— Just Married —
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31/08/2023
Les plus du perso :
Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Célibataire.
Autre:
Sei Teikawa

帝川星
that day, i fell in love with love
Informations générales

Nom : Teikawa (帝 - empereur ; 川 rivière)
Prénom.s : Sei (星 - étoile)
Âge : 22 ans, née le 23 avril 2092
Genre : féminin
Origines : japonaise
Activité : romancière
Sexualité : lesbienne
Avatar : Eula Lawrence - Genshin Impact
Règlement : - Validé - Ko'
Chemin j'étais là il y a plusieurs années mais je suis parti à cause d'un gros manque de motivation, normalement je suis re!
Autre : bip bop (y'a moyen que je me sois embrouillé avec les âges/la chronologie dans l'histoire, j'ai voulu faire assez court sur chaque partie du contexte de peur de dire des bêtises, n'hésitez pas à me taper sur les doigts!)
Prénom.s : Sei (星 - étoile)
Âge : 22 ans, née le 23 avril 2092
Genre : féminin
Origines : japonaise
Activité : romancière
Sexualité : lesbienne
Avatar : Eula Lawrence - Genshin Impact
Règlement : - Validé - Ko'
Chemin j'étais là il y a plusieurs années mais je suis parti à cause d'un gros manque de motivation, normalement je suis re!
Autre : bip bop (y'a moyen que je me sois embrouillé avec les âges/la chronologie dans l'histoire, j'ai voulu faire assez court sur chaque partie du contexte de peur de dire des bêtises, n'hésitez pas à me taper sur les doigts!)
the whole world looks at me with weird eyes
Papa et maman t’aiment, mais ils t’aiment encore plus lorsque tu arrêtes de parler. Ils étaient contents de voir que tu savais déjà lire à cinq ans, mais ils le sont moins lorsque tu piques une crise parce qu'ils ne veulent pas t'acheter de livres d'éveil. En revanche, ils aiment bien pavaner devant la famille éloignée et montrer que toi, tu es meilleure que les autres enfants, que tu es très intelligente et qu’ils sont fiers de toi. Par contre, évite de trop parler, parce que sinon tu vas révéler que tu es désagréable.
Ton petit frère est bien plus facile à vivre. Il est gentil, silencieux – pas très bon à l’école certes, mais il essaie. Il ne se met pas à pleurer et à hurler lorsque vous êtes traînés au centre commercial parce que « il y a trop de monde et trop de bruit, ça donne mal à la tête ». Tu n’es pas jalouse d’Akito bien qu’il y ait un favoritisme évident. Il reçoit bien plus de « je t’aime » que toi – pourtant tu te souviens d’un papa qui te disait qu’il t’aimerait plus si tu te taisais. Toi aussi, tu aimerais bien qu’on t’emmène au magasin de jouet pour ton anniversaire, ou que tu aies plein de cadeaux pour Noël.
« Mais si je t’offre quelque chose qui te plaît, tu vas encore saouler tout le monde avec. »
Étrangement, à l’école, on t’encourage à t’intéresser à plein de choses différentes. Les professeurs sont ravis de te donner des livres sur les sept merveilles du monde : c’est peu commun, pour une petite fille de ton âge, de vouloir lire des pages et des pages sur la construction des Grandes Murailles de Chine. Tes camarades te disent parfois que c’est bizarre de savoir que la Tour Eiffel compte dix-huit mille trente-huit pièces de métal mais d’ignorer le nom du dernier jeu vidéo en vogue. Mais on ne te rejette pas – au contraire, tes amis décident que c’est mieux que vous échangiez vos connaissances : tu apprends très rapidement à citer tous les embranchements différents de leurs histoires, tandis que ton meilleur ami apprend que la statue du Christ Rédempteur a été construite en France en argile avant d’être reconstruite au Brésil.
Les monuments célèbres, c’est sympa quelques temps, mais lorsque tu rentres au collège, tu passes à autre chose. Ce qui reste par contre, c’est les jeux vidéos. La pile de jeux que tu ne peux pas acheter augmente, car tes parents ne veulent pas t’enfoncer dans tes obsessions. Tu commences à passer la plupart du temps chez tes amis qui te laissent gracieusement utiliser leurs consoles. Tu as quatorze ans, et certains parents se demandent si c’est raisonnable pour toi de rester chez eux jusqu’à tard le soir, mais les tiens ne semblent pas si concernés. Tu es bien mieux ici que chez toi – au moins, on ne te force pas à te taire.
Lorsque tu es chez toi, tu décides d’écrire sur tes cours des suites ou des fins alternatives que tu aurais préférées. Tu délaisses un peu l’école puisque très peu de matières t’intéressent, mais à force de gribouiller des phrases par-dessus tes formules de mathématiques, elles commencent à ressembler à quelque chose. Tu te remets à lire pour essayer de trouver des mots qui sonnent bien, des figures de style qui embellissent ce que tu transmets. Ton professeur de japonais se permet même de te complimenter sur tes rédactions.
Au lycée, tu continues mais cette fois-ci c’est tes propres histoires que tu écris. Tu te surprends à beaucoup aimer ça. Tes dessins sont très laids mais tu complètes tes écrits avec des « concept art » (bien grand mot pour ce que tu fais). Tu oses même poster quelques idées sur Internet, maintenant que tu as ton propre ordinateur – durement acquis après plusieurs années à économiser. Ce dernier te permet d’émuler et de pouvoir jouer à tous les jeux que tu veux (en te sentant un peu coupable que ce soit illégal). Tu as seize ans, tu as des amis, un accès illimité aux jeux vidéos et à l’écriture, et surtout – tu restes de moins en moins chez tes parents, malgré les efforts d’Akito.
Tu fais semblant de faire croire que tu vis la vie de rêve, mais il n’empêche que malgré ton grand âge, tu fais encore des crises de nerfs lorsque tu es dans un centre commercial ou que tous tes amis se mettent à parler trop fort par-dessus une télé qui ne veut pas se taire. Les professeurs te réprimandent parce que tu te balances trop sur ta chaise ou que tu n’arrêtes pas de chantonner sans le réaliser. Tes notes sont vraiment médiocres, et surtout – tu n’arrives pas à comprendre tes autres camarades. Tu as la chance d’avoir ce que tu pourrais qualifier d’amis d’enfance qui se fichent que tu aies du mal à comprendre les sous-entendus, mais lorsque tu ruines des projets de groupe parce que tu n’arrives pas à te faire une place, ça devient plus problématique.
Il faudra que tu attendes seize ans avant que ton entourage décide de s'occuper de ce qu'on avait simplement imaginé être de l'agoraphobie, certains professeurs arrivent à faire le lien entre celle-ci et ta capacité à assimiler plein d'informations malgré tes mauvaises notes. Tes parents furent d'abord ravis d'apprendre que ton comportement « insupportable » était lié à de l'autisme mais le furent moins après avoir été informés qu'il n'y avait aucun médicaments pour te « soigner ». On te donne tout de même de la Ritalin pour t'accompagner, ce qui te permet d'améliorer un peu tes notes.
Il n'empêche que ça ne t'aide pas à te créer des liens, ou à aimer l'école. Tu décides de ne plus t’intéresser à l’école et fais le strict minimum pour ne pas décevoir tes parents, déjà agacés de savoir que tu seras toujours « comme ça ». Tu découvres la criminologie en même temps – tu préfères largement ça aux mathématiques.
À dix-sept ans, alors que tes amis ne cessent de te parler du NaNoWriMo, le sol se met à trembler et les murs à s’effondrer chez toi. La maison est complètement détruite, mais tes parents et toi avez la chance de vous en sortir avec seulement un ou deux membres brisés. Ton frère, qui lui passait quelques jours chez son ami, n’a pas eu cette chance. Vous apprenez quelques jours plus tard qu’il est décédé – comme son ami. Ils font partie des milliers de victimes du Shukumei. La mort de la seule personne dans ta famille qui faisait des efforts pour te comprendre te fait l’effet d’un électrochoc.
Tu n’as jamais vu tes parents autant pleurer qu’aux funérailles d’Akito. Bizarrement, de ton côté, tu n’arrives pas à lâcher une seule larme. Tu te contentes de regarder le regard vaseux l’urne de ton petit frère rejoindre la tombe familiale, alors qu’il n’a même pas fini le collège. Tu n’es pas suicidaire et tu ne le seras sûrement jamais, mais à ce moment précis, tu aurais aimé que ce soit toi à la place. Papa et maman doivent sûrement penser la même chose. Le deuil est dur à faire, tu n’arrives même plus à écrire car ta tristesse dégouline sur chaque mot que tu écris, ce qui te rend incapable de te relire.
Tu obtiens ton certificat de justesse et maintenant, tu ne sais pas trop quoi faire. Tu enchaînes les emplois à mi-temps pour pouvoir rapidement déménager et tentes de te changer les idées avec les tonnes de gachas disponibles sur téléphone. Tu te rappelles tristement avoir écrit « romancière » lorsqu’un de tes professeurs t’a demandé ce que tu voulais faire plus tard – et pourtant, te voilà à changer les couches d’un bébé que tu ne connais pas. Avoir des rêves, c’est bien, mais tu as peur qu’ils ne deviennent jamais réalité. Tu es capable d’apprendre des encyclopédies entières sur un seul sujet s’il t’intéresse, tu aimes croire que tu as un talent en écriture et ton cerveau déborde d’idées.
Pourquoi pas, après tout ?
Tu fais enfin le NaNoWriMo, après des années à te chercher des excuses pour ne pas le faire. C’est la première fois que tu écris depuis presque deux ans – tu aimes penser que ton frère n’aurait pas voulu que tu abandonnes l’écriture à cause de lui, et c’est la seule chose qui te permet de ne pas abandonner au bout de deux jours. Le résultat est, certes, plus que moyen, mais savoir que tu arrives à écrire plus de cinquante mille mots en trois semaines alors que tu gères le baby-sitting et le secrétariat en même temps est rassurant (même si les nuits blanches font un peu mal). Tu sais que trouver un éditeur qui croit en toi risque d’être compliqué, alors tu décides d’essayer de te faire remarquer en participant à différents concours d’écritures à travers le pays, demandes des conseils aux gagnants, continues de lire encore et toujours, même lorsque les livres sont terriblement ennuyeux.
Tu gagnes quelques concours qui te donnent de belles sommes d’argent, d’autres qui donnent des publications dans des petits journaux, et c’est au bout d’une très longue année à écrire pratiquement tous les jours que tu arrives enfin à gagner un concours assez prestigieux pour que la récompense soit un contrat d’édition. Même si la maison d’édition te comble d’éloges et répètent en boucle que ça faisait longtemps qu’ils n’avaient pas vu une jeune fille de ton âge écrire aussi bien, tu n’as - justement - que dix-neuf ans et ne connais absolument rien de l’industrie (tu as réalisé à ce moment que tu aurais dû te renseigner), alors tu laisses un adulte que tu ne connais pas s’occuper de tout. Peut-être que tu n’aurais pas dû. Mais tu ne connais personne qui peut t’aider.
Puisque quand tu annonces à tes parents la grande nouvelle, ces derniers semblent à peine concernés. Tu as fait tant d’efforts ces dernières années, tu es restée presque muette à chaque réunion de famille dans l’espoir d’être acceptée, mais lorsque tu les contactes pour dire que tu as une micro chance de pouvoir vivre de ta passion, ils te disent que les livres, ça rapporte que dalle et que ce n’est sûrement pas toi qui arrivera à faire quoi que ce soit de ce contrat. Tu réalises que si le bébé que tu gardes n’arrive pas à s’endormir, c’est peut-être parce que tes pleurs font trop de bruit pour lui.
Tu ne comprends pas pourquoi tes parents ne veulent pas de toi, et continuent de mentionner Akito aux repas de famille. Tu ne leur as rien fait de mal, tu les as toujours écoutés, mais tu as l’impression d’être traitée comme un parasite. Tu n’as jamais manqué de rien – tu as toujours été nourrie et logée correctement, tes parents n’ont pas levé la main sur toi une seule fois et malgré une réticence certaine, ils t’ont prise avec eux lorsque toute la famille partait en vacances. Mais il y avait toujours quelque chose – des mots blessants, des tentatives de te faire taire, de te rabaisser parce que « c’est pas normal d’être aussi chiante, fais comme ton frère, lui ne reste pas planté dix minutes à regarder une tortue manger de la salade ». C’est pas normal… Tu n’as jamais été normale. Peut-être que tu devrais arrêter de prendre tout ce qu’ils disent à cœur. Mais ce sont tes parents. Ils ont sûrement raison. À chaque fois que tu parles trop, tu as l’impression que les gens te dévisagent. Tu n’es vraiment, vraiment pas de ce monde, malgré tous tes efforts pour essayer de l’intégrer.
Tu es obligée de rester chez tes parents plus longtemps que prévu parce que les quelques adultes que tu connais paniquent et ne veulent pas qu'une presque inconnue s'approche de leur mari en voyant leur moniteur cesser de marcher – sait-on jamais. Tu n'oses pas leur dire que les hommes ne t'intéressent pas – devenir un coup d'un soir d'un adulte alors que tu n'as que dix-sept ans non plus. Tu ne connais pas beaucoup de couples mariés et ils se portent tous bien, ce qui te rassure un peu : malgré ce que les Incontrôlables peuvent dire, il semblerait que l'Incontestable ait raison, après tout.
Nous sommes en été maintenant. Tu arrives enfin à trouver un petit appartement, un peu miteux certes, mais tu es enfin débarrassée de tes parents. La moitié de tes amis en profitent pour tomber malade lorsque tu leur demandes juste de quoi t’acheter des pâtes. Pas toi, cependant. Peut-être parce que tu es jeune. Tu décides de te faire tester quand même, parce que ce que tu vois aux journaux ou dans ton entourage fait peur, et visiblement, tu as la chance d’être seulement porteur sain, donc normalement tout devrait bien se passer. Fort heureusement, personne ne meurt dans ton entourage – ou du moins, pas ce mois-ci.
Tu te sens très inspirée lorsque tu vois Internet et certains de tes amis mentionner l’anniversaire de la fermeture du site officiel des Incontrôlables. Lorsque tu commences à publier des histoires courtes avec des ressemblances assez criantes, non seulement tes écrits sont refusés, mais en plus, on te prévient que tu risques d’avoir des problèmes avec la milice si tu continues comme ça. Terrifiée par ces avertissements, tu restes une petite fille sage, alors malgré une moue évidente, tu te décides de retourner sur tes crimes parfaits plus vrais que nature : on complimente beaucoup le fait que tous tes écrits crient de réalisme, ce qui change de tes parents qui ne faisaient que te répéter que tout ce que tu apprends ne sert à rien.
Tu vois un de tes amis les plus proches – qui s’est souvent revendiqué anti-Incontestable – disparaître en décembre. Lorsque tu as appris sa mort alors que vous étiez en train de jouer à votre dernier jeu de combat, tu as eu un très mauvais pressentiment, parce que tu voyais ses yeux pétiller. Tu sais très bien qu’il est encore en vie, mais qu’il a saisi l’occasion pour fuir la lettre rose inévitable. Tu te rapproches des autorités pour signaler que tu es toujours en vie, mais prétends ne rien savoir sur ton meilleur ami. Tu sais qu’il rêvait de s’installer au Canada et d’y trouver sa véritable âme sœur, pas celle qu’un ordinateur te prescrit, peut-être qu’il a enfin saisi l’occasion. Tu préfères imaginer ça que les mauvaises choses qu’on peut voir dans de très vieux bouquins dystopiques qui ressemblent de plus en plus à ce qu’on peut voir de nos jours.
Tu continues d’écrire, encore et toujours – parce que tu commences enfin à te faire un nom, et tu ne veux pas abandonner. Tu continues d’apprendre des choses : le langage des fleurs, le tableau périodique des éléments, tous les noms des poèmes de Baudelaire. Tu t’intéresses à tout et n’importe quoi pour ne pas penser à ton frère, ton ami, l’Incontestable à qui tu arrives encore à faire confiance par miracle en voyant tout ton entourage heureux de leurs mariages.
Tes efforts paient, et après avoir réussi à renégocier ton contrat (parce que maintenant que tu as vingt-et-un ans, tu comprends bien que ton éditeur a voulu te la mettre à l’envers en profitant de ton jeune âge), tu vois des sommes qui te permettent d'arrêter au moins tes emplois à mi-temps – tu ne gagnes pas énormément plus, mais tu préfères largement ça aux mails ennuyeux et bébés insupportables. Tu ne vas pas te plaindre, mais tu trouves ça un peu indécent d’avoir assez de succès à ton jeune âge vingt-deux ans.
Tu en profites pour payer toutes tes dettes – et pour te rendre à la tombe familiale pour remercier Akito. Cela fait depuis la signature de ton contrat que tu ne t'adresses plus la parole à tes parents, mais secrètement, tu rêves toujours qu’ils se décident enfin à accepter leur fille. Ou du moins, la chose qu’ils comptaient élever en tant que telle. Tu continues de prendre ta Ritalin et vois même quelqu'un qui tente de te débarrasser de tes troubles de la communication en espérant qu'un jour tu puisses enfin te libérer de ce qui t'a causé autant de tord dans ta vie. Tu as promis à Akito que lorsque tu reviendras sur Terre, tu iras passer un coucou à vos parents.
Ton petit frère est bien plus facile à vivre. Il est gentil, silencieux – pas très bon à l’école certes, mais il essaie. Il ne se met pas à pleurer et à hurler lorsque vous êtes traînés au centre commercial parce que « il y a trop de monde et trop de bruit, ça donne mal à la tête ». Tu n’es pas jalouse d’Akito bien qu’il y ait un favoritisme évident. Il reçoit bien plus de « je t’aime » que toi – pourtant tu te souviens d’un papa qui te disait qu’il t’aimerait plus si tu te taisais. Toi aussi, tu aimerais bien qu’on t’emmène au magasin de jouet pour ton anniversaire, ou que tu aies plein de cadeaux pour Noël.
« Mais si je t’offre quelque chose qui te plaît, tu vas encore saouler tout le monde avec. »
Étrangement, à l’école, on t’encourage à t’intéresser à plein de choses différentes. Les professeurs sont ravis de te donner des livres sur les sept merveilles du monde : c’est peu commun, pour une petite fille de ton âge, de vouloir lire des pages et des pages sur la construction des Grandes Murailles de Chine. Tes camarades te disent parfois que c’est bizarre de savoir que la Tour Eiffel compte dix-huit mille trente-huit pièces de métal mais d’ignorer le nom du dernier jeu vidéo en vogue. Mais on ne te rejette pas – au contraire, tes amis décident que c’est mieux que vous échangiez vos connaissances : tu apprends très rapidement à citer tous les embranchements différents de leurs histoires, tandis que ton meilleur ami apprend que la statue du Christ Rédempteur a été construite en France en argile avant d’être reconstruite au Brésil.
Les monuments célèbres, c’est sympa quelques temps, mais lorsque tu rentres au collège, tu passes à autre chose. Ce qui reste par contre, c’est les jeux vidéos. La pile de jeux que tu ne peux pas acheter augmente, car tes parents ne veulent pas t’enfoncer dans tes obsessions. Tu commences à passer la plupart du temps chez tes amis qui te laissent gracieusement utiliser leurs consoles. Tu as quatorze ans, et certains parents se demandent si c’est raisonnable pour toi de rester chez eux jusqu’à tard le soir, mais les tiens ne semblent pas si concernés. Tu es bien mieux ici que chez toi – au moins, on ne te force pas à te taire.
Lorsque tu es chez toi, tu décides d’écrire sur tes cours des suites ou des fins alternatives que tu aurais préférées. Tu délaisses un peu l’école puisque très peu de matières t’intéressent, mais à force de gribouiller des phrases par-dessus tes formules de mathématiques, elles commencent à ressembler à quelque chose. Tu te remets à lire pour essayer de trouver des mots qui sonnent bien, des figures de style qui embellissent ce que tu transmets. Ton professeur de japonais se permet même de te complimenter sur tes rédactions.
Au lycée, tu continues mais cette fois-ci c’est tes propres histoires que tu écris. Tu te surprends à beaucoup aimer ça. Tes dessins sont très laids mais tu complètes tes écrits avec des « concept art » (bien grand mot pour ce que tu fais). Tu oses même poster quelques idées sur Internet, maintenant que tu as ton propre ordinateur – durement acquis après plusieurs années à économiser. Ce dernier te permet d’émuler et de pouvoir jouer à tous les jeux que tu veux (en te sentant un peu coupable que ce soit illégal). Tu as seize ans, tu as des amis, un accès illimité aux jeux vidéos et à l’écriture, et surtout – tu restes de moins en moins chez tes parents, malgré les efforts d’Akito.
Tu fais semblant de faire croire que tu vis la vie de rêve, mais il n’empêche que malgré ton grand âge, tu fais encore des crises de nerfs lorsque tu es dans un centre commercial ou que tous tes amis se mettent à parler trop fort par-dessus une télé qui ne veut pas se taire. Les professeurs te réprimandent parce que tu te balances trop sur ta chaise ou que tu n’arrêtes pas de chantonner sans le réaliser. Tes notes sont vraiment médiocres, et surtout – tu n’arrives pas à comprendre tes autres camarades. Tu as la chance d’avoir ce que tu pourrais qualifier d’amis d’enfance qui se fichent que tu aies du mal à comprendre les sous-entendus, mais lorsque tu ruines des projets de groupe parce que tu n’arrives pas à te faire une place, ça devient plus problématique.
Il faudra que tu attendes seize ans avant que ton entourage décide de s'occuper de ce qu'on avait simplement imaginé être de l'agoraphobie, certains professeurs arrivent à faire le lien entre celle-ci et ta capacité à assimiler plein d'informations malgré tes mauvaises notes. Tes parents furent d'abord ravis d'apprendre que ton comportement « insupportable » était lié à de l'autisme mais le furent moins après avoir été informés qu'il n'y avait aucun médicaments pour te « soigner ». On te donne tout de même de la Ritalin pour t'accompagner, ce qui te permet d'améliorer un peu tes notes.
Il n'empêche que ça ne t'aide pas à te créer des liens, ou à aimer l'école. Tu décides de ne plus t’intéresser à l’école et fais le strict minimum pour ne pas décevoir tes parents, déjà agacés de savoir que tu seras toujours « comme ça ». Tu découvres la criminologie en même temps – tu préfères largement ça aux mathématiques.
À dix-sept ans, alors que tes amis ne cessent de te parler du NaNoWriMo, le sol se met à trembler et les murs à s’effondrer chez toi. La maison est complètement détruite, mais tes parents et toi avez la chance de vous en sortir avec seulement un ou deux membres brisés. Ton frère, qui lui passait quelques jours chez son ami, n’a pas eu cette chance. Vous apprenez quelques jours plus tard qu’il est décédé – comme son ami. Ils font partie des milliers de victimes du Shukumei. La mort de la seule personne dans ta famille qui faisait des efforts pour te comprendre te fait l’effet d’un électrochoc.
Tu n’as jamais vu tes parents autant pleurer qu’aux funérailles d’Akito. Bizarrement, de ton côté, tu n’arrives pas à lâcher une seule larme. Tu te contentes de regarder le regard vaseux l’urne de ton petit frère rejoindre la tombe familiale, alors qu’il n’a même pas fini le collège. Tu n’es pas suicidaire et tu ne le seras sûrement jamais, mais à ce moment précis, tu aurais aimé que ce soit toi à la place. Papa et maman doivent sûrement penser la même chose. Le deuil est dur à faire, tu n’arrives même plus à écrire car ta tristesse dégouline sur chaque mot que tu écris, ce qui te rend incapable de te relire.
Tu obtiens ton certificat de justesse et maintenant, tu ne sais pas trop quoi faire. Tu enchaînes les emplois à mi-temps pour pouvoir rapidement déménager et tentes de te changer les idées avec les tonnes de gachas disponibles sur téléphone. Tu te rappelles tristement avoir écrit « romancière » lorsqu’un de tes professeurs t’a demandé ce que tu voulais faire plus tard – et pourtant, te voilà à changer les couches d’un bébé que tu ne connais pas. Avoir des rêves, c’est bien, mais tu as peur qu’ils ne deviennent jamais réalité. Tu es capable d’apprendre des encyclopédies entières sur un seul sujet s’il t’intéresse, tu aimes croire que tu as un talent en écriture et ton cerveau déborde d’idées.
Pourquoi pas, après tout ?
Tu fais enfin le NaNoWriMo, après des années à te chercher des excuses pour ne pas le faire. C’est la première fois que tu écris depuis presque deux ans – tu aimes penser que ton frère n’aurait pas voulu que tu abandonnes l’écriture à cause de lui, et c’est la seule chose qui te permet de ne pas abandonner au bout de deux jours. Le résultat est, certes, plus que moyen, mais savoir que tu arrives à écrire plus de cinquante mille mots en trois semaines alors que tu gères le baby-sitting et le secrétariat en même temps est rassurant (même si les nuits blanches font un peu mal). Tu sais que trouver un éditeur qui croit en toi risque d’être compliqué, alors tu décides d’essayer de te faire remarquer en participant à différents concours d’écritures à travers le pays, demandes des conseils aux gagnants, continues de lire encore et toujours, même lorsque les livres sont terriblement ennuyeux.
Tu gagnes quelques concours qui te donnent de belles sommes d’argent, d’autres qui donnent des publications dans des petits journaux, et c’est au bout d’une très longue année à écrire pratiquement tous les jours que tu arrives enfin à gagner un concours assez prestigieux pour que la récompense soit un contrat d’édition. Même si la maison d’édition te comble d’éloges et répètent en boucle que ça faisait longtemps qu’ils n’avaient pas vu une jeune fille de ton âge écrire aussi bien, tu n’as - justement - que dix-neuf ans et ne connais absolument rien de l’industrie (tu as réalisé à ce moment que tu aurais dû te renseigner), alors tu laisses un adulte que tu ne connais pas s’occuper de tout. Peut-être que tu n’aurais pas dû. Mais tu ne connais personne qui peut t’aider.
Puisque quand tu annonces à tes parents la grande nouvelle, ces derniers semblent à peine concernés. Tu as fait tant d’efforts ces dernières années, tu es restée presque muette à chaque réunion de famille dans l’espoir d’être acceptée, mais lorsque tu les contactes pour dire que tu as une micro chance de pouvoir vivre de ta passion, ils te disent que les livres, ça rapporte que dalle et que ce n’est sûrement pas toi qui arrivera à faire quoi que ce soit de ce contrat. Tu réalises que si le bébé que tu gardes n’arrive pas à s’endormir, c’est peut-être parce que tes pleurs font trop de bruit pour lui.
Tu ne comprends pas pourquoi tes parents ne veulent pas de toi, et continuent de mentionner Akito aux repas de famille. Tu ne leur as rien fait de mal, tu les as toujours écoutés, mais tu as l’impression d’être traitée comme un parasite. Tu n’as jamais manqué de rien – tu as toujours été nourrie et logée correctement, tes parents n’ont pas levé la main sur toi une seule fois et malgré une réticence certaine, ils t’ont prise avec eux lorsque toute la famille partait en vacances. Mais il y avait toujours quelque chose – des mots blessants, des tentatives de te faire taire, de te rabaisser parce que « c’est pas normal d’être aussi chiante, fais comme ton frère, lui ne reste pas planté dix minutes à regarder une tortue manger de la salade ». C’est pas normal… Tu n’as jamais été normale. Peut-être que tu devrais arrêter de prendre tout ce qu’ils disent à cœur. Mais ce sont tes parents. Ils ont sûrement raison. À chaque fois que tu parles trop, tu as l’impression que les gens te dévisagent. Tu n’es vraiment, vraiment pas de ce monde, malgré tous tes efforts pour essayer de l’intégrer.
Tu es obligée de rester chez tes parents plus longtemps que prévu parce que les quelques adultes que tu connais paniquent et ne veulent pas qu'une presque inconnue s'approche de leur mari en voyant leur moniteur cesser de marcher – sait-on jamais. Tu n'oses pas leur dire que les hommes ne t'intéressent pas – devenir un coup d'un soir d'un adulte alors que tu n'as que dix-sept ans non plus. Tu ne connais pas beaucoup de couples mariés et ils se portent tous bien, ce qui te rassure un peu : malgré ce que les Incontrôlables peuvent dire, il semblerait que l'Incontestable ait raison, après tout.
Nous sommes en été maintenant. Tu arrives enfin à trouver un petit appartement, un peu miteux certes, mais tu es enfin débarrassée de tes parents. La moitié de tes amis en profitent pour tomber malade lorsque tu leur demandes juste de quoi t’acheter des pâtes. Pas toi, cependant. Peut-être parce que tu es jeune. Tu décides de te faire tester quand même, parce que ce que tu vois aux journaux ou dans ton entourage fait peur, et visiblement, tu as la chance d’être seulement porteur sain, donc normalement tout devrait bien se passer. Fort heureusement, personne ne meurt dans ton entourage – ou du moins, pas ce mois-ci.
Tu te sens très inspirée lorsque tu vois Internet et certains de tes amis mentionner l’anniversaire de la fermeture du site officiel des Incontrôlables. Lorsque tu commences à publier des histoires courtes avec des ressemblances assez criantes, non seulement tes écrits sont refusés, mais en plus, on te prévient que tu risques d’avoir des problèmes avec la milice si tu continues comme ça. Terrifiée par ces avertissements, tu restes une petite fille sage, alors malgré une moue évidente, tu te décides de retourner sur tes crimes parfaits plus vrais que nature : on complimente beaucoup le fait que tous tes écrits crient de réalisme, ce qui change de tes parents qui ne faisaient que te répéter que tout ce que tu apprends ne sert à rien.
Tu vois un de tes amis les plus proches – qui s’est souvent revendiqué anti-Incontestable – disparaître en décembre. Lorsque tu as appris sa mort alors que vous étiez en train de jouer à votre dernier jeu de combat, tu as eu un très mauvais pressentiment, parce que tu voyais ses yeux pétiller. Tu sais très bien qu’il est encore en vie, mais qu’il a saisi l’occasion pour fuir la lettre rose inévitable. Tu te rapproches des autorités pour signaler que tu es toujours en vie, mais prétends ne rien savoir sur ton meilleur ami. Tu sais qu’il rêvait de s’installer au Canada et d’y trouver sa véritable âme sœur, pas celle qu’un ordinateur te prescrit, peut-être qu’il a enfin saisi l’occasion. Tu préfères imaginer ça que les mauvaises choses qu’on peut voir dans de très vieux bouquins dystopiques qui ressemblent de plus en plus à ce qu’on peut voir de nos jours.
Tu continues d’écrire, encore et toujours – parce que tu commences enfin à te faire un nom, et tu ne veux pas abandonner. Tu continues d’apprendre des choses : le langage des fleurs, le tableau périodique des éléments, tous les noms des poèmes de Baudelaire. Tu t’intéresses à tout et n’importe quoi pour ne pas penser à ton frère, ton ami, l’Incontestable à qui tu arrives encore à faire confiance par miracle en voyant tout ton entourage heureux de leurs mariages.
Tes efforts paient, et après avoir réussi à renégocier ton contrat (parce que maintenant que tu as vingt-et-un ans, tu comprends bien que ton éditeur a voulu te la mettre à l’envers en profitant de ton jeune âge), tu vois des sommes qui te permettent d'arrêter au moins tes emplois à mi-temps – tu ne gagnes pas énormément plus, mais tu préfères largement ça aux mails ennuyeux et bébés insupportables. Tu ne vas pas te plaindre, mais tu trouves ça un peu indécent d’avoir assez de succès à ton jeune âge vingt-deux ans.
Tu en profites pour payer toutes tes dettes – et pour te rendre à la tombe familiale pour remercier Akito. Cela fait depuis la signature de ton contrat que tu ne t'adresses plus la parole à tes parents, mais secrètement, tu rêves toujours qu’ils se décident enfin à accepter leur fille. Ou du moins, la chose qu’ils comptaient élever en tant que telle. Tu continues de prendre ta Ritalin et vois même quelqu'un qui tente de te débarrasser de tes troubles de la communication en espérant qu'un jour tu puisses enfin te libérer de ce qui t'a causé autant de tord dans ta vie. Tu as promis à Akito que lorsque tu reviendras sur Terre, tu iras passer un coucou à vos parents.
Physique

Lorsque tu as décidé d’arrêter de prétendre être humaine, tu t’es dit que tu allais t’y mettre à fond et faire l’inverse de ce à quoi tu es censée ressembler.
Tu as teint tes cheveux en bleu après avoir réalisé que tu n’avais plus besoin de tes emplois à mi-temps pour vivre, tes lentilles normalement utilisées pour corriger ta vue remplacent désormais tes iris bruns par un mélange de jaune et de violet, et tu as même hésité à te tatouer le visage. Fort heureusement, tu as eu un éclair de lucidité et t’es souvenue que non seulement tu allais beaucoup souffrir mais en plus l’accès aux sources chaudes allait t’être refusé. Sans tes yeux bridés et ta petite taille (tu peines à atteindre le mètre cinquante-cinq), on pourrait te prendre pour une étrangère, juste parce que tu as refusé de te soumettre aux normes japonaises.
Tes cheveux sont courts, pas très bien coupés car c'est toi qui les coupes (tu pleures quand quelqu'un les touche, tu n'as jamais compris pourquoi) parce que tu n'aimes pas la sensation des cheveux qui effleurent ta peau. Ils dépassent quand même légèrement tes épaules parce que tu ne trouves pas les coupes à la garçonne très jolies, et tu aimes pouvoir te trouver mignonne dans le miroir. Parfois accompagnés de quelques accessoires comme des barrettes ou des bandeaux, tu as l'impression d'en faire trop mais tu n'es plus à ça près. Le "trop" pour les autres est devenu "normal" pour toi, parce que le "normal" des humains est différent du tien.
Aussi surprenant que ça puisse être, tu cuisines très bien, ce qui te permet de manger équilibré et de rester assez fine pour pouvoir rentrer dans ce que tu veux, tu t’en voudrais d’être limitée alors que tu aimes prendre ton temps pour créer de jolies tenues – souvent colorées, parfois accompagnées d’anglais ou de français que tu ne comprends pas mais surtout assorties à du maquillage over the top et multi-couleurs, sûrement pour combler les tatouages que tu n’as pas pu te faire et aussi pour relever ton teint blanc.
On arrive à revoir le côté humain avec lequel tu es née lorsque tu es en rendez-vous professionnel. Les lentilles et tenues excentriques laissent place à des tenues sobres et des iris sombres, beaucoup moins pétillants – tes cheveux sont souvent excusés car « oh vous savez, les artistes, ils sont tous un peu bizarre ». Il n’empêche que lorsque tu vois cette Sei dans le miroir, tu as l’impression de voir quelqu’un d’autre, et tu n’aimes pas ça – tu as l’impression de voir une simple humaine, chose à laquelle tu n’arrives pas à t’identifier. Tant pis pour les regards mauvais, les murmures désagréables dans la rue et les remarques méchantes, tu préfères ça à l’horrible sensation d’être une impostrice.
Tu as teint tes cheveux en bleu après avoir réalisé que tu n’avais plus besoin de tes emplois à mi-temps pour vivre, tes lentilles normalement utilisées pour corriger ta vue remplacent désormais tes iris bruns par un mélange de jaune et de violet, et tu as même hésité à te tatouer le visage. Fort heureusement, tu as eu un éclair de lucidité et t’es souvenue que non seulement tu allais beaucoup souffrir mais en plus l’accès aux sources chaudes allait t’être refusé. Sans tes yeux bridés et ta petite taille (tu peines à atteindre le mètre cinquante-cinq), on pourrait te prendre pour une étrangère, juste parce que tu as refusé de te soumettre aux normes japonaises.
Tes cheveux sont courts, pas très bien coupés car c'est toi qui les coupes (tu pleures quand quelqu'un les touche, tu n'as jamais compris pourquoi) parce que tu n'aimes pas la sensation des cheveux qui effleurent ta peau. Ils dépassent quand même légèrement tes épaules parce que tu ne trouves pas les coupes à la garçonne très jolies, et tu aimes pouvoir te trouver mignonne dans le miroir. Parfois accompagnés de quelques accessoires comme des barrettes ou des bandeaux, tu as l'impression d'en faire trop mais tu n'es plus à ça près. Le "trop" pour les autres est devenu "normal" pour toi, parce que le "normal" des humains est différent du tien.
Aussi surprenant que ça puisse être, tu cuisines très bien, ce qui te permet de manger équilibré et de rester assez fine pour pouvoir rentrer dans ce que tu veux, tu t’en voudrais d’être limitée alors que tu aimes prendre ton temps pour créer de jolies tenues – souvent colorées, parfois accompagnées d’anglais ou de français que tu ne comprends pas mais surtout assorties à du maquillage over the top et multi-couleurs, sûrement pour combler les tatouages que tu n’as pas pu te faire et aussi pour relever ton teint blanc.
On arrive à revoir le côté humain avec lequel tu es née lorsque tu es en rendez-vous professionnel. Les lentilles et tenues excentriques laissent place à des tenues sobres et des iris sombres, beaucoup moins pétillants – tes cheveux sont souvent excusés car « oh vous savez, les artistes, ils sont tous un peu bizarre ». Il n’empêche que lorsque tu vois cette Sei dans le miroir, tu as l’impression de voir quelqu’un d’autre, et tu n’aimes pas ça – tu as l’impression de voir une simple humaine, chose à laquelle tu n’arrives pas à t’identifier. Tant pis pour les regards mauvais, les murmures désagréables dans la rue et les remarques méchantes, tu préfères ça à l’horrible sensation d’être une impostrice.
Caractère
Ça fait vingt-deux ans que tu ne comprends pas comment les humains marchent, alors tu as décidé d’abandonner.
Tu as abandonné dans le bon sens – aujourd’hui, tu te fiches de ce que les gens pensent de toi. Tu n’as aucun tact, tu prends tout beaucoup trop littéralement et tu as tendance à ne pas t’intéresser à ce qu’on te dit, donc tu peux avoir l’air mal élevée, mais ce n’est pas le cas. Bien que tu maîtrises assez bien le japonais pour qu’on puisse te dire que ton vocabulaire est impressionnant, tu n’arrives pas à former de jolies phrases pour que tu puisses délivrer tes pensées sans blesser. Tu ne comprends pas le second degré parce que tu as du mal à interpréter le ton des gens de la bonne manière, alors tu as décidé de ne plus l’interpréter du tout. Tu ne t’intéresses pas à ce que les gens te disent parce que ton cerveau est déjà trop occupé à penser à tout plein de choses.
Tu profites du fait que ton métier ne te demande pas beaucoup d’efforts pour pouvoir agir comme tu le souhaites. Souvent qualifiée d’excentrique mais pardonnée car « beaucoup de génies ne pensent pas comme les autres » (tu ne t’es jamais considérée comme tel, mais tu vends bien donc ça doit être vrai), tu es pourtant de bonne compagnie car tu n’essaies jamais de nuire. Certaines personnes aiment cette liberté que tu t’offres, car tu as le luxe de te le permettre. Il n’empêche que lors des rares dîners d’affaires que tu dois subir, tu sais te tenir – tu n’as plus dix ans. Tu sais que tu ne dois pas parler pendant deux heures de suite sur le dernier article obscur sur lequel tu es tombée et qui t’a causée une nuit blanche alors que vous discutez de ton futur.
Parce que c’est ta spécialité : lire des tonnes et des tonnes d’informations sur un sujet dont tout le monde se fiche, les retenir et pouvoir les ressortir dès que l’envie t’en prend. Tu sais que tous les autres humains ne développent pas des obsessions bizarres sur un coup de tête, mais tu utilises cette fonction pour nourrir tes connaissances et t’aider dans tes futurs écrits. Grâce à ça, tu écris beaucoup, très rapidement, et avec beaucoup de détails, sans pour autant noyer d’informations le lecteur, parce que tu sais que ce n'est pas bon. Tu n’as que vingt-deux ans, mais comptes déjà quatre œuvres à ton nom – sans compter les quelques oneshot que tu postes de temps à autres sur Internet sous un autre nom, lorsque tu as besoin d'expier tes émotions négatives.
Tu passes presque tout ton temps à écrire. Et lorsque tu n’écris pas ou n’apprends pas, tu joues. Après tout, ta passion pour l’écriture origine surtout des jeux vidéos. Tu ne comptes plus les nuits blanches que tu as passées à jouer ou à regarder des conférences venant de l’autre bout du globe ou le nombre de mois où tu t'es contrainte à ne manger que des pâtes pour pouvoir acheter des éditions collectors – te restreindre financièrement ne te dérange pas, tu veux compenser pour toutes ces années à devoir télécharger illégalement tes jeux.
Pour compenser ton « super pouvoir » d’assimilation d’encyclopédies, tu ne supportes pas les endroits bruyants. Tu n’es pas quelqu’un de spécialement anxieux, mais tu es très sensible, et lorsque tes cinq sens sont mis à l’épreuve, tu es incapable de fonctionner correctement. Petite, tu pleurais et hurlais pour transmettre ta douleur, mais aujourd’hui, tu arrives à tout simplement quitter le lieu et faire des exercices, tout en restant sur le bord de la crise de panique. C’est pour ça qu’on te voit souvent en train de fixer ta main en train de compter jusqu’à dix, parfois en dessinant dessus. Si tu ne fais pas ça, ton cerveau n’arrête pas de crier à l’aide.
Tu aimes dire que tu n’es pas humaine parce que tu n’arrives pas à les comprendre, mais un de tes rêves est de te marier et de fonder une famille. C’est idiot, mais tu aimes t’imaginer en train de cuisiner pour ta partenaire et lui faire des massages pour la détendre lorsqu’elle rentre d’une longue journée de travail. Peut-être que tu as lu trop de livres à l’eau de rose ou que tu as joué à trop de dating sim mais tu aimes le romantique, ce qui surprend, puisqu’on ne voit jamais de romance dans tes œuvres (tu trouves que ça n’ajoute rien aux histoires la plupart du temps). Peut-être que tu es amoureuse des humains, parce que tu aimerais être comme eux. Tu es contente de tout savoir, mais tu échangerais bien ce petit plus pour une capacité à supporter les cours de récréation et à comprendre ce que les gens te disent. En attendant, tu te lèves chaque matin dans l’espoir de voir une lettre rose apparaître dans ta boite à lettre.
Tu as abandonné dans le bon sens – aujourd’hui, tu te fiches de ce que les gens pensent de toi. Tu n’as aucun tact, tu prends tout beaucoup trop littéralement et tu as tendance à ne pas t’intéresser à ce qu’on te dit, donc tu peux avoir l’air mal élevée, mais ce n’est pas le cas. Bien que tu maîtrises assez bien le japonais pour qu’on puisse te dire que ton vocabulaire est impressionnant, tu n’arrives pas à former de jolies phrases pour que tu puisses délivrer tes pensées sans blesser. Tu ne comprends pas le second degré parce que tu as du mal à interpréter le ton des gens de la bonne manière, alors tu as décidé de ne plus l’interpréter du tout. Tu ne t’intéresses pas à ce que les gens te disent parce que ton cerveau est déjà trop occupé à penser à tout plein de choses.
Tu profites du fait que ton métier ne te demande pas beaucoup d’efforts pour pouvoir agir comme tu le souhaites. Souvent qualifiée d’excentrique mais pardonnée car « beaucoup de génies ne pensent pas comme les autres » (tu ne t’es jamais considérée comme tel, mais tu vends bien donc ça doit être vrai), tu es pourtant de bonne compagnie car tu n’essaies jamais de nuire. Certaines personnes aiment cette liberté que tu t’offres, car tu as le luxe de te le permettre. Il n’empêche que lors des rares dîners d’affaires que tu dois subir, tu sais te tenir – tu n’as plus dix ans. Tu sais que tu ne dois pas parler pendant deux heures de suite sur le dernier article obscur sur lequel tu es tombée et qui t’a causée une nuit blanche alors que vous discutez de ton futur.
Parce que c’est ta spécialité : lire des tonnes et des tonnes d’informations sur un sujet dont tout le monde se fiche, les retenir et pouvoir les ressortir dès que l’envie t’en prend. Tu sais que tous les autres humains ne développent pas des obsessions bizarres sur un coup de tête, mais tu utilises cette fonction pour nourrir tes connaissances et t’aider dans tes futurs écrits. Grâce à ça, tu écris beaucoup, très rapidement, et avec beaucoup de détails, sans pour autant noyer d’informations le lecteur, parce que tu sais que ce n'est pas bon. Tu n’as que vingt-deux ans, mais comptes déjà quatre œuvres à ton nom – sans compter les quelques oneshot que tu postes de temps à autres sur Internet sous un autre nom, lorsque tu as besoin d'expier tes émotions négatives.
Tu passes presque tout ton temps à écrire. Et lorsque tu n’écris pas ou n’apprends pas, tu joues. Après tout, ta passion pour l’écriture origine surtout des jeux vidéos. Tu ne comptes plus les nuits blanches que tu as passées à jouer ou à regarder des conférences venant de l’autre bout du globe ou le nombre de mois où tu t'es contrainte à ne manger que des pâtes pour pouvoir acheter des éditions collectors – te restreindre financièrement ne te dérange pas, tu veux compenser pour toutes ces années à devoir télécharger illégalement tes jeux.
Pour compenser ton « super pouvoir » d’assimilation d’encyclopédies, tu ne supportes pas les endroits bruyants. Tu n’es pas quelqu’un de spécialement anxieux, mais tu es très sensible, et lorsque tes cinq sens sont mis à l’épreuve, tu es incapable de fonctionner correctement. Petite, tu pleurais et hurlais pour transmettre ta douleur, mais aujourd’hui, tu arrives à tout simplement quitter le lieu et faire des exercices, tout en restant sur le bord de la crise de panique. C’est pour ça qu’on te voit souvent en train de fixer ta main en train de compter jusqu’à dix, parfois en dessinant dessus. Si tu ne fais pas ça, ton cerveau n’arrête pas de crier à l’aide.
Tu aimes dire que tu n’es pas humaine parce que tu n’arrives pas à les comprendre, mais un de tes rêves est de te marier et de fonder une famille. C’est idiot, mais tu aimes t’imaginer en train de cuisiner pour ta partenaire et lui faire des massages pour la détendre lorsqu’elle rentre d’une longue journée de travail. Peut-être que tu as lu trop de livres à l’eau de rose ou que tu as joué à trop de dating sim mais tu aimes le romantique, ce qui surprend, puisqu’on ne voit jamais de romance dans tes œuvres (tu trouves que ça n’ajoute rien aux histoires la plupart du temps). Peut-être que tu es amoureuse des humains, parce que tu aimerais être comme eux. Tu es contente de tout savoir, mais tu échangerais bien ce petit plus pour une capacité à supporter les cours de récréation et à comprendre ce que les gens te disent. En attendant, tu te lèves chaque matin dans l’espoir de voir une lettre rose apparaître dans ta boite à lettre.
Avatar
Personnage tiré d'un manga/anime/jeu-vidéo/série
- Code:
<div class="infobulle1">• [b]Eula Lawrence[/b] {Genshin Impact} [i]est[/i] [url=https://www.just-married-rpg.com/u3675]Sei Teikawa[/url]<span><img src="https://i.imgur.com/G5bhxWs.png"></span></div>
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Arisa Koyama

Hello Sei ou devrais-je dire re-bonjour/soir 
Avant de procéder à la correction de ta fiche, nous te demandons de changer de feat car en effet, ton personnage sur l'avatar ne fait pas du tout 25 ans, à dire vrai il fait à peine 18 ans (à mes yeux je lui donne 16 max).
Merci d'avance

Avant de procéder à la correction de ta fiche, nous te demandons de changer de feat car en effet, ton personnage sur l'avatar ne fait pas du tout 25 ans, à dire vrai il fait à peine 18 ans (à mes yeux je lui donne 16 max).
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Arisa Koyama

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(Re) bienvenuuuue
bon courage pour ta fiche o/

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toutes les modifications ont été faites normalement! mes excuses pour le feat, j'espère que je n'ai pas fait de bêtises en corrigeant l'histoire 🫡 et merci d'avance bien sûr
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Bienvenue !!
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Kazuma Tetsuya

Re bienvenue à toi o/
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Bon retour sur JM, jolie romancière ! ^^
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Modération de fiche
Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !

Introduction
Bon retour parmi nous, Sei!

C’est parti pour la modération !
Histoire
=>Au sein d’un système scolaire basique, un enfant apprend à lire vers 6 ans. Il est parfaitement possible d’apprendre la lecture plus tôt- même dès 3 ans - mais pas “seul”. Cela implique une volonté d’un parent, d’un tuteur, d’un grand-frère ou grande-sœur... Se lasser d’apprendre de nouveaux kanjis à la petite va donc à l’encontre de cette démarche.
De plus, lire n’implique pas “comprendre” ce que l’on lit. A 5 ans, peu de chances que les pages wikipedia qu’elle parcourt aient du sens pour elle à moins qu’elle ne se cantonne à des thèmes à sa portée. Pas besoin de lire la “théorie des cordes” au jardin d’enfants pour être précoce.

=>Tu cites des jeux vidéos de “notre époque”... Pense bien que nous nous situons en 2114 et que, même s’il y aura surement toujours des gens pour aimer les jeux “retros” et que certaines séries auront peut-être des reboot ou de nouveaux opus... Et bien Pokemon, Zelda, Final Fanasy et Tekken c’est vraiment “vieux” et surement dépassé technologiquement ^^” Peu de probabilité qu’un jeune enfant connaisse les évolutions possibles d’un pokémon de 1ere génération... Peu de chance également que Sei et ses amis aient les moyens de faire du retro gaming à leur âge.
De la même façon, est-ce que le NaNoWriMo existera encore d’ici un siècle...??? On le souhaite, mais attention à ne pas trop t’ancrer dans le présent IRL.

=>Les actions allant à l’encontre de la toute-puissance de l’Incontestable sont réprimées par la Milice et non par la Police.
=>Tu nous décris un niveau de vie et de réussite bien trop élevée pour son âge et pour la profession qu’elle a choisi d’exercer. Bien évidemment, des miracles peuvent arriver. Mais dans le cas de Sei, ce sera à nuancer.

=> Il va manquer la mention du System Error qui est l’un des évènements principaux du forum.

Orthographe:
“La pile de jeu que tu ne peux”
“des suites ou des fin alternatives”
“accès illimité aux jeux vidéo”
“Tu te contentes de regarder le regard vaseux l’urne de ton petit frère rejoindre la tombe familiale alors qu’il n’a même pas fini le collège.” => Ponctuation
“lorsqu’un de tes professeurs t’a demandée”
“de belles sommes d’argents”
“te comble d’éloges et répètes en boucle”
Physique
=> Tu indiques que Sei se teint les cheveux et porte des lentilles de contact. Il y a également l’option des modifications génétiques si tu le souhaites.
Caractère
=>Une dizaine d’œuvres, plus les oneshot, plus le NaNoWriMo tous les ans à seulement 22 ans... Ça me semble beaucoup... Il en va de même pour l’aisance financière que tu décris. Il est extrêmement compliqué de se faire véritablement un nom et de “vivre” de cette profession. Encore une fois, ce sera à nuancer.

=>Tu évoques régulièrement la précocité de Sei, sa capacité à enregistrer les informations. Tu parles également de son hypersensibilité aux sollicitations sensorielles, son incapacité à interpréter les tons et les sous-entendus, à comprendre ses pairs... Il est aussi fait mentions de comportements comme les balancements, les crises... Il est très important que tu te renseignes sérieusement afin de ne pas, par la suite, tomber dans les clichés. Sei a clairement besoin d’un accompagnement psychologique pour se comprendre elle-même et comprendre pourquoi elle ne se sent pas “humaine”.

Orthographe:
“Tu sais que pas tous les autres humains développent” => Formulation
Conclusion
Tu nous décris un personnage très intéressant, mais il va être nécessaire d’être plus nuancée sur le plan de sa réussite et plus précise en ce qui concerne son diagnostic afin que nous puissions voir si Sei peut s’adapter à l’univers dans lequel nous écrivons.
Si tu as besoin d’explications ou de précisions sur nos attentes, n’hésite pas à me contacter.

Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.


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les modifications ont été faites! elles sont en gras pour qu'elles soient plus faciles à repérer (sauf les fautes d'orthographes)
j'ai enlevé les mentions de Zelda, Tekken, etc... pour remplacer par quelque chose de plus vague, j'avais fait exprès de mentionner seulement des "séries" pour laisser croire qu'elles perdureraient dans le temps, je me suis permis de laisser le NaNoWriMo cependant puisque c'est assez important dans l'histoire et que c'est quelque chose d'Internet, j'ose imaginer qu'une "tradition" d'Internet puisse perdurer dans le temps - au besoin, je peux préciser que c'est devenu plus rare ou que ça a été remplacé par quelque chose de similaire
j'ai aussi ajouté le diagnostique et l'accompagnement, et pour ce qui est des clichés, y'a aucun soucis puisque j'ai la même chose donc j'ai totalement la ref!! et pour le physique comme expliqué c'est totalement volontaire de sa part donc pas besoin de modification génétique 🫡
j'espère que tout va bien maintenant!
(et également, merci à tous ceux qui m'ont souhaité la bienvenue! je n'avais pas répondu parce que je ne voulais pas spam mais merci bien)
j'ai enlevé les mentions de Zelda, Tekken, etc... pour remplacer par quelque chose de plus vague, j'avais fait exprès de mentionner seulement des "séries" pour laisser croire qu'elles perdureraient dans le temps, je me suis permis de laisser le NaNoWriMo cependant puisque c'est assez important dans l'histoire et que c'est quelque chose d'Internet, j'ose imaginer qu'une "tradition" d'Internet puisse perdurer dans le temps - au besoin, je peux préciser que c'est devenu plus rare ou que ça a été remplacé par quelque chose de similaire
j'ai aussi ajouté le diagnostique et l'accompagnement, et pour ce qui est des clichés, y'a aucun soucis puisque j'ai la même chose donc j'ai totalement la ref!! et pour le physique comme expliqué c'est totalement volontaire de sa part donc pas besoin de modification génétique 🫡
j'espère que tout va bien maintenant!
(et également, merci à tous ceux qui m'ont souhaité la bienvenue! je n'avais pas répondu parce que je ne voulais pas spam mais merci bien)
Sei Teikawa

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Re-bienvenue dans le coin ! Bon courage avec les corrections et la suite ! 

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Kohaku Edo

Modération de fiche
Histoire
L’un dans l’autre, c’est bien corrigé! Attention toutefois à ne pas surévaluer le succès de Sei et à rester dans une progression acceptable de sa notoriété ^^
Quelques nouvelles fautes, et d’autres qui n’ont pas été reprises:
“de livres d'éveils”
“certains professeurs arrives”
“Tes parents étaient d'abord” => Temps
“après avoir été informé”
“de belles sommes d’argents” => Pas corrigé
“te comble d’éloges et répètes en boucle” => Pas corrigé
“ce qui te rassures un peu”
“depuis la signature de ton contrat que tu ne n'adresses plus”
“Tu as pris à Akito que lorsque tu reviendras sur Terre” => Promis?
Conclusion
Un dernier petit effort sur la correction orthographique et ce sera bon! A très vite!
Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 2/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension. :hearts:
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les fautes sont corrigées! certaines sont horribles mes excuses je mets ça sur le compte de la maladie🫡
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C'est bon pour moi! Tu es prévalidée, plus qu'à attendre le passage d'un de mes collègues admins!
Pré-validation par Kohaku
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.

Kohaku Edo

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Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !

• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits

- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit
:
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
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