur labeur, la charge mentale constante, la pression… Au fond, peut-être était-ce seulement un mixte. Dans tous les cas, je haïssais la race humaine au complet, sans exception. Jusqu’à ce que je la rencontre, elle.
Je me souviens du moment exact où le bonheur a de nouveau fait son entrée dans ma vie. C'était à New York, trois ans après que notre groupe ait vu le jour, un soir de janvier. Nous étions en tournée mondiale et ce soir-là, on avait un meet and greet avec nos admiratrices. Les cours d'anglais, qui s'étaient joints au japonais au fil des ans, me permettaient de comprendre leurs demandes. Chacune d'elles passait tour à tour, suppliait qu'on leur offre un peu d'amour que ce soit une embrassade ou un clin d'œil. Tout était bon pour satisfaire ces femmes assoiffées. Tout ce que je souhaitais, c'est que cette soirée infernale finisse, jusqu'à ce qu'elles posent les pieds devant moi.
Je ne sais pas ce qui m'a attiré chez elle. Était-ce ses grands yeux bruns d'étrangères ? Ses grosses joues qui me rappelaient vaguement un écureuil ? Son bonnet bleu fluorescent qui faisait tache dans le lot ? Sa médiocrité ? Ce n'était pas la première fois que je rencontrais une femme imparfaite, loin de là. J'en côtoyais pleinement à travers mes tournées… mais elle… Elle avait un charme que je n'aurais su m'expliquer. Lorsqu'elle s'était positionnée devant moi, son regard avait fui. Elle ne m'idolâtrait pas, elle me craignait. Comme une proie qui connaissait le sort inévitable qui l'attendait face à son prédateur… Comme si pour la première fois, quelqu'un voyait à travers mon masque. Pas de cri strident, pas de ‘'saranghae'' prononcé d'un accent exécrable, pas de cadeau chiant offert dans ma direction… juste un regard fuyant et un petit calepin tendu dans ma direction.
- Nom ?
- Kitty.
Quelle ironie. Kitty, le chaton qui se tenait en face du grand méchant loup. Kitty… ce nom résonnait en moi. Kitty. Je ne voulais faire qu'une bouchée de ce chat. Sans réellement réfléchir aux conséquences, je me mis à écrire dans son livret. Mon cœur battait la chamade et je me sentais vivant. Ce que j'avais fait aurait pu avoir des répercussions catastrophiques sur ma carrière. Je venais de tout mettre en jeu pour un chat. Pour un jeu. Mon cœur avait menacé de sortir de ma poitrine, mais je ne m'étais jamais senti aussi vivant. Lorsque je lui avais redonné son cahier, elle avait tenté de bouger pour offrir sa place à la prochaine demoiselle, mais j'eus vite fait de l'arrêter en saisissant son bras.
- Pas de photo souvenir ?
- On ne se connait pas. Vous êtes une source d'inspiration pour moi. Je sais à quel point vous travaillez fort et à quel point ça doit être difficile de garder cette façade pour nous tous. Vous m'avez sauvé dans un moment difficile de ma vie, mais je ne suis rien pour vous. Vous demandez une photo me semble irrespectueux. Une signature me suffit amplement.
Un long monologue pour un chaton qui m'avait semblé effrayé. Long monologue qui m'avait laissé sans voix. Ce soir-là, lorsque j'ai chanté sur scène, mes yeux ont cherché le bonnet bleu dans la foule. Je voulais ce chat. Je voulais la posséder, je voulais qu'elle m'appartienne.
Quel ne fut pas mon soulagement lorsque j'ai réalisé qu'elle avait vu mon petit mot dans son calepin et qu'elle avait décidé de m'ajouter sur kakaotalk. Cette nuit-là, après le spectacle, nous nous sommes rejoints dans les rues de la grande pomme. Loin des regards et loin des paparazzis je lui ai volé son premier baiser et elle le mien. La sensation était exaltante. Si bien que nous avions fini dans un petit hôtel miteux à la recherche du corps de l'autre. J'ai volé sa première fois et elle la mienne. Une nuit de passion, c'est tout ce que cela aurait dû être, mais une nuit, ce n'était pas assez. Je voulais la posséder. Je voulais jouer avec ma proie un peu plus longtemps.
C'est ainsi que vit la naissance de notre relation secrète. À n'importe quel moment, elle aurait pu se vanter d'avoir partagé un lit avec moi. Elle aurait pu se confier à sa meilleure amie, sa mère ou simplement poster le tout sur internet, mais elle n'en fit rien. Même lorsque je fus de retour en Corée, elle se contenta de partager des messages avec moi via Kakaotalk.
Et pourtant, j'étais un monstre. Je jouais avec elle. J'étais toxique. Je pouvais la laisser sous silence pendant de longues périodes avant de revenir vers elle, comme si de rien n'était. Je la testais constamment, elle et ses limites. Bon nombre de fois ai-je dû la faire pleurer et pourtant, elle restait. Ma confidente, mon oreille… mon pilier. Cette Canadienne sans un sou qui avait amassé de l'argent pour venir me voir à New York et qui amassait encore de l'argent pour me rendre visite en Corée. Son dévouement n'avait pas de limite et avant que je ne m'en rende compte, elle s'était immiscée dans mon coeur pour de bon.
Avant même de pouvoir réaliser ce qui m'arrivait, elle était devenue Jingnyeo, mon étoile lointaine et moi, j'étais Gyeonu. Le problème, c'est que je ne pouvais pas me résoudre à la voir si peu et être séparé si longtemps. Je voulais qu'elle m'appartienne entièrement. J'étais ce bûcheron avare qui souhaitait voler les ailes de la fée pour ne plus lui permettre de voler loin de moi. Finalement, j'étais un peu plus comme ma mère que j’aurais voulu le sous-entendre.
- Des innocents ont été blessés, Min Ki… Ça n'a rien de drôle, avait-elle murmuré alors que l'on regardait les nouvelles. Verre de whiskey à la main, j'observais avec un plaisir évident les images défilant sur l'écran, les flammes des explosions dansantes dans mes iris alors que le journaliste partageait les faits sur le big bang kiss. Je me fichais totalement qu'il y ait eu des blessés. Il fallait casser des œufs pour faire une omelette et s'il y avait des gens, au Japon, prêts à se lever contre ce système merdique, je les appuyais à cent pour cent, peu importe s'ils étaient radicaux.
Mon regard s'était porté sur le sien. Elle avait enfin pu me rejoindre en Corée, mais les rencontres étaient ardues. La discrétion lorsque l'on fait partit d'un groupe populaire, ce n'était pas gagné. En même temps, j'aimais jouer avec le feu et si notre relation était découverte, peut-être aurais-je pu prendre cette chance pour sortir de cette carrière. Dans tous les cas, je DEVAIS la voir. J'attendais ce moment avec fébrilité puisque nous avions beaucoup à partager.
- Kitty, tu m'aimes ?
La question l'avait pris de court.
- Oui. Je t'aime.
- Viens vivre au Japon avec moi. Si tu m'aimes, si tu m'aimes vraiment, fais les démarches pour être naturalisé. Je vais t'aider monétairement. Si tu viens, la machine ne pourra pas dénier notre amour.
Le test ultime. Était-elle lâche comme ma mère où irait-elle jusqu'au bout de l'univers pour moi, peut importe le résultat ? Le secret de ma nationalité que j'avais passé sous silence tout ce temps aurait-il vite fait de la faire fuir ? Son teint pâle me fit hésiter un moment, la bouche pâteuse elle m'avait posé des questions, cherchait à comprendre où je voulais en venir. Cette nuit-là avait été longue. Les démarches de mon côté étaient déjà entamées. Ma compagnie, maintenant au courant de ma situation, avait communiqué avec une compagnie associée établie au Japon et mon transfert était programmé pour le premier janvier 2110. Tout arrivait à bon point puisque la carrière de TLT s'essoufflait. L'espérance de vie d'un groupe tel que le nôtre n'était jamais bien plus de cinq ou six ans. Il était temps pour moi d'aller vers une carrière solo. Tout était en marche… il ne manquait que sa réponse à elle… Et elle fut positive.
Mon arrivée en terre nippone se fit deux mois après Shukumei. On dit que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Cette catastrophe, bien que meurtrière pour certains, venait à moi comme une porte d’entrée pour le Japon. C’était ma chance d’apparaître devant le peuple comme quelqu'un d’empathique qui avait le cœur sur la main. Je n’ai pas laissé passer cette chance. Avec ma compagnie, j’ai travaillé dès mon arrivée pour me tailler une place. Dons d'argent ici et là, visite d’admirateurs dans les hôpitaux, toute occasion était bonne pour démarrer ma carrière solo. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai reçu un appel d’un notaire qui m’informait de la mort de mon père lors de Shukumei. Père que je n’avais jamais rencontré, en fin de compte. J’aurais pu tenter ma chance pour m’attirer la pitié du public, mais par le peu d’amour que je gardais envers ma mère, j’ai décidé de passer cet événement sous silence. Après avoir annoncé au notaire que je refusais tout héritage de sa part, je tournais la page comme si je n’avais jamais été mis au courant. Comme s’il n’avait jamais existé.
Ma carrière solo ne prit pas de temps à fleurir. Les gens mangeaient dans le creux de ma main. Peu à peu, je gagnais en pouvoir au sein du monde du divertissement. En parallèle, je m'assurais que les démarches de naturalisation de Kitty se déroulait bien. Malgré ma haine pour ce pays dictatorial, je m'étais installé comme si j'y avais toujours vécu. Alors que je commençais à me faire à l'idée de ce système, une erreur survint en mai 2111. Bien qu'il n'ait eu aucun effet sur moi puisque je n'étais pas marié, l'espace d'un instant, j'ai cru que nous étions libérés de l'emprise de la machine. Mes espoirs se sont vus écraser lorsque deux mois plus tard, un communiqué de presse passait à la télé. Les connards au pouvoir s'étaient joués de nous. Sous prétexte d'une recherche sociale, ils avaient créé le chaos dans le coeur des Japonais et causé des détresses mentales. Comme si le bug n'était pas assez, une épidémie avait déferlé et Kitty s'était retrouvée victime de celle-ci. Pour la première fois de ma vie, j'eus peur de perdre quelqu'un. Pour la première fois de ma vie, j'avais demandé aux dieux dont l'existence me paraissait peu plausible, de veiller sur elle. Heureusement, elle s'en sortit indemne à mon plus grand soulagement.
S'en suivi un autre évènement important qui ne m'avait pas laissé indifférent. À peine Kitty avait-elle conclu sa naturalisation qu'elle m'apparaissait décédée sur l'Atai. Mon monde avait arrêté de tourner ce jour-là. Heureusement, pour moi, mon chaton étant qui elle est, elle avait vite fait de me contacter pour m'annoncer qu'elle était bel et bien vivante. Nous étions tous les deux tout aussi confus vis-à-vis de la situation et pendant un instant, j'eus envie de l'encourager à fuir au Canada. Cependant, étant l'homme que je suis, j'enterrai rapidement cette idée. Après tout, Kitty m'appartenait. Peu de temps après, nous prenions les démarches pour changer nos puce.
Depuis, le monde a repris un rythme plus normal. J'accumule les contrats, ma carrière ayant pris un tournant vers les films, même si je chante encore. J'ai acheté un café et un immeuble d'habitation que j'ai délégué à ma mère. Même si j'ai coupé les ponts avec elle, je n'en reste pas moins son fils et je considère qu'il est de mon devoir d'au moins lui offrir de quoi vivre paisiblement. Je continue de parler à Kitty et je la rencontre, parfois, dans le plus grand des secrets. Rêvant du jour où nous recevrons notre lettre rose. Après tout ce que nous avons fait pour être ensemble, il est impossible que la machine calcule un plus haut taux de compatibilité avec quelqu'un d'autre…
...Non ?
* Trainee est le nom donné aux recrues des compagnies de k-pop qui s'entraînent et reçoivent des formations pour devenir idole.
Un garçon… qui aura ta mâchoire, tes épaules larges ou ton regard perçant.
Ou bien une fille… qui aura ton sourire, ta peau laiteuse ou la douceur de ta voix
Fais-moi un enfant pour que je puisse chérir notre amour, même lorsqu'ils t'arracheront à moi.''
C'est ce qu'avait dit Dan-Bi à Ji-yong alors qu'ils marchaient le long de la rivière Han. Le temps se faisait doux à Séoul, bien que l'été ait levé le voile pour laisser place à l'automne. Ji-yong regardait la rivière d'un air hagard, sa main resserrée sur celle de sa douce. Sa mère n'eût pas été japonaise, Ji-yong n'aurait pas hésité, pas une seule seconde. Le problème étant; avoir un enfant avec cette femme, c'était condamner ce petit être au même destin que le sien. Cette décision n'avait rien de facile. Or… Comment pouvait-il résister Dan-Bi ? Bien qu'il se sache égoïste, il voulait solidifier cette union entre eux, tout autant qu'elle. La jeune femme n'était pas dupe. Elle connaissait la profondeur de leurs sentiments et fit l'usage de ses charmes pour finalement convaincre son amant. Les nuits de passion se succédèrent, tout comme les mois. Ce n'est que lorsque les arbres furent en fleurs que Dan-Bi annonça la bonne nouvelle à Ji-Yong. Ils allaient être parents.
Deux ans. C'est le temps que leur avait accordé l'Incontestable après la naissance de leur fils pour profiter de leur nid d'amour. Deux merveilleuses années qui s'écoulèrent trop vite. Leur quotidien vacillant du jour au lendemain à la réception de la lettre rose. Sans préavis, elle venait leur annoncer la fin de ce rêve. Ji-Yong, qui savait très bien que ce jour viendrait, fit ses bagages rapidement pour retourner au Japon. Les adieux furent brefs et déchirants. D'autant plus que le couple avait pris la décision de couper les ponts complètement au moment venu. Ils avaient conclu qu'il était plus sage de ne pas jouer avec le feu. Ils ne voulaient pas que leur amour puisse entraîner des tentations qui puissent être fatales pour Ji-Yong. Le seul réconfort qu'ils avaient, c'était Min Ki: la preuve incarnée de leurs sentiments, leur trésor.
Je me souviens du moment exact où j'ai cessé d'être heureux. C'était en mars de mes sept ans. Date qui concorde avec mon début de scolarité.
J'ai eu une enfance bercée dans la tendresse. J'étais le centre de l'univers pour ma mère monoparentale. Inversement, elle était pour moi un pilier, une force tranquille et mon idole. Nous étions inséparables et les jours se succédaient dans les rires et la joie. Mille fois, nous avons dansé dans le salon de notre appartement. Mille fois, nous avons chanté devant notre téléviseur lors de soirées karaoké improvisées. Mon cerveau d'enfant croyait que la vie, ce serait toujours ainsi.
Puis, l'école a commencé et le monde tel que je le connaissais a basculé. De jour, c'était les cours réguliers succédés par une heure de cours particuliers le soir. Danse, chant, piano et japonais s'enchaînaient tout au long de la semaine. Ma mère me disait que c'était important de façonner mes talents et qu'il fallait que je m'occupe autrement qu'avec l'école. J'étais trop jeune à ce moment-là pour comprendre. Tout ce que je voulais, c'est la rendre heureuse. Qu'elle soit fière de moi. De toute façon, les cours étaient plaisants. Ça me rappelait ma douce jeunesse à ses côtés… mais l'idée que je ne puisse plus vivre ces moments-là autant que je le voulais avec elle me laissait un goût amer dans la bouche.
Les années se sont succédées sans que je puisse établir une réelle connexion avec mes camarades de classe. Préoccupé par mes cours et désirant passer le reste du temps en compagnie de ma mère, j’avais vite compris qu’il fallait faire des concessions. Jamais je n’avais douté de mon train de vie. En Corée, il n’est pas rare pour un enfant d’avoir des cours périscolaires. Je n’étais pas une exception. Mon dévouement était toujours largement récompensé. Ma mère me couvrait de compliments à la première occasion. Son affection pour moi n’avait pas de limite, la chaleur de ses bras était réconfortante. Pour elle, j’aurais tout fait.
Avec le temps, mes talents se sont affinés. De charbon, je suis devenu diamant. Lorsque j'eus atteint treize ans, ma mère me fit passer des auditions pour plusieurs compagnies de K-pop. Cette année-là, je devins trainee* pour l'une des plus grosses compagnies de la Corée du Sud.
Pendant six ans, je me suis entraîné d'arrache-pied. Si je croyais avoir été occupé lors de mon enfance, j'ai vite compris que j'étais loin de la plaque. Tout ce que j'avais fait auparavant, ce n'était rien comparativement à la vie au sein d'une compagnie de divertissement. Je dansais pour survivre, je chantais pour survivre. Parmi la centaine de candidats choisis en tant que trainee, seuls quelques-uns d'entre nous finiraient par percer dans le domaine. Et j'allais définitivement être l'un d'entre eux, pour ma mère.
Mère que je ne voyais plus vraiment. Elle qui pourtant, avait toujours agi comme si j'étais le plus grand des trésors… Dans mes moments de faiblesse, j'imaginais son visage bienveillant me susurrer des mots rassurants. Elle était toujours ma force, mais peu à peu, je le sentais, quelque chose changeait entre nous.
Les réponses vinrent à moi lorsque j'atteignis mes 18 ans. Âge qui marquait mes débuts en tant que leader au sein du groupe TLT, acronyme pour le groupe The last tigers. Nous étions cinq. Puisque nous avions passé les dernières années à nous entraîner ensemble, nous n'étions pas étrangers les uns des autres. Au contraire, nous avions un lien solide qui nous avait permis d'attirer l'attention du public presque instantanément sous le regard satisfait de notre compagnie. Ce fut une année exigeante, mais fructueuse. Nous étions partout. À la télévision, à la radio, sur les réseaux sociaux. La compagnie pour laquelle j'avais été engagée avait créé des personnalités qu'ils nous avaient imposés et visiblement ils avaient visé juste puisque le peuple n'était jamais las d'entendre parler de TLT. J'étais fier de mon accomplissement et je devinais ma mère tout aussi satisfaite. Je ne m'étais jamais douté de la conversation que je m'apprêtais à avoir avec elle juste avant mon départ pour une tournée internationale en Asie.
‘’Min Ki, pose-toi là pour que l’on discute. Ça fait longtemps que j’aurais dû t’en parler, mais je n’ai jamais trouvé le courage de le faire.’’
Tout avait été dévoilé ce soir-là. Son histoire d’amour, mon père, le Japon, le destin qui m’attendait… Moi qui n’avais jamais jugé pertinent de connaître les détails d’un père non présent, voilà que son existence faisait chavirer la mienne.
- Tu es en train de me dire que ça fait deux ans que je pourrais recevoir une lettre qui m’unit à quelqu’un que je ne connais pas et tu n’as pas pensé un seul instant que ce serait pertinent de m’avertir ?
- Je… ne savais pas comment te l’annoncer.
- Et à la veille d’une tournée internationale a été ta conclusion ? Bravo !
- Min Ki… Je peux comprendre que tu sois choqué, c’est beaucoup à prendre d’un seul coup… Tu sais, puisque tu as la nationalité japonaise, tu n’auras pas besoin de faire les deux ans de services militaires…
- Deux ans de ma vie contre une dictature ! m’étais-je époumoné à lui crier dessus. Pourquoi faire de moi une idole si je dois finir au Japon de toute manière !?
- Je voulais que Ji-Yong voit ce que notre magnifique enfant est devenu. Je voulais… qu’il te reconnaisse à l’écran et qu’il voie que notre amour a fleuri.
- Que.. Votre amour a fleuri ? Si tu l’aimais tant que ça ce putain de mec, pourquoi tu n'es pas allée au Japon te faire naturaliser, hun ?
- Ce n’est pas si simple, Min Ki…
- Si votre amour était si fort, pourquoi tu n’as pas fait confiance à cette soi-disant machine, hein !? Clairement, si votre amour en valait tant la peine elle aurait bien fini par vous marier ! la coupais-je. Comment oses-tu me forcer à ce futur quand tu n’es pas foutu de faire de même !
Rage. Indignation. Trahison. Ce sont les sentiments que j'avais ressentis en ce moment précis. Qui était cette femme devant moi ? Ma mère ou l'ombre d'un mensonge ? M'avait-elle aimé ne serait-ce qu'un instant ou aimait-elle seulement l'idée de ce que je représentais ? Depuis l'enfance, j'avais été conditionné à être ce que j'étais. Les jours à danser dans le salon… À chanter avec elle. Était-ce seulement son plan, tout ce temps ? Faire de moi une vedette pour que son petit amour interdit puisse se poursuivre à distance ? J'avais voulu tout lâcher. À la veille d'une tournée internationale j'étais passé proche de briser mon contrat qui me liait à ma compagnie. Je me fichais bien des conséquences. Le seul problème, c'est que cette vie-là, c'est tout ce que je connaissais. Je n'avais aucune identité. On m'avait pris alors que je n'étais qu'un amas d'argile et l'on m'avait manipulé pour que je prenne la forme qu'ils voulaient. J'étais un pantin. Sans cette vie, je n'étais rien de plus qu'un enfant perdu à la veille de sa vie adulte.
J’ai donc poursuivi ma carrière d'idole, mais quelque chose en moi c’était fragmenté. J’avais travaillé si fort, je m’étais donné corps et âme. Le monde me paraissait soudainement bien terne et moi, je me sentais bien seul. Peu à peu, le jeune homme plein de vie que j’avais été laissait place à un monstre aigri. Devant les caméras, j’étais le rêve de ces dames. Derrière, j’étais un cauchemar. Mon professionnalisme m’empêchait de pousser les limites trop loin. En tant que leader, je me devais de tenir les rênes pour la réussite de notre groupe, mais peu à peu, je me distançais des membres que j’avais autrefois considéré mes amis. Notre relation n’en était qu’une purement professionnelle. Après tout, ils avaient été élevés comme moi. Ils avaient appris à être faux, à jouer un personnage. Comment pouvais-je leur faire confiance ? Si ma propre mère pouvait me manipuler et me cacher des secrets aussi lourds, qui me dit qu’eux ne le pourraient pas ? J’en voulais au monde entier. Je ne sais pas si la faute reposait entièrement sur ma mère ou s’il s’agissait seulement d’une boîte de pandore qui s'était ouverte. Ces années de dur labeur, la charge mentale constante, la pression… Au fond, peut-être était-ce seulement un mixte. Dans tous les cas, je haïssais la race humaine au complet, sans exception. Jusqu’à ce que je la rencontre, elle.
Je me souviens du moment exact où le bonheur a de nouveau fait son entrée dans ma vie. C'était à New York, trois ans après que notre groupe ait vu le jour, un soir de janvier. Nous étions en tournée mondiale et ce soir-là, on avait un meet and greet avec nos admiratrices. Les cours d'anglais, qui s'étaient joints au japonais au fil des ans, me permettaient de comprendre leurs demandes. Chacune d'elles passait tour à tour, suppliait qu'on leur offre un peu d'amour que ce soit une embrassade ou un clin d'œil. Tout était bon pour satisfaire ces femmes assoiffées. Tout ce que je souhaitais, c'est que cette soirée infernale finisse, jusqu'à ce qu'elles posent les pieds devant moi.
Je ne sais pas ce qui m'a attiré chez elle. Était-ce ses grands yeux bruns d'étrangères ? Ses grosses joues qui me rappelaient vaguement un écureuil ? Son bonnet bleu fluorescent qui faisait tache dans le lot ? Sa médiocrité ? Ce n'était pas la première fois que je rencontrais une femme imparfaite, loin de là. J'en côtoyais pleinement à travers mes tournées… mais elle… Elle avait un charme que je n'aurais su m'expliquer. Lorsqu'elle s'était positionnée devant moi, son regard avait fui. Elle ne m'idolâtrait pas, elle me craignait. Comme une proie qui connaissait le sort inévitable qui l'attendait face à son prédateur… Comme si pour la première fois, quelqu'un voyait à travers mon masque. Pas de cri strident, pas de ‘'saranghae'' prononcé d'un accent exécrable, pas de cadeau chiant offert dans ma direction… juste un regard fuyant et un petit calepin tendu dans ma direction.
- Nom ?
- Kitty.
Quelle ironie. Kitty, le chaton qui se tenait en face du grand méchant loup. Kitty… ce nom résonnait en moi. Kitty. Je ne voulais faire qu'une bouchée de ce chat. Sans réellement réfléchir aux conséquences, je me mis à écrire dans son livret. Mon cœur battait la chamade et je me sentais vivant. Ce que j'avais fait aurait pu avoir des répercussions catastrophiques sur ma carrière. Je venais de tout mettre en jeu pour un chat. Pour un jeu. Mon cœur avait menacé de sortir de ma poitrine, mais je ne m'étais jamais senti aussi vivant. Lorsque je lui avais redonné son cahier, elle avait tenté de bouger pour offrir sa place à la prochaine demoiselle, mais j'eus vite fait de l'arrêter en saisissant son bras.
- Pas de photo souvenir ?
- On ne se connait pas. Vous êtes une source d'inspiration pour moi. Je sais à quel point vous travaillez fort et à quel point ça doit être difficile de garder cette façade pour nous tous. Vous m'avez sauvé dans un moment difficile de ma vie, mais je ne suis rien pour vous. Vous demandez une photo me semble irrespectueux. Une signature me suffit amplement.
Un long monologue pour un chaton qui m'avait semblé effrayé. Long monologue qui m'avait laissé sans voix. Ce soir-là, lorsque j'ai chanté sur scène, mes yeux ont cherché le bonnet bleu dans la foule. Je voulais ce chat. Je voulais la posséder, je voulais qu'elle m'appartienne.
Quel ne fut pas mon soulagement lorsque j'ai réalisé qu'elle avait vu mon petit mot dans son calepin et qu'elle avait décidé de m'ajouter sur kakaotalk. Cette nuit-là, après le spectacle, nous nous sommes rejoints dans les rues de la grande pomme. Loin des regards et loin des paparazzis je lui ai volé son premier baiser et elle le mien. La sensation était exaltante. Si bien que nous avions fini dans un petit hôtel miteux à la recherche du corps de l'autre. J'ai volé sa première fois et elle la mienne. Une nuit de passion, c'est tout ce que cela aurait dû être, mais une nuit, ce n'était pas assez. Je voulais la posséder. Je voulais jouer avec ma proie un peu plus longtemps.
C'est ainsi que vit la naissance de notre relation secrète. À n'importe quel moment, elle aurait pu se vanter d'avoir partagé un lit avec moi. Elle aurait pu se confier à sa meilleure amie, sa mère ou simplement poster le tout sur internet, mais elle n'en fit rien. Même lorsque je fus de retour en Corée, elle se contenta de partager des messages avec moi via Kakaotalk.
Et pourtant, j'étais un monstre. Je jouais avec elle. J'étais toxique. Je pouvais la laisser sous silence pendant de longues périodes avant de revenir vers elle, comme si de rien n'était. Je la testais constamment, elle et ses limites. Bon nombre de fois ai-je dû la faire pleurer et pourtant, elle restait. Ma confidente, mon oreille… mon pilier. Cette Canadienne sans un sou qui avait amassé de l'argent pour venir me voir à New York et qui amassait encore de l'argent pour me rendre visite en Corée. Son dévouement n'avait pas de limite et avant que je ne m'en rende compte, elle s'était immiscée dans mon coeur pour de bon.
Avant même de pouvoir réaliser ce qui m'arrivait, elle était devenue Jingnyeo, mon étoile lointaine et moi, j'étais Gyeonu. Le problème, c'est que je ne pouvais pas me résoudre à la voir si peu et être séparé si longtemps. Je voulais qu'elle m'appartienne entièrement. J'étais ce bûcheron avare qui souhaitait voler les ailes de la fée pour ne plus lui permettre de voler loin de moi. Finalement, j'étais un peu plus comme ma mère que j’aurais voulu le sous-entendre.
- Des innocents ont été blessés, Min Ki… Ça n'a rien de drôle, avait-elle murmuré alors que l'on regardait les nouvelles. Verre de whiskey à la main, j'observais avec un plaisir évident les images défilant sur l'écran, les flammes des explosions dansantes dans mes iris alors que le journaliste partageait les faits sur le big bang kiss. Je me fichais totalement qu'il y ait eu des blessés. Il fallait casser des œufs pour faire une omelette et s'il y avait des gens, au Japon, prêts à se lever contre ce système merdique, je les appuyais à cent pour cent, peu importe s'ils étaient radicaux.
Mon regard s'était porté sur le sien. Elle avait enfin pu me rejoindre en Corée, mais les rencontres étaient ardues. La discrétion lorsque l'on fait partit d'un groupe populaire, ce n'était pas gagné. En même temps, j'aimais jouer avec le feu et si notre relation était découverte, peut-être aurais-je pu prendre cette chance pour sortir de cette carrière. Dans tous les cas, je DEVAIS la voir. J'attendais ce moment avec fébrilité puisque nous avions beaucoup à partager.
- Kitty, tu m'aimes ?
La question l'avait pris de court.
- Oui. Je t'aime.
- Viens vivre au Japon avec moi. Si tu m'aimes, si tu m'aimes vraiment, fais les démarches pour être naturalisé. Je vais t'aider monétairement. Si tu viens, la machine ne pourra pas dénier notre amour.
Le test ultime. Était-elle lâche comme ma mère où irait-elle jusqu'au bout de l'univers pour moi, peut importe le résultat ? Le secret de ma nationalité que j'avais passé sous silence tout ce temps aurait-il vite fait de la faire fuir ? Son teint pâle me fit hésiter un moment, la bouche pâteuse elle m'avait posé des questions, cherchait à comprendre où je voulais en venir. Cette nuit-là avait été longue. Les démarches de mon côté étaient déjà entamées. Ma compagnie, maintenant au courant de ma situation, avait communiqué avec une compagnie associée établie au Japon et mon transfert était programmé pour le premier janvier 2110. Tout arrivait à bon point puisque la carrière de TLT s'essoufflait. L'espérance de vie d'un groupe tel que le nôtre n'était jamais bien plus de cinq ou six ans. Il était temps pour moi d'aller vers une carrière solo. Tout était en marche… il ne manquait que sa réponse à elle… Et elle fut positive.
Mon arrivée en terre nippone se fit deux mois après Shukumei. On dit que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Cette catastrophe, bien que meurtrière pour certains, venait à moi comme une porte d’entrée pour le Japon. C’était ma chance d’apparaître devant le peuple comme quelqu'un d’empathique qui avait le cœur sur la main. Je n’ai pas laissé passer cette chance. Avec ma compagnie, j’ai travaillé dès mon arrivée pour me tailler une place. Dons d'argent ici et là, visite d’admirateurs dans les hôpitaux, toute occasion était bonne pour démarrer ma carrière solo. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai reçu un appel d’un notaire qui m’informait de la mort de mon père lors de Shukumei. Père que je n’avais jamais rencontré, en fin de compte. J’aurais pu tenter ma chance pour m’attirer la pitié du public, mais par le peu d’amour que je gardais envers ma mère, j’ai décidé de passer cet événement sous silence. Après avoir annoncé au notaire que je refusais tout héritage de sa part, je tournais la page comme si je n’avais jamais été mis au courant. Comme s’il n’avait jamais existé.
Ma carrière solo ne prit pas de temps à fleurir. Les gens mangeaient dans le creux de ma main. Peu à peu, je gagnais en pouvoir au sein du monde du divertissement. En parallèle, je m'assurais que les démarches de naturalisation de Kitty se déroulait bien. Malgré ma haine pour ce pays dictatorial, je m'étais installé comme si j'y avais toujours vécu. Alors que je commençais à me faire à l'idée de ce système, une erreur survint en mai 2111. Bien qu'il n'ait eu aucun effet sur moi puisque je n'étais pas marié, l'espace d'un instant, j'ai cru que nous étions libérés de l'emprise de la machine. Mes espoirs se sont vus écraser lorsque deux mois plus tard, un communiqué de presse passait à la télé. Les connards au pouvoir s'étaient joués de nous. Sous prétexte d'une recherche sociale, ils avaient créé le chaos dans le coeur des Japonais et causé des détresses mentales. Comme si le bug n'était pas assez, une épidémie avait déferlé et Kitty s'était retrouvée victime de celle-ci. Pour la première fois de ma vie, j'eus peur de perdre quelqu'un. Pour la première fois de ma vie, j'avais demandé aux dieux dont l'existence me paraissait peu plausible, de veiller sur elle. Heureusement, elle s'en sortit indemne à mon plus grand soulagement.
S'en suivi un autre évènement important qui ne m'avait pas laissé indifférent. À peine Kitty avait-elle conclu sa naturalisation qu'elle m'apparaissait décédée sur l'Atai. Mon monde avait arrêté de tourner ce jour-là. Heureusement, pour moi, mon chaton étant qui elle est, elle avait vite fait de me contacter pour m'annoncer qu'elle était bel et bien vivante. Nous étions tous les deux tout aussi confus vis-à-vis de la situation et pendant un instant, j'eus envie de l'encourager à fuir au Canada. Cependant, étant l'homme que je suis, j'enterrai rapidement cette idée. Après tout, Kitty m'appartenait. Peu de temps après, nous prenions les démarches pour changer nos puce.
Depuis, le monde a repris un rythme plus normal. J'accumule les contrats, ma carrière ayant pris un tournant vers les films, même si je chante encore. J'ai acheté un café et un immeuble d'habitation que j'ai délégué à ma mère. Même si j'ai coupé les ponts avec elle, je n'en reste pas moins son fils et je considère qu'il est de mon devoir d'au moins lui offrir de quoi vivre paisiblement. Je continue de parler à Kitty et je la rencontre, parfois, dans le plus grand des secrets. Rêvant du jour où nous recevrons notre lettre rose. Après tout ce que nous avons fait pour être ensemble, il est impossible que la machine calcule un plus haut taux de compatibilité avec quelqu'un d'autre…
...Non ?
* Trainee est le nom donné aux recrues des compagnies de k-pop qui s'entraînent et reçoivent des formations pour devenir idole.
As charming as a snake
Devant la caméra, mon sourire factice a vite fait de charmer le public. Je suis pétillant, je suis polyvalent et versatile. Tantôt adorable, puis soudainement décontracté. J'enchaîne les personnages et je m'adapte à la situation. Je domine l'art oratoire. Illusionniste, j'arrive à vous faire croire n'importe quoi avec le moindre effort. J'observe avec prudence et j'agis en conséquence. Mes actions sont réfléchies et calculées. Je suis passé maître dans l'art de la supercherie. Professionnel, je garde mon masque le plus longtemps possible. Habitué à vivre dans le mensonge, il m'arrive peu souvent de craquer publiquement.
Cependant, lorsque le feux des projecteurs se referment sur moi, je laisse place à l'autre Min Ki: le vrai. Celui que vous ne voulez pas rencontrer. L'homme froid et amer, celui que les collègues de travail évitent comme la peste. Je suis ce garçon aigri qui déteste le monde entier. La vie m'a appris que la confiance n'est pas quelque chose d'acquis, mais qui se gagne. Donc, je garde mes distances avec quiconque tenterait d'établir une connexion, quelle qu'elle soit.
Mieux vaut ne pas m'approcher.
Si je vous tends la main, c'est pour avoir une meilleure poigne lorsqu'il est temps d'assurer le coup final. Si je vous offre de l'aide, vous devez vous attendre à en payer le prix, éventuellement. Rien n'est gratuit dans ce monde et je m'assure toujours de récupérer mon dû. Je ne suis pas un homme bon. Je ne suis pas généreux. Je suis vil et exécrable. Ceux qui auraient l'audace de souligner que je suis simplement un enfant dont les blessures n'ont pas guéri auraient inévitablement raison, mais je ne suis pas près de l'entendre. Ça viendrait briser cette image de confiance que je m'efforce à entretenir et qui est souvent confondue avec de l'arrogance.
Tout ce que je fais, je le fais pour moi et moi seul. Tout ce que j'entreprends est pour mon simple intérêt. Je n'ai que faire d'autrui et de la charité.
Si par malheur je finis par m'intéresser à vous, prenez vos jambes à votre cou. Ma présence n'est jamais un bon présage. J'aime jouer avec mes proies, avant de m'attacher à qui que ce soit. Je fais vivre un calvaire à quiconque tenterait de faire tomber les murs qui barricadent mon cœur.
Fuyez vite ou préparez-vous au pire…
Et pour les plus tenaces, qui sait, peut-être allez-vous découvrir un homme plus tendre au fond de ce beau bazar. Un homme qui, une fois bien accroché, est prêt à donner sa vie pour sauver la vôtre. Un homme qui a besoin d'être sorti de ses propres ténèbres pour pouvoir offrir sa lumière.
{ Manipulateur, possessif, menteur, hypocrite, charmeur, méfiant, froid, observateur, professionnel, workaholic, égoïste, confiant, impatient, fourbe, talentueux }
Cependant, lorsque le feux des projecteurs se referment sur moi, je laisse place à l'autre Min Ki: le vrai. Celui que vous ne voulez pas rencontrer. L'homme froid et amer, celui que les collègues de travail évitent comme la peste. Je suis ce garçon aigri qui déteste le monde entier. La vie m'a appris que la confiance n'est pas quelque chose d'acquis, mais qui se gagne. Donc, je garde mes distances avec quiconque tenterait d'établir une connexion, quelle qu'elle soit.
Mieux vaut ne pas m'approcher.
Si je vous tends la main, c'est pour avoir une meilleure poigne lorsqu'il est temps d'assurer le coup final. Si je vous offre de l'aide, vous devez vous attendre à en payer le prix, éventuellement. Rien n'est gratuit dans ce monde et je m'assure toujours de récupérer mon dû. Je ne suis pas un homme bon. Je ne suis pas généreux. Je suis vil et exécrable. Ceux qui auraient l'audace de souligner que je suis simplement un enfant dont les blessures n'ont pas guéri auraient inévitablement raison, mais je ne suis pas près de l'entendre. Ça viendrait briser cette image de confiance que je m'efforce à entretenir et qui est souvent confondue avec de l'arrogance.
Tout ce que je fais, je le fais pour moi et moi seul. Tout ce que j'entreprends est pour mon simple intérêt. Je n'ai que faire d'autrui et de la charité.
Si par malheur je finis par m'intéresser à vous, prenez vos jambes à votre cou. Ma présence n'est jamais un bon présage. J'aime jouer avec mes proies, avant de m'attacher à qui que ce soit. Je fais vivre un calvaire à quiconque tenterait de faire tomber les murs qui barricadent mon cœur.
Fuyez vite ou préparez-vous au pire…
Et pour les plus tenaces, qui sait, peut-être allez-vous découvrir un homme plus tendre au fond de ce beau bazar. Un homme qui, une fois bien accroché, est prêt à donner sa vie pour sauver la vôtre. Un homme qui a besoin d'être sorti de ses propres ténèbres pour pouvoir offrir sa lumière.
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Handsome Devil
Je suis le diable qui est affiché fièrement sur le mur de votre soeur, votre fille, votre mère, votre cousine, votre douce moitié et peut-être même sur celui du mec qui n’est pas encore sorti du placard.
Je suis celui dont elles rêvent la nuit. Celui qui s’immisce dans leurs pensées lorsqu’elles vont au temple le plus près pour souhaiter voir mon nom apparaître sur leur petite lettre rose, le moment venu.
Je suis cette célébrité que les hommes aiment haïr. Assis dans le confort de leur salon, ils me regardent danser sur scène et maudissent ma mâchoire définie ainsi que mon regard perçant surmonté de sourcils larges. Ce qu’ils envient le plus, je crois, c’est mon corps. S’ils se sortaient la tête du cul, ils comprendraient que j’ai travaillé sans relâche pour ce corps. Pendant qu’eux carburaient aux hamburgers et se gâtaient dans la friture, moi je m'entraînais d’arrache-pied. Mes repas étaient surveillés, calculés au grain près. Ce torse ciselé est le résultat de mon dur labeur et des nuits à rêver de pouvoir me permettre un gigantesque bol de ramen épicé sans avoir à m’inquiéter que mes admirateurs pointent du doigt mon visage bouffi par l’excès de sel, le lendemain. Blood, sweat and tears, rien de plus, rien de moins.
Comme certains animaux, j’utilise l’aposématisme pour afficher ma toxicité. Je colore mes cheveux ébène de toutes les couleurs imaginables et il n’est pas rare de me voir porter des lentilles pour changer la pigmentation de mes pupilles chocolatées. La seule différence étant qu’ici je suis le prédateur, pas la proie.
Mon corps est mon outil de travail. J'en prends soin. Il est nécessaire à ma réussite. Mon visage est soigneusement peint par des professionnels, le maquillage est ma deuxième peau. Un masque nécessaire dans l'industrie du divertissement. Masque qui me colle à la peau et que je retire bien peu, vu l'image que je dois entretenir.
Pour ce qui est du style, il ne m'appartient pas. Je m'assure de toujours être de l'avant avec l'industrie de la mode. Mon garde-robe est remplie de vêtements offerts par les commanditaires ou d'habits soigneusement recommandés par des stylistes et adaptés à mon mètre 80. Mes seules petites folies sont mes piercings: celui à l'arcade sourcilière, mon septum, mon labret décalé et mes oreilles. Piercings que j'ai tout de même dû faire approuver par l'agence, au final. Je me permets aussi de porter des accessoires en argent. Que ce soit des bracelets, des colliers ou des chaînes pour les pantalons, j'ai découvert une certaine passion pour ces accessoires variés et coûteux.
Dans ce monde contrôlé par la vanité, je suis le fruit défendu. Celui qu'on ne peut pas résister, qu'on s'efforce d'ignorer, mais qu'on finit toujours par vouloir goûter au moins une fois. Le seul problème, c'est que si le fruit semble délicieux à première vue, il n'en reste pas moins pourri à l'intérieur.
Je suis celui dont elles rêvent la nuit. Celui qui s’immisce dans leurs pensées lorsqu’elles vont au temple le plus près pour souhaiter voir mon nom apparaître sur leur petite lettre rose, le moment venu.
Je suis cette célébrité que les hommes aiment haïr. Assis dans le confort de leur salon, ils me regardent danser sur scène et maudissent ma mâchoire définie ainsi que mon regard perçant surmonté de sourcils larges. Ce qu’ils envient le plus, je crois, c’est mon corps. S’ils se sortaient la tête du cul, ils comprendraient que j’ai travaillé sans relâche pour ce corps. Pendant qu’eux carburaient aux hamburgers et se gâtaient dans la friture, moi je m'entraînais d’arrache-pied. Mes repas étaient surveillés, calculés au grain près. Ce torse ciselé est le résultat de mon dur labeur et des nuits à rêver de pouvoir me permettre un gigantesque bol de ramen épicé sans avoir à m’inquiéter que mes admirateurs pointent du doigt mon visage bouffi par l’excès de sel, le lendemain. Blood, sweat and tears, rien de plus, rien de moins.
Comme certains animaux, j’utilise l’aposématisme pour afficher ma toxicité. Je colore mes cheveux ébène de toutes les couleurs imaginables et il n’est pas rare de me voir porter des lentilles pour changer la pigmentation de mes pupilles chocolatées. La seule différence étant qu’ici je suis le prédateur, pas la proie.
Mon corps est mon outil de travail. J'en prends soin. Il est nécessaire à ma réussite. Mon visage est soigneusement peint par des professionnels, le maquillage est ma deuxième peau. Un masque nécessaire dans l'industrie du divertissement. Masque qui me colle à la peau et que je retire bien peu, vu l'image que je dois entretenir.
Pour ce qui est du style, il ne m'appartient pas. Je m'assure de toujours être de l'avant avec l'industrie de la mode. Mon garde-robe est remplie de vêtements offerts par les commanditaires ou d'habits soigneusement recommandés par des stylistes et adaptés à mon mètre 80. Mes seules petites folies sont mes piercings: celui à l'arcade sourcilière, mon septum, mon labret décalé et mes oreilles. Piercings que j'ai tout de même dû faire approuver par l'agence, au final. Je me permets aussi de porter des accessoires en argent. Que ce soit des bracelets, des colliers ou des chaînes pour les pantalons, j'ai découvert une certaine passion pour ces accessoires variés et coûteux.
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Personnage tiré d'un manga/anime/jeu-vidéo/série
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<div class="infobulle1">• [b]Min Gi Song[/b] {Groupe Ateez} [i]est[/i] [url=https://www.just-married-rpg.com/u3634 ]Min Ki Choi[/url]<span><img src="https://i.postimg.cc/d3VgPsR4/fotor-2023-4-4-21-23-43.png"></span></div>
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Olala, double arrivage de canons Japo-coréens !
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Jun Tsuyu

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Mun-Hee Cho

Un nouveau copain coréen, encore
Bienvenue par ici et bon courage pour la rédaction de ta fiche

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Mun-Hee Cho

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Eh ben, les coréens s'enchaînent par ici, et les inscriptions aussi !
Ce perso m'a l'air d'avoir très peu de confiance en lui *sarcasme*. Bienvenu et hâte d'en savoir plus.
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Bienvenue sur JM la nouvelle agence de Kpop
! Une très bonne rédaction à toi, bon courage pour la suite 


Hanz Asuka

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Un membre du groupe de Raiden ou un concurrent ?
Par contre, je n'ai aucune affiche de toi, peut être m'en donneras tu en RP ?
Bienvenue @ toi, courage pour ta fiche
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Coucou et bienvenue parmi nous !
Pas de souci pour le nom, ça arrive (et je pardonne encore plus comme Mingi est mon pref dans Ateez mdr.)
Bon courage pour ta fiche ~
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Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche ! o/

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Kaori Mogami

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Eliott Gikami

Hola ~ Bienvenue et bon courage pour la fiche, mais j'avoue que y a une invasion de Coréen (ce qui n'est pas pour déplaire huhu) xD
Eliott Gikami

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Seung Heon Kang-Ishizawa

Wow, c'est tout un monde qui arrive en effet.
Ce Vava est magnifique en passant.
Hâte d'en lire un peu plus
Bienvenue ici !
Ce Vava est magnifique en passant.
Hâte d'en lire un peu plus
Bienvenue ici !
Seung Heon Kang-Ishizawa

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Juliette Ogawa

Et allez je compte lire mais je reste sur ma fin
Hâte d'en lire plus sur ton personnage qui m'intrigue!

Hâte d'en lire plus sur ton personnage qui m'intrigue!

Juliette Ogawa

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Kohaku Edo

Bonne nouvelle tête et bonne rédaction!
Pense bien à modifier ton titre pour nous signaler quand ta fiche sera prête à la modération!
Pense bien à modifier ton titre pour nous signaler quand ta fiche sera prête à la modération!

Kohaku Edo

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Min Ki Park

Jun > Merci beaucoup. En espérant que ça soit pas trop déplaisant !
Mun-Hee > 환영해줘서 고마워요!
여기 너무 맘에 들어요! 같이 재밌게 놀아요 ㅋ
Alex > Confiance est mon deuxième surnom ! Merci de l'accueil !
Hanz > Un coréen de plus pour envahir les terres nippones ! Merci !
Keiko > Le monde de la K-pop est très compétitif. Je vois que j'ai déjà un concurrent sur le forum
Si tu veux une affiche, il faudra passer voir la représentation avant
Arisa > Je sais reconnaître une femme qui a du goût quand j'en vois une. Je t'aime déjà. Merci pour l'accueil !
Kaori > Merci beaucoup, Kaori !
Eliott > C'est parce que les coréens sont des créatures sociables.
On se déplace en troupeau.
Nathaniel > Merci beaucoup de l'accueil ! Heureux que le vava soit à ton goût !
Juliette > J'espère que la lecture sera à la hauteur de t'es attentes ! Merci de l'accueil !
Kohaku > Merci ! Oui, je mets à jour une fois que j'ai (enfin) terminé.
Mun-Hee > 환영해줘서 고마워요!
여기 너무 맘에 들어요! 같이 재밌게 놀아요 ㅋ
Alex > Confiance est mon deuxième surnom ! Merci de l'accueil !
Hanz > Un coréen de plus pour envahir les terres nippones ! Merci !
Keiko > Le monde de la K-pop est très compétitif. Je vois que j'ai déjà un concurrent sur le forum


Arisa > Je sais reconnaître une femme qui a du goût quand j'en vois une. Je t'aime déjà. Merci pour l'accueil !
Kaori > Merci beaucoup, Kaori !
Eliott > C'est parce que les coréens sont des créatures sociables.

Nathaniel > Merci beaucoup de l'accueil ! Heureux que le vava soit à ton goût !
Juliette > J'espère que la lecture sera à la hauteur de t'es attentes ! Merci de l'accueil !
Kohaku > Merci ! Oui, je mets à jour une fois que j'ai (enfin) terminé.
Min Ki Park

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Passer voir la représentation ? Pfff...
J'en ai connu des artistes, je ne vais pas faire comme tout le monde... Je viendrai chercher l'affiche a ton bureau directement !
J'en ai connu des artistes, je ne vais pas faire comme tout le monde... Je viendrai chercher l'affiche a ton bureau directement !
Keiko Takeda

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Michiko Nakashima

Modération de fiche
Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !

Introduction
Bienvenue à toi ! C’est partie pour cette correction

Vu les prix à Tokyo et Séoul, ca fait beaucoup (n’oublie pas tous les frais annexes à la gestion). Je peux garder un immeuble et un des cafés, c’est déjà bien, mais pas les trois :3 (pour rappel, les Idols commencent à être payées tardivement, et même lorsqu’elles le sont enfin, les agences prennent un gros bénéfice dessus)
Histoire
Succédé
Succédé (paragraphe d’après)
Choquée
Voie
Tu n’es pas allé
Considérés
je l'aie
Ca va un peu (trop) vite pour une tournée mondiale. Pour rester réalistes, je te propose d’avancer d’un an l’intégration au groupe (à 18ans) et qu’19 ans il parte pour une tournée sur le marché asiatique, plus réceptif à ce genre musical et qui représente déjà un très beau morceau. Attention quand même, les groupes comme BTS et compagnie, c’est juste une poignée dans une nuée de groupes plus ou moins connus (et surtout moins que plus).
Idem pour New York, j’ai du mal à situer où tu en es dans ta chronologie (des semaines après ? des mois ? des années ? )
« Peu de temps après, elle prenait les démarches pour changer sa puce. » Pour rappel, le changement de puce a concerné tout le monde (touché ou pas par l’épidémie) donc lui aussi aura dû le faire

Physique
au grain prêt
Mon garde-robe est rempli
Validé
Caractère
Décontractée
Vile
Validé
Conclusion
Pas grand-chose à redire en vérité



Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.


Parle en #c176c1
Michiko Nakashima

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Min Ki Park

Merci beaucoup de ta modération !
J'ai apporté les modifications en espérant que cela soit convenable !
Changements effectués:
‘’Puisque je ne suis pas con non plus, j'ai investi dans un café et un immeuble résidentiel à Séoul que j'ai offert à ma mère pour qu'elle puisse être autosuffisante et vivre sa vie tranquille.’’
‘’Les réponses vinrent à moi lorsque j'atteignis mes 18 ans.’’ (Pour le début de carrière)
''J'étais fier de mon accomplissement et je devinais ma mère tout aussi satisfaite. Je ne m'étais jamais douté de la conversation que je m'apprêtais à avoir avec elle juste avant mon départ pour une tournée internationale en Asie.''
''Tu es en train de me dire que ça fait deux ans que je pourrais recevoir une lettre'' (Changé ce bout-ci en conséquence aussi !)
''C'était à New York, trois ans après que notre groupe ait vu le jour, un soir de janvier.'' (Pour donner une idée de la chronologie et leur donner le temps d’être connu un peu plus )
''Peu de temps après, nous prenions les démarches pour changer nos puces.''
Corrections
succédés
Succédées
Choqué
tu n'es pas allée
Considéré
Avant même de pouvoir réaliser ce qui m'arrivait (j’ai changé au complet, je trouvais ça plus joli)
Décontracté
Vil
au grain près
garde-robe est remplie

J'ai apporté les modifications en espérant que cela soit convenable !
Changements effectués:
‘’Puisque je ne suis pas con non plus, j'ai investi dans un café et un immeuble résidentiel à Séoul que j'ai offert à ma mère pour qu'elle puisse être autosuffisante et vivre sa vie tranquille.’’
‘’Les réponses vinrent à moi lorsque j'atteignis mes 18 ans.’’ (Pour le début de carrière)
''J'étais fier de mon accomplissement et je devinais ma mère tout aussi satisfaite. Je ne m'étais jamais douté de la conversation que je m'apprêtais à avoir avec elle juste avant mon départ pour une tournée internationale en Asie.''
''Tu es en train de me dire que ça fait deux ans que je pourrais recevoir une lettre'' (Changé ce bout-ci en conséquence aussi !)
''C'était à New York, trois ans après que notre groupe ait vu le jour, un soir de janvier.'' (Pour donner une idée de la chronologie et leur donner le temps d’être connu un peu plus )
''Peu de temps après, nous prenions les démarches pour changer nos puces.''
Corrections
succédés
Succédées
Choqué
tu n'es pas allée
Considéré
Avant même de pouvoir réaliser ce qui m'arrivait (j’ai changé au complet, je trouvais ça plus joli)
Décontracté
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Michiko Nakashima

Nickel, amuses toi bien parmi nous 

Pré-validation par Michiko
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.

Parle en #c176c1
Michiko Nakashima

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Kaori Mogami

Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !

• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

Kao râle en #9900ff
Kaori Mogami

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